Intringue

3494 Words
J'ai patienté dans ces toilettes jusqu'à ce que la sonnerie retentisse. Quand j'ouvrais la porte, je croyais que le lycée était vide mais hélas. Il y'avait quelque personnes. J'ai marché rapidement et suis rentrée chez moi avec les habits à moitié trempés. Sur le chemin pour ma maison, je ne cessais de repasser en boucle ce que j'avais vu. Rien qu'en une journée, Je nourrissais une haine immense pour ce Daniel. je me demandais ce qui pourrait pousser ou donner le droit à un individu de faire du mal à ses camarades et de les mépriser autant. Parcequ'il fallait que je sois forte, j'ai conclu par moi même, "les riches n'ont aucun amour si non aucun respect pour les pauvres. La vie aucune pitié de nous également. Dieu lui oui et je sais que mon destin changement bientôt même si j'ai mal. C'est dure. " Une fois arrivée chez moi, la maison était vide; ni papa, ni glinda ni maman n'était là. Il y'avait aussi rien à manger. Papa lui était au champ mais où étaient passés les autres ? Je me suis changée et envisageait de nettoyer ma tenu. J'avais aussi très faim mais j'étais déjà habitué après 30 minutes je ne ressentirai plus rien. Le plus important était de nettoyer mon uniforme. Lorsque j'actionne le robinet de notre cuisine, l'eau qui y coule a une teinte maronne. Avec une eau pareille, c'était impossible de nettoyer mon uniforme. Avec les nerfs de la journée, la fatigue et la famine, je prend deux récipients de 20 l****s chacun et vais à la source. Parceque la file d'attente est longue, c'est 30 minutes après que je rentre chez moi. Heureusement, j'ai vu Jordan sur mon passage et il m'a aidé à porter le deuxième récipient. - tu n'avais pas besoin de faire un drame. T'es incroyable - il faut apprendre le respect à ces enfants. Il voit un rang d'au moins 20 personnes et passe en première position alors qu'il devait être 21 ème? Il a bien mérité ; il ne va plus recommencer s'il me voit - toi et la justice. Tu ne te fatigue pas ? - c'est justement pour ça que je fréquente. Je serai avocat pour défendre mes droits ainsi que ceux des autres - et ta plaidoirie commence à la rivière du quartier ? Hahaha - ne te moques pas de moi dis je en boudant - je blague juste tu sais ça. Il faut défendre tes idées. Je t'encouragerai toujours. **** Couché sur son canapé préféré, daniel se masser les épaules par Esthelle sa petite amie. Les deux ont l'air d'apprécier le moment. Une fois que la sœur cadette de Daniel nommée rachel fait son entrée, l'atmosphère devient morose. - quand tu vois tes aînés dans un coin, tu t'éclipses Petite. On ne t'a pas appris ça ? - je venais juste vous saluer ou plutôt pour saluer mon frère. pas la peine de monter sur tes grands chevaux avec moi - il a déjà compris tes salutations tu peux maintenant bouger - tu viens chez moi et tu veux me chasser ? Daniel s'assied, retire les mains d'esthelle sur son dos avant de dire - cessez vos bruits. Toi, Rachel j'ai compris tes salutations monte maintenant. - c'est pas juste. Aucun amour pour moi? Sur ces mots et son humeur triste, Rachel monta les escaliers qui mène à sa chambre - et toi, pourquoi tu ne fais pas d'effort pour t'entendre avec elle ? C'est ma seule sœur. Au lieu d'être complice vous êtes enemies - c'est pas de ma faute si personne n'a été là pour l'apprendre comment se comporter. Si tu continues je ne vais plus venir ici. Vous vivez ensemble non pourquoi fait elle semblant d'être polie ? Elle voulait juste gâter notre moment à nous. Il croise ses pieds, ferme ses yeux et s'adosse sur le dos du canapé avant de répondre. - tu es pénible. J'ai pas envie de bavarder s'il te plaît. Considère ce que j'ai dit comme une remarque et passons à autre chose. - tu te rappelles de la fois où elle m'a enfermé dans