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LE MONDE PARALLÈLE

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Blurb

Je m'appelle Angel, j'étais très fêtard, rien ne pouvait m'arrêter. Je profitait de la vie à pleine dents . Un jour, j'étais dans un soirée et comme toujours, j'ai beaucoup bu mais en plus, j'avais pris des stimulant. Quand il fût le moment de rentrer, j'ai refusé que l'on me ramène. J'ai donc pris le volant et j'ai foncé dans un ravin. Je suis mort sur le coup. Soudain, je me réveillait, dans une ville très étrange qui me semblait pourtant familier. Je n'y comprenais rien, et j'avais perdu la plupart de mes souvenirs. J'essayais de me rappeler tant bien que mal mais rien ne venait. Soudain je voyais des montres indescriptibles se ruaient vers moi. Je n'avais plus le choix, je devais courir, courir pour survivre. Je devais non seulement me rappeler pourquoi j'étais ici et comment mais en plus je devais combattre des monstres aussi méchant les uns que les autres. Mais le calvaire ne fait que commencer quand ils commencent à gagner notre monde, une épreuve redoutable nous attend tous.

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L'accident
Mon nom est Angel ... Angel Travis. J'ai 21 ans ... enfin j'avais 21 ans à l'époque J'étais un garçon très ordinaire .. enfin presque... je dirais même que non, loin de là. Je vivais avec ma mère Marie Rose et Robert Travis mon père. J'avais une petite sœur Claire elle avait 18 ans au moment des faits. Je n'étais pas particulièrement proche de ma famille. Je ne parlais pas à ma mère ni à mon père d'ailleurs, ma petite sœur avait peur de moi. Elle me trouvait effrayante, pas étonnant vu ce que disait les gens sur moi et pour être franc, je m'en foutais complètement. Je vivais ma best life je vous assure, j'avais tous ce que je voulais, des filles, de l'extasie, du fric et des potes. J'étais populaire, ma famille était riche et je pouvais avoir toute les filles que je voulais. J'étais comme un aimant, je les attiraient toutes sans exception, le charisme est dans mes gènes. Mais les filles, je prenais bien soin de les trier Ouais, je les classais selon certains critères. Il y avait celles qui étaient populaire comme moi, belle, sexy le genre de fille que l'on voit dans nos rêves koi, celle avec qui on a envie de se promener pour montrer que l'on a une meuf canon à notre bras. Vous voyez le genre ? ce genre de filles là, je couche avec elle et je sors avec elles maximum 2 semaines. Ensuite venaient celles moins populaire mais tout aussi sexy ?. Je n'avais pas besoin de m'afficher avec elle, je me contentait de coucher avec elles et puis c'est fini, je ne leurs adresse plus la parole.Du jour au lendemain je ne m'interessais plus à elles et ça les choque ? Sérieux? Tu t'imaginais quoi franchement? Oui oui je sais que ce n'est pas bien mais J'étais jeune et surtout insouciant. Je ne savais rien de la vraie vie. J'obtenais tout ce que je voulais et ça me convenait très bien, plus que bien même. Puis venait Les filles super simples qui ne faisaient pas attention à leurs accoutrement. Par ce qu'elles savent que personne ne leurs prêtait attention. Mais elles étaient toujours les meilleures en classe on se demande pourquoi ? ! ?‍♀️ Bref l'essentiel c'est que ces filles là je ne les utilisait que pour augmenter mes notes en classe tu vois le genre elles faisaient mes deoirs, me passaissais toutes les réponse des interro. Que demander de plus ? Mais il y'en avait une en particulier. Elle était dans ma classe. Elle était toujours devant mais était très timide. Elle s'appelait Juliette. Je lui plaisait comme toutes les autres fille. Bref il ya 2 ans, quand j'étais encore au lycée pour ma troisième année, je l'ai approché. Elle était bien dans toutes les matières sans exception. Et j'avais grave besoin de faire grimper mes notes. J'ai donc user de mon charme et elle avait accepté de m'aider . Je la narguais en lui faisant croire que j'étais attiré par elle mais ce n'était pas le cas franchement, je ne me voyais clairement pas avec cette fille là. Elle était trop classique à mon goût. Elle passait inaperçue. Un jour, elle a essayé de m'embrasser et je l'ai recalé. Elle était tellement gênée la pauvre. Avec les copains, on se moquait d'elle en lui criant 《 Hey Juliette ou est Roméo 》 ou du genre 《 Juliette qu'est ce que tu fais encore là ... je suis sûr que Roméo t'attends avec impatience là haut 》. Et elle partait toujours en courant. Mais à chaque fois que j'étais avec elle, je lui disais 《 Non , tu sais mes amis ne doivent pas savoir que tu es ma copine sinon tout le monde t'en fera bavé par ce que toutes les filles veulent être avec moi tu comprends ? Du coup vaut mieux que je continu à te taquiner quand on est avec les autres tu ne crois pas ? 