À LA RECHERCHE DU VRAI AMOUR PARTIE 02

1386 Words
Le ciel était vêtu d'un costume noir dignement scintillé par les quelques étincelles qui semblaient apparaître à la vue de tous. Ce noir atmosphère, calme et pimpant était couronné ce soir par la visite momentanée d'une déesse dont la valeur inestimable se sent désirée et contemplée par les passants de ce soir. Elle, qui par sa vigoureuse lumière adoucissait depuis son trône, les cœurs meurtris, avait aussi pour dessein : exaucer le vœu de celui qui se présente à elle et ce, avec un cœur sur la main. Sous une demi-ronde de forme, dame Lune fait son apparition et fait comprendre qu’elle prendra toute sa forme bientôt. Ses scintillants et innombrables enfants étaient absents cette nuit. Eux, avec qui elle se balade dans le grand costume noir, tous luisants et étincelants. Dame Lune a sûrement raison de les laisser à la maison ce soir : IL FAIT TRÈS FRAIS, aussi frais que le mot ne peut l'imaginer. Et comme « Chose promise, chose dure », cette dame doit remplir ses obligations. En quelques heures, elle s'éclipsera en laissant à nouveau une couche bleuâtre qui fera illuminer la journée. Il sonnait déjà vingt heures. Nous sommes tous à table pour dîner suivant le journal du soir. Maman nous a servi un délicieux repas : Du poulet rôti ! miam ! Mon père toujours romantique essaie de prononcer quelques mots bien qu'ayant la bouche pleine. « Chérie, tchu shais bien cuiginer hein ?» Nous éclatons de rire et ma mère prit la parole : – Merci mon amour mais termines ton repas avant de parler ! – C’est de la galanterie voyons ! On s'éclate à nouveau de rire. Nous sommes très heureux dans notre famille. Chacun finit son plat et nous regardons les informations ensemble. À vingt-une heures, je monte dans ma chambre et me place devant mon ordinateur portable pour discuter avec mes amis. Je finis de me distraire aux environs de vingt-trois heures trente minutes et je m'allonge. La première image qui m'apparaît lorsque je ferme mes yeux est celle de cette femme Rose. Je repense encore à elle et une chaleur inexplicable me prend. Elle me plaît