Une nuit d’amour

Je ne sais pas si cette histoire vous donnera des leçons mais je peux vous dire qu’elle vous fera rêver ?, je l’espère en tout cas ❤️ Une nuit d’amour Alya a enfin trouvé son père , elle veut lui dire la vérité mais ne sait pas comment s’y prendre . Sa seule option c’est d’être femme de ménage dans le luxueux hôtel de celui ci afin de le rencontrer et lui dire qu’elle est sa fille . Son père va t’il bien prendre la nouvelle? Va t’elle sortir de la pauvreté ? Va t’elle connaître la sensation d’être riche ?Va t’elle trouver l’amour ? Va t’elle souffrir ? Je vous prie de bien vouloir suivre l’histoire intitulé «une nuit d’amour » , l’histoire d’alya Épisode 1 Je suis devant cet hôtel juste à cause de ma mère , c’était sa dernière volonté .... je m’appelle alya amani , j’ai grandi sans connaître mon père . C’est après la mort de ma mère que j’ai su qui était vraiment mon père , elle a laissé une lettre pour moi ou elle donnait les informations précises pour le retrouver . Vous saurez un peu plus Cetait la première fois que je me tenais devant cet hôtel , je stress .. Je retiens une exclamation de surprise l’orque je rentre dans cet hôtel , l’hôtel maldalay bay du riche Paul Adje , la résidence préférée de tout les touristes Le hall est somptueux et a la taille d’une salle de bal , le hall était mouvementé , les employés couraient de partout , c’était beau et aussi discipliné Un bruit derrière moi attirait mon attention. Un employé remplaçait une ampoule sur l’un des imposants lustres de cristal qui éclairaient d’une lumière subtile les murs safran. Les moulures du plafond et les colonnes de marbre ajoutaient à la splendeur du lieu, tandis qu’une faible mais persistante odeur de peinture fraîche trahissait une rénovation toute récente. Mes chaussures plates ne faisaient aucun bruit sur le sol de marbre noir et blanc tandis que je me dirigeais vers l’ascenseur, conformément aux instructions que j’avais. reçues. Un homme s’avance vers moi. Lui: Puis-je vous aider ? Son ton était courtois, mais il avait sans doute compris à mon tailleur strict que je n’étais pas une cliente. Moi: J’ai rendez-vous avec Mme Coulibaly Lui: Oui, bien sûr. Si vous voulez bien me suivre jusqu’à l’ascenseur. Je vais vous débloquer l’accès au sous-sol. Moi: Merci. J’avais encore quelques minutes d’avance lorsque je frappais à la porte de la gouvernante générale. Grande et mince, Mme Coulibaly portait un tailleur plus strict encore que le mien avec un corsage blanc boutonné jusqu’en haut. Madame coulibaly :Mademoiselle Amani ,je suis heureuse de vous voir et j’espère que vous êtes prête à commencer immédiatement Moi: Oui, bien sûr. Madame Coulibaly : Parfait. Votre étage a été réservé pour le harem de l’émir samir du Qatar Moi: Un emir doit séjourner à l’hôtel ? Madame Coulibaly : Oui, nous allons accueillir pendant quinze jours l’émir samir qui sera rejoint par sa fiancée la deuxième semaine. Le Maldalay bay ne s’apprêtait pas à accueillir n’importe quel emir mais le prince héritier du Qatar Considéré comme l’un des célibataires les plus séduisants de la planète Moi: J’en prends note Madame Coulibaly : En plus de l’entretien de votre étage, vous superviserez personnellement celui de la suite de l’émir et des chambres adjacentes, occupées par sa garde personnelle. C’était ce qui s’appelait être jetée d’entrée dans le grand bain, Mais ce n’était pas un problème. J’aimais les défis. Néanmoins, celui-là serait de taille. Heureusement que j’avais travaillé comme femme de chambre dans un autre grand hotel et aussi dans de grandes maisons pendant les vacances tout au long de ma scolarité. A la fin d’une première journée épuisante , je regagne ma chambre meublée que j’avais louée. A peine plus grande qu’une chambre de résidence universitaire, dotée d’une kitchenette et d’une minuscule salle d’eau, celle-ci était bien différente du deux pièces avec balcon que je partageais avec ma mère à san Pedro . Ma mère m’a laissé une lettre comme je vous l’avais dit ou elle m’a fait une révélation , La révélation étant bien sûr celle concernant l’identité de mon père biologique. Le richissime , Paul Djedje propriétaire de l’empire hôtelier maldalay bay . Après avoir entendu parler pendant des années des frasques de ses enfants légitimes, abondamment commentées par la presse people,je ne parvenais pas à croire que j’étais du même sang que lui. Moi qui avait dû travailler avec acharnement pour obtenir ce que je désirais , que pouvait je avoir de commun avec cette famille de nantis ? Cet homme éveillait chez moi une curiosité un peu malsaine. Comment avait-il pu accorder à Ma mère une pension misérable pour la fille qu’elle avait eue de lui, tout en inculquant à ses enfants légitimes le goût du luxe et de l’excès ? Ma mère n’avait jamais révélé à personne l’identité de mon père . La honte qui l’avait accablée en apprenant qu’il était marié l’avait poursuivie toute sa vie. Malgré tout, sans le nommer elle m’avait toujours dit que mon père n’était pas un homme malintentionné, mais qu’il traversait à l’époque une période très difficile. Et dans sa lettre, elle me demandait de me rendre à Abidjan pour me présenter à lui. Il était hors de question de ne pas respecter la dernière volonté de ma mère. Toutefois, j’étais heureuse d’avoir la possibilité d’approcher l’homme incognito, en tant qu’employée et non comme la fille qu’il n’avait jamais reconnue. 