ta salle de bain ou qu'elle a dit à mes parents que je venais chez toi chaque jour et que ça l'énervais? - c'est pas comme ci elle mentait, tu viens ici chaque jour. Tu es très collante au lycée comme à la maison. Et ce que tu cites n'est rien à côté de ce que tu lui a déjà fait. - donc tu trouves que je suis collante? - puisque tu veux que j'explicite; ça ne fait que 3 mois qu'on ressort ensemble parce que tu t'es ouverte à moi en me demandant de reéssayer quelque chose avec toi; Au départ, j'ai refusé. Comme ce n'était pas clair, tu es allée dire à tes parents de parler à mon père pour qu'on ressorte ensemble; j'ai fermé les yeux et ai accepté. Notre relation a fait son temps tu ne crois pas ? La relation en soi ne m'enchante plus trop, je ne m'ennuie pas trop mais, Si au moins, tu ne peux t'entends pas avec ma sœur, je crois qu'on doit faire un break. Redevenons amis. - tu veux faire une pause? Personne ne me met une croix monsieur, c'est moi qui le fait et non l'inverse. En plus ta raison est ridicule. Tu ne vas pas me dire que parce que ta sœur et moi sommes en conflit tu romps avec moi - tu as bien compris. J'ajoute que tu es orgeuilleuse comme Mikaël le dit souvent, difficile à vivre et pénible. Maintenant sort d'ici - tu me jettes comme un vulgaire chiffon? - Reste là. Ne bouge pas c'est moi qui bouge. Éternise toi là si tu veux. Ne rentre pas chez toi. Idiote !!! *Smith* Détergent, eau tiède et uniforme dans un sceau, je frotte de toutes mes forces. Impossible, Les tâches sont calés. Il y'a pas moyen. Mon uniforme est détruit. Trop fâchée, je botte le sceau et commence à pleurer amèrement. Ma première journée et mon uniforme ont été bousillé à cause de ce Daniel. Si je pouvais lui faire du mal je le ferai. Pourquoi est il si pénible ? Au environ de 18 heures, les gargouilles de mon ventre me font me lever du canapé en vitesse pour aller au restaurant où je travaille. Là-bas au moins, j'aurai à manger. Une fois arrivée, j'enfile mon tablier, salue mes speudo collègues et commence le service. Commande sur commande, c'est à 22 heures quelques minutes que je termine et rentre avec des paquets de nourriture et accompagné de Jordan. - comment est ton nouveau lycée ? M'interroge Jordan - je suis très fatiguée, tout ce que je veux maintenant c'est dormir et manger. Heureusement, j'ai pu avoir quatres plats. Ils seront très contents. La seule chose que je désire maintenant c'est d'être un petit oiseau pour m'envoler dans les airs jusqu'à chez moi. Et dormir confortablement. Mes pieds me font atrocement mal. - pour ta dernière volonté, considère que c'est fait. Il m'attrape les cuisses et les poses derrière son dos. En effet, il me porte avec son dos pour se déplacer avec moi. Je pose mes mains sur ses épaules et souris. - merci Jordan, t'es un amour - pas plus que toi. - et ton premier jour, comment il était? *** - merci pour le repas Smith il était délicieux. - je t'en prie. Tu as déjà fini tes exercices ? Et comment était ton premier jour de cours ? - nous ne sommes qu'au premier jour comme tu l'as dit. Il y'a pas encore d'exercice. Mon premier jour était mieux que celui de l'année passée. J'ai fait de belles rencontres. Sauf qu'à mon retour, j'ai failli mourir de faim, si ce n'était toi, j'aurai dormi sans manger. Ru sais que tu es une grande sœur valable ? Je souris en l'écoutant parler. - et toi? Comment était ton premier jour dans l'établissement des riches? Tu as vu Daniel Monthé? - tu le connais où ? - qui ne connait pas ce garçon? C'est le chef du groupe Les seniors. Les réseaux sociaux, les médias et mes caramades de classe l'apprécient tellement. C'est le fils du gouverneur non. Il est trop beau, si gentil et si... - quoi? Il est la personne la plus méchante que je n'ai