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Entre de bonnes mains

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-Tu m'aimes?

-Ce n'est pas comme ça que j'avais prévu de te faire part de mes sentiments mais je t'aime Danna comme je n'ai jamais aimé personne.

-Tu veux un verre? Lui avait-elle demandé secouée par sa déclaration.Élevée par son père, Danna n’a jamais été le type de femme qui présentait ses copains à son père pour que ce dernier leur dise seulement de prendre soin de sa fille mais aussi bonne chance. Alors quand Danna fait la rencontre du célèbre entrepreneur Alessandro Garcia, elle est partagée entre fuir cet homme énigmatique ou accepter toutes les émotions qu’il lui faisait ressentir.

Julia Michaels n’a t-elle pas dit que tous les gentils allaient au paradis pendant que les mauvais nous l’apportait? Alors, parviendra t-elle à différencier le gentil du vrai?

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Chapitre 1
-Je te promets de te chérir.. de t'être fidèle jusqu'à ce que la mort nous sépare.... Fidèle mon cul. Nous devons quand même avouer qu'il a tenu une demi journée avant de tremper sa banane dans la sauce d’une des serveuse. Trois mois s’était écoulé depuis et je vis la situation plutôt bien. Bon certaines fois je lisais de la pitié sur le visage de certains de mes employés ou encore de quelques membres de ma famille. Mais j’allais bien. Après tout j'étais Danna, personne ne surmontait plus vite une situation que moi. Je regardais le ciel tout en me disant que cette sera magnifique et que de bonnes choses m’arriveront. -Hé Danna! C'était Amélia. -Oui Amelia! -Tu as l'appel de monsieur Garcia sur la ligne 4. -Qui? -Il dit s’appeler Alessandro Garcia Miller. J’avais entendu parler de cet homme. Téméraire, froid. Qui enchaînait le succès. Alors pourquoi m’appelait-il? J’avais pris l’appel, sans savoir que ma vie changerait à jamais. Voilà une bonne dizaine de minutes que je poireautais dans ma voiture devant ce fichu restaurant sans avoir le courage de lui faire face. Une dizaine de minutes plus tard j’y rentrais enfin. Un rapide coup d’œil, je le vis. Dans son costume sombre et ses verres montés sur son nez qui le rendait si mature. Ouh là Danna. Tu risques de péter les plombs après ce qu’il va t’annoncer et tu l’admires avec de la bave au coin des lèvres? J’allais m’asseoir. Il ne me regardait pas tout de suite, occupé à lire un mail. -Vingt minutes de retard madame O’Neil. -Je ne suis plus madame O’Neil. Alors j’aimerais comprendre ce qu’il se passe. Comment ça mon entreprise vous a été vendu? Je n’ai rien fait de tel. -Ce n’est pas votre signature sur ces papiers? Il me les tendit enfin. C’était bel et bien ma signature. -Ca l’est mais ... -Vous signez donc des papiers sans les lire? Madame O’Neil qui ne l’est plus. Le voilà sarcastique. Je le regardais. Il était beau voir magnifique même. Il tapotait ses longs doigts sur la table qui eut un effet direct sur mon entrejambe. Tu es niaise Danna. Reprends-toi. -Je suis désolée mais je ne vais pas laisser passer tout ça sans rien dire. Je suis prête à vous dédommager s’il le faut. -Dix millions si le contrat vient à se rompre. -Dix mil.. millions de quoi? Ce n’est pas possible. -J’ai bien peur que oui. Votre mari a perdu son pari... -Et qu’est-ce que j’ai à faire avec cette information. Je veux dire qu’est que vous proposez d’autre? En dehors des dix millions ou la prison? Repris je voyant qu’il me regardait en haussant ses sourcils et un vieux sourire sur ses lèvres. -Devenez mon assistante. -Je vous demande pardon? -Alors nous n’avons plus rien à nous dire. Il se levait. Dans un dernier élan de courage, je l’attrapais par la main. Si douce. -Je m’excuse. Asseyez-vous. Discutons. Admettons que j’accepte de devenir votre assistante qu’est-ce qu’il se passera ensuite? -Dépendemment de