》 Je me souviens que je lui disais toujours de me donner son plat et au final elle ne déjeunait même pas. juste pour dire que j'étais un beau salaup et que je n'en faisais qu'à ma gueule. la pauvre elle gobait tout ce que je lui disais franchement ça me plaisait bien de voir que j'ai de l'influence sur les autres. Mais un jour, on m'a annoncé sa mort, elle s'était suicidée. Quand j'ai repensé à tout ce que je lui ai fait, j'ai compris que c'était de ma faute. j'étais responsable de sa mort. J'avais indirectement tué Juliette et le pire c'est que ça m'étais complètement égal. J'ai juste fait comme si je ne l'avais jamais connu bref j'ai continué ma vie comme avant. Je suis allé en Fac et je suis encore plus devenu un fêtard. Tout le monde connaissait ma réputation de tombeur et pour être franc avec vous, j'aimais bien ce mot 《 tombeur》 ça m'allait bien. J'étais convié à toutes les fêtes. C'était de la bombe. Mais cette nuit là, C'était Éric qui organisait une fête. Ses parents étaient absents donc c'était quasi obligé de faire une fête chez lui. Comme toujours, je m'y suis rendu avec deux potes, Jonathan et Thomas. C'étaient des vrais ... enfin c'est ce que je croyais en tout cas. Avec ma nouvelle lambourguini, la foule me clamait dès mon arrivé. J'étais le roi de la teuf et j'ai été accueilli comme il se fallait avec deux jolie meufs très canon juste à mon goût. Je dansais, je chantais à tue-tête. Et j'enchaînais les verre. Après tout le monde m'appréciait et m' offrait des verres pour me témoigner leur respect. Mais cela ne me suffisait pas, j'avais besoin de plus. Je me tournais alors vers mon ami Jonathan il en avait toujours en réserve. je m'exclamai 《 Yo bro tu n'as pas quelque chose pour me faire planner wsh》 Jonathan : Yo parle doucement mec t'es déjà défoncé bro Moi : Shutttt file moi ce que tu as dépêche . Jonathan venait de sortir un paquet de sa poche mais avant même de l'ouvrir, je la lui piquait. Jonathan : Wo wo bro tu fais quoi là ? Moi : A ton avis ? Jonathan : Non je veux dire ... y'en a trop là frère tu peux pas tout prendre sois réaliste man. Moi : Réaliste ? tu crois que j'ai la tête à réfléchir sur tes trucs de réaliste ou je ne sais quoi ? Rlaxe frère, c'est une vraie merveille ça aller Vas-y dégage. File d'ici bro. Jonathan se passa la main sur la tête . Jonathan : p****n ce nest pas vrai Je suis allé à une table, il devait y avoir 20 comprimé blanc. Je n'ai même pas chercher à savoir ce que c'était. Tout ce que je voulais c'était tout ressentir à fond. J'avais tout sniffer. Tout était devenu plus grand, plus fort, agréable. Je me sentais soulevé au ciel, j'aimais cette sensation. j'ai continué comme ça, défoncé à ne plus savoir quoi faire. Il était 3h du matin et j'étais fatigué. Je suis sorti pour prendre ma voiture. J'entendais une voix m'appeler, c'était celui de Thomas. Thomas : Yo mec tu vas où comme ça ? Moi : A ton avis ? ... je rentre chez moi ... je cherche ma lambourgini ... tu sais où je l'ai garé? j'avais du mal à parler clairement, je ne savais même pas où j'étais. tout était flou. Thomas : Non non bro tu ne peux pas tu es complètement à l'ouest je te signale. Moi : Nonn nonn tu mens ... c'est toi ... qui ...es ... com ... pléte ... ment ... à .... l'ouest. Pas ... moi ... ok ... alors n'essaie pas de me retenir ... je ... fais ... ce ... que ... je ...fais ...éloigne toi .. vite ...il y'a ... une ... bombe. Jonathan : Arrête mec tu délire complètement. Il n'y a pas de bombe ici mais si tu prends ce volant sois sûr que tu vas mourir. Je ne l'écoutais pas, j'ai finalement trouvé ma voiture. Je m'y suis glissé et j'ai démarré. Jonathan était toujours au même endroit. Il ne bougeait pas, il se contentait de regarder la voiture s'éloigner. Le moteur à fond, la musique que j'avais allumé me timpanisait. C'est comme s'il y avait un rideau blanc un peu transparent que l'on avait mis sur le visage. Tout était si flou. J'ai secoué la tête pour enlever ce morceau de tissu qui recouvrait mes yeux mais rien et puis BOOM . Je venais de tomber dans un ravin. J'ai foncé droit dessus sans rien voir. J'étais inconscient mais j'ai quand même ouvert les yeux deux secondes avant que tout soit noir. BOOM ma voiture venait d'exploser. Tout était si noir, si vide, si froid.

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