jamais vu. Les autres membres de ce groupe ont l'air gentil mais lui non. il est un cadeau empoisonné. Aussi dangereux que sa beauté physique. - Tu es sur que c'est de la même personne qu'on parle ? Visite un peu son mur sur la toile. En 2019, il était président de la coopérative scolaire se son lycée, en 2020, député junior de l'Etat, en 2021, porte parole de la jeunesse au près des institutions internationales de développement - nous sommes du même établissement non? C'est un salle type. Très imbu de sa personne. Il pense être gouverneur comme son père. Ce lycée est invivable et superficiel. Tous les riches de là oppriment les pauvres, ils disent qu'ils sont des erreurs de la nature. Ce Daniel va même jusqu'à taper qui il veut et influencer les enseignants et même le proviseur tu t'en rend compte ? - moi je l'aime hein malgré ce que tu dis. - merci, c'est parceque tu ne comprends pas. Si tu pouvais comprendre... Bonne nuit Glinda; il est temps que tu dormes. - t'es fâchée à cause de ce que j'ai dit? Et tu me chasses maintenant de ta chambre ? - parce-que toi tu as une chambre? Où tu dors appartient à Wilfried petite quand il va revenir, tu vas dormir ici - ohhhhhh je sais je sais. Bonne nuit j'ai compris. - tant mieux et fait de beaux rêves - merci. Le lendemain, tandis que ma sœur s'apprêtait pour aller en cours, je traînais les pas ne voulant pas qu'elle sache ce qui était arrivé à ma tenue et donc à moi. Le scénario s'était produit pendant au moins deux jours. Et c'est le troisième jour sur j'ai pu enfin me rendre au lycée avec une nouvelle tenue. Encore heureuse que ma mère soit couturière si non, j'allais "fréquenter à domicile" à cause de notre situation précaire. - cette fois ci, prend soin de cet uniforme. Ne va plus tomber dans des flaques d'eau teinté comme tu m'as dit. Tu sais qu'on n'a pas les moyens te t'en coudre un nouvel - oui maman *** - je suis désolé Smith. Je ne pouvais pas t'aider au risque d'être dans de sérieux ennuis également. Me parlait Marcelle - je te comprends ne t'en fais pas. Je ne veux pas que tu sois dans les problèmes à cause de moi. Et t'inquiètes Ça ne change rien pour toi je ne sais pas ce qu'il en est de toi - ça me fait bizarre qu'il te traite de cette manière. J'ai envie de me rattraper. Je mesure l'ampleur de ses actes maintenant qu'il s'est attaqué à toi. Je me suis imaginé à ta place et ce n'était pas cool. Tous ces trois jours je me suis inquiétée pour toi. Je te promets de ne plus te laisser tomber. - merci. Mais, Comment vous prenez plaisir à rire de la situation financière des autres. Et à harceler les autres comme vous voulez ? Personne ne choisit de naître riche ou pauvre, si tu étais pauvre tu n'aurais pas aimé - tu es pauvre ? ( Au point où hier on a faillit dormir l'estomac vide) - non, pourquoi cette question ? C'est pas là le sujet. Moi je suis de ceux qui pensent que pour juger ou poser des actions, on doit ceux mettre à la place de l'autre. Vous avez des habitudes bizarres par ici. Je n'étais pas habituée à ceci dans mon ancien établissement. Là-bas, il y avait la paix, la solidarité, l'amour, l'entraide, la charité, le dynamisme... - le nom de ton école c'était quoi? - ah laisse les questions et embrasse moi, ça fait trop longtemps. On se fait une étreinte puis la sonnerie qui signale la pause de midi retentit. pendant que la classe se vide, je fais un tour à la bibliothèque pour lire des manuels. C'est le seul endroit où il y'a une bonne lumière et je peux m'éduquer gratuitement. - tu ne viens pas manger? - tu connais mes soucis de santé, je fais un saut à la bibliothèque mais s'il y'a encore du temps, je te rejoins question de te tenir compagnie. ( Au moins là-bas c'est gratuit. Si je ne fais pas comme ça comment serais je