10 jours plus tard.... Il y avait deux semaines que j’étais arrivée à Abidjan et dix jours que je travaillais au maldalay , mais je n’avais pas encore aperçu mon père. Apparemment, Paul Djedje résidait actuellement en France ,laissant son nouveau directeur général, le redouté Christian fall , gérer le groupe Cependant, l’Honorable Émir samir arrivait aujourd’hui et paul Djedje tenait à l’accueillir en personne. De toute évidence, le séjour de l’émir revêtait une importance primordiale pour l’hôtel et son propriétaire. Une raison supplémentaire pour moi de me montrer à la hauteur de sa tâche. Le jour où je me présenterais à Paul djedje comme sa fille, il était hors de question qu’il puisse me reprocher quoi que ce soit sur le plan professionnel. Mon étage était fin prêt pour l’arrivée de l’émir . Un plateau de fruits et un vase en cristal garni de jasmin attendaient les occupantes de chaque chambre. Un homme d’un certain âge qui traversait le hall d’une démarche altière attira mon attention. Promenant autour de lui un regard de propriétaire, il répondit aux nombreux saluts des employés par un signe de tête majestueux. Mon père. Les cheveux noir , le regard vif, il mesurait environ un mètre quatre-vingt-cinq et n’était qu’imperceptiblement voûté par les années. Avec son costume Pierre Cardin et ses chaussures visiblement faites main, il avait la même élégance raffinée que la clientèle fortunée de son hôtel. Il s’arrêta devant le comptoir et s’adressa au chef réceptionniste en souriant. Javais le souffle coupé. Ce sourire je l’avais vu toute ma vie dans le miroir, même si les lèvres de paul Djedje étaient plus minces que les miennes . J’ai hérité de la peau couleur marron de mon père et de son visage ovale. La ressemblance n’était pas frappante, mais ce sourire... Il n’y avait aucun doute. Cet homme était bien mon père. Beaucoup plus émue que je ne l’aurais voulu, Je vacillait sur mes jambes et dut poser la main contre le mur pour garder mon équilibre. Rejetée avant même sa naissance par les Amani , je n’avais eu pour toute famille que ma mère. Depuis la mort de celle-ci je n’avais plus personne, mais si cet homme acceptait de me faire une place même petite dans sa vie, je ne serais plus seule au monde. paul Djedje tourna soudain la tête et redressa les épaules.Je suivais son regard, et pour la seconde fois en l’espace de quelques minutes, je sentais mes genoux se dérober sous moi une escorte impressionnante vêtu de l’habit traditionnel des emir venait de faire son entrée dans le hall ,l’homme le plus splendide que je n’avais jamais vu. L’emir est d’une beauté saisissante, qui n’enlevait rien à la virilité qui émanait de tout son être. Il était vêtu d’une dishdasha noire et coiffé d’un keffieh bordeaux. Irrésistiblement attirée malgré moi par le nouvel arrivant, Je me dirige vers lui sans même en avoir conscience. C’est quand je me suis retrouvé seulement à un mètre de lui que je me suis arrêté Mais il était trop tard. Les yeux couleur café de l’émir se posèrent sur moi et il arqua les sourcils d’un air interrogateur. J’étais incapable de dire quoi que ce soit ,j’avais l’esprit subitement vide, il ne ne vient même pas à l’esprit de souhaiter la bienvenue a l’émir . Je reste là, muette, immobile. J’étais vaguement consciente de la présence d’autres personnes, mais je ne voyais que l’emir. Je ne sentais plus rien d’autre que le parfum épicé de l’émir qui se mariait avec son odeur masculine. Mes seins soudain très sensibles se dressaient sous le fin tissu de mon corsage, tandis que mon cœur battait aussi vite qu’après un exercice physique éprouvant. L’expression du cheikh ne changeait pas, mais quelque chose dans son regard m’indiquait que je n’étais pas la seule à être troublée. Madame Coulibaly : emir sami, je vous présente Amani , la gouvernante responsable de l’étage du harem et de votre suite Etre appelée par mon nom de famille était habituel pour moi. Rencontrer un prince héritier ne l’était pas du tout. Mon cerveau se remit malgré tout à fonctionner Moi: Emir, c’est un honneur pour moi de me mettre à votre service et à vos compagnons de voyage. L’émir Samir Les paroles de la ravissante femme de ménages provoquèrent chez Moi une réaction sans précédent et tout à fait inacceptable. Ma virilité s’éveilla et mon esprit fut assailli par des images érotiques illustrant de quelle manière exactement j’aimerais que la jeune femme se mette à mon service. Depuis quand j’avais ce genre de fantasmes ? . Mon statut de futur marié et surtout de prince héritier m’imposait de chasser ces images de mon esprit et d’ignorer les réactions intempestives de mon corps. Même si cela demandait un effort considérable. Moi: Merci, mademoiselle Amani Je lui indique ma gouvernante personnelle, qui se tenait à quelques pas. Moi: Je vous présente Safia ,Si nous avons besoin de quelque chose elle vous en informera. De votre côté, si vous avez des questions vous vous adresserez directement à elle. Mlle amani: Merci, Votre Altesse. Elle inclina de nouveau la tête avant de se tourner vers Safia Mlle amani: Je suis enchantée de travailler avec vous Safia