vos évolutions, de vos performances j’envisagerais de vous rendre votre poste, tout en restant votre associé et aussi je serai l’un des investisseurs. -Et si vous n’êtes pas satisfait de mes performances? -Je vous vire et je change tout en quelque chose qui m’aille vraiment. Je déglutis. -Puis-je réfléchir? -Vous avez tout le week-end. Après ça vous savez déjà ce qu’il va se passer. Et merde. -D’accord. Il me tendit les documents avant de sortir du restaurant me laissant seule avec ses foutues pensées salaces et dégoûtantes... Je montais ma voiture, pour rentrer chez moi avant qu’un éclair de lucidité ne m’attrape. Il fallait que je voie ce bon à rien de Paul. Une fois devant chez lui, je pris les clés qu’il laissait dans le petit vase et rentrais. Il y avait des vêtements parterre. Des verres qui trainaient sur la table. Monsieur se tape des femmes pendant qu’il me met dans la merde. Je montai par quatre les escaliers et les vis. Ils sont dégoûtants. -Hé Paul faut qu’on parle. Ils sursautaient. La femme qui s’empressait de se cacher. -Rassure-toi je ne suis pas sa femme. Tu n’as pas à te cacher. Par contre dégage il faut que je lui cause. -Connasse. -Je ne perdrai pas mon temps en te mettant mon poing dans la gueule alors dégage pendant que je suis gentille... -Alors Paul! Comment ça va? -Viens en aux faits. J’allais m’asseoir sur le lit. -Tu es degueulasse mon pauvre. Flasque et tout. Nous n’en sommes pas là. Comme ça tu as parié mon entreprise dans tes sales affaires. -Ce n’est pas de ma faute si tu ne lis pas avant de signer. -Tu as raison. C’est la première fois que nous sommes d’accord sur un point. Je disais donc. Tu as parié mon entreprise et tu as cru que je te laisserai faire? -Qu’est-ce que tu peux faire? C’est ta signature sur les documents. Tout est vrai. Alors va pleurer dans les bras de ton père. -S’il y a bien quelqu’un qui va pleurer de nous deux c’est toi. Et tu sais pourquoi ? Parce que tu as toujours été stupide et que tu réfléchis avec ton cornichon au point de ne pas avoir remarqué que je venais de t’attacher. Il regardait sa main menottée à sa table basse avant de me traiter de s****e. -En effet j’en suis une. Et je vais te montrer à quel point tu as raison. Après deux ou trois je ne sais plus de gifles et un dernier coup avec mon sac je le laissais là. Il pleurait parce qu’il ne pourrait pas faire son shooting demain. Et c’est tant mieux. -Ne me laisse pas attacher là sinon je te jure que je vais te tuer. -Je tremble. Appelle ta nana là, elle viendra t’aider. Oups j’avais oublié, je viens de laisser tomber ton téléphone par la fenêtre. Désolée. Je te laisse cette bouteille d’eau et ces deux snacks. Ne les prends pas d’un coup sinon tu risques gros avant que quelqu’un n’arrive pour t’aider. -Connasse. Détache moi. Je sortais de chez lui, je vis sa Jeep, cette voiture qu’il chérissait tant. Je cassais les rétroviseurs avant de faire péter ses pneus. Satisfaite, je me rendais chez moi. Je ne savais comment j’allais annoncer cette nouvelle à Amélia et Andrew et mes employés. Je n’avais pourtant pas d’autres choix que d’accepter cette condition. Au lieu de tout perdre, autant perdre ma fierté... -Quoi? Je les regardais en faisant la grimace. -Comment ça tu as vendu l’entreprise? -Je ne l’ai vendu. -Mais tu n’as pas lu le document que cet imbécile de Paul t’a fait signer. Ça revient donc au même Dannaëlle. Elle était fâchée si elle m’appelait par mon prénom et je la comprenais. -Qu’est ce qu’il va se passer? -Je serai son assistante pendant un an ensuite il me la rendra. -Tu y crois toi? -Je n’ai pas trop le choix. -Mon Dieu. -Dis quelque chose Andrew. Il me sourit. -Je pense qu’Amelia te suffit amplement. -Je suis désolée. Elle me toisa avant de me tendre un verre. -Tu en as plus besoin que moi. Me dit elle

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