informée ? ) *** Esthelle la petite amie de Daniel s'est réveillée de bonheur. Son objectif, faire sourire son mec. Aguicheusement vêtu de la tête au pied, elle arrive au bahut et cherche son Daniel. Dès qu'il la voit, il piaffe. - bonjour mon amour. Content de me voir ? - oui bien-sûr. Comment tu as su que j'étais ici? - qui ne sais pas que tu aimes rester ici avec tes potes. Bonjour les gars, vous pouvez sortir ? Je veux être avec lui uniquement. - bonjour la politesse Arsène et Mikael sortirent. - tu m'évites ou quoi? Je t'appelle tu ne décroche pas ; je t'écris tu ne réponds pas. Tu me fais souffrir. - je suis désolée chérie. - je voulais qu'on passe un peu de temps ensemble. Ça fait un moment qu'on est en froid et ça ne me plaît pas. - tu as raison, on va faire comme tu dis. J'ai quelques choses à faire plus. Il lui fait une bise. Elle lui donne du chocolat et souris puis s'en va. *** Smith À la sortie de là, après au moins 30 minutes, je tombe nez à nez sur Daniel et ses amis au couloir qui mène à ma classe. Regardant presque au sol parceque je ne veux pas d'ennuis comme mon père m'a dit à la veille, je pense éviter les problèmes de cette manière. Flashback Après avoir soupé. Je debarassais les plats. - je sais qu'il y'a quelque chose qui ne va pas C'est alors que je lui ai tout raconté sans rien sauté. - il faut s'assumer, en même temps c'est pas tout qu'on dit surtout dans les premiers jours. Aussi, ne perds pas de vue notre objectif, ton objectif que ces scénarios ne te distrait pas. Je te sais déterminé et équilibré. Surtout soit flexible. - je dois me faire marcher dessus ? Je dois supporter ça ? Aujourd'hui c'était mon uniforme, puis il m'a poussé au sol, on se fait tapé dessus. - dans la vie on doit faire des compromis. Une personne doit nécessairement baisser sa garde. Ou alors tu peux faire croire à l'autre qu'il est au contrôle alors qu'en vérité tu tiens les ficelles et il est ta marionette. Mais surtout ne cesse jamais de faire du bien à cause des autres ça jamais. Soit le changement que tu veux voir dans le monde. - j'ai peur papa et surtout j'ai mal de voir comment nous sommes traités. - tu grandis. La douleur permet d'apprécier le bonheur et de grandir. Ne baisse pas la garde mon papillon épicé. - Merci papa Fin du flashback Je marche ainsi jusqu'à ce que je sente une marque sur mon pied gauche et tombe au sol. Comme d'habitude, les quelques personnes qui sont autour éclatent à tour de rôle. Je me relève, époussete ma tenue et comprends que le roi des orgeuilleux a soigneusement bloqué mon passage avec son pied pour que je tombe. - pourquoi tu as fait ça ? Même lorsque je t'évite tu me cherches ? Dis je toute énervé - quand je passe, tu arrêtes de marcher, tu arrêtes de respirer, tu reste sur place comme un statuette. - (...) Je ne dis rien - ça fait 3 jours que tu n'ai pas venu je m'ennuyais vu que personne ne m'a causé de tort comme toi. Quand tu es dans les parages je ressens tes ondes et j'ai tout de suite envie de te faire du bien. Maintenant que tu es de retour, je vais pouvoir me divertir un peu. - je ne suis pas une poupée pour que tu te divertisse sur moi. Tu te prends pour un roi et moi ton esclave ? - tu l'as dit. Tu as un nouvel uniforme à ce que je vois. - tu as la myopie ? - tu n'aurais pas dû. Mickael ? Passe moi les ciseaux s'il te plaît. Je vais t'apprendre ce qu'on appelle le respect des autres et surtout, je vais te faire partir de ce lycée de toi même - quel respect ? Tu vas m'apprendre quelque chose que tu ne connais pas ? Au contraire, je vais t'apprendre comment respecter les autres et ceux même si c'est à mes dépends. je n'irai nul part, ma place c'est ici. C'est vrai que durant ces trois jours installé chez moi, je réfléchissais à aller fréquenter ailleurs mais maintenant que tu parles, je vais rester et ceci rien que pour te nuire et voir ton visage se décomposer comme à chaque fois que tu me vois. - as qui tu parles ainsi ? Il prit la paire de ciseaux et voulu s'attaquer à mon uniforme une fois de plus - t'as une obsession avec mon uniforme ? tu veux encore le déchirer? - c'est pour te faire pleurer. Il y'a rien d'attirant sur toi, ni ta l'aide figure ni ton corps aussi mince que des lamelles de spaghetti. Idiote. -... Silence - désolé tu as raison. Je dois respecter mes camarades. Arsène, tu peux me donner une bouteille d'eau. Smith va se désaltérer. - tu connaison non! - je reconnais que je suis maladroit parfois. Tient je m'excuse. Sans réfléchir je pris la bouteille d'eau. À peine une gorgée et c'était bon. Elle contenait du piment. L'eau était tiède et piquante. Après avoir toussé et manqué de m'éttouffé sous leur rire, regard et caméra je revins à moi. - tu veux me rendre malade ou quoi? - je veux que tu disparaisse c'est tout. J'ai une aversion exacerbée envers qui tu connais. - c'est toi l'idiot et si tu persistes je vais te battre. Francis nganou tu le connais ?. (la ceinture noire c'est dans la tête, Je frappe les gens comme il n'est pas permis) Sans même finir de parler, il passa le ciseau derrière ma nuque et coupa le bout de mes longs cheveux. Environ 5 centimètres. Involontairement, je l'assena une gifle brouillante. Apparemment j'étais douée pour gifler, je pouvais voir la marque de mes cinqs doigts sur sa joue gauche. - tu m'as giflé ? Demanda t'il les yeux rouges brillants à cause des larmes qu'il ne voulait laissé couler, le visage crispé et la joue entre les mains. - et je le referai prochainement. Je peux être très désagréable. Ne me provoque plus. J'espère que j'ai été claire. Je ne supporte pas l'humiliation. Ma patience a des limites. Tu vas m'arrêter tes gamineries et caprices démesurés. Les humains ne sont pas des jouets. Désolé pour toi si ta vie est désastreuse, tu ne dois pas détonner ta colère sur les autres. Non. Personne ici n'est responsable de ce que tu es. Et vous qui riez, ne me cherchez pas non plus. *** Après mon heure de marche en direction de chez moi pointée, le même scénario qu'hier se produisait. La routine quoi! J'avais faim et il n'y avait personne. J'étais aussi énervé à cause de ce Daniel; Donc, pour évacuer mes nerfs en les attendant, j'ai entrepris de faire le ménage balayé la cours, puiser de l'eau pour faire la vaisselle. Quand l'eau n'est pas maronne, il y'a coupure et puis les factures coûteuses viennent. Pufff...Figurez vous qu'au 21ème siècle ça existe. Il y'a encore des pays où les coupures intempestives d'eau et d'électricité sont au rendez vous. À D'autres régions, il y'a même pas d'eau ou de lumière. Quand je finis mes travaux, il est exactement 18h et personne n'est toujours arrivé. Je m'allonge donc sur un canapé, met une émission de télévision au hasard et attends très sagement car aujourd'hui je ne peux pas aller au restaurant. J'y vais juste 3 fois par semaine. Quelques minutes après, mes parents débarquent. -bonsoir papa maman où étiez vous passez j'ai eu beaucoup peur. Il est déjà 20 heures. D'habitude vous rentre plutôt que ça. -bonsoir ma chérie dit mon père Ma mère était entrain de couler des larmes. - Pourquoi pleures tu maman sèche tes larmes et où est glinda ? Elle continua de pleurer sans répondre je me suis alors rapproché de mon père qui semblait serrein et lui ai retourné la question - ta soeur a eu un malaise. Actuellement elle est emmené chez un guérisseur vu que nous n'avons pas les moyens pour l'hopitaliser. À mon tour comme une madeleine, j'ai commencé à couler les larmes. À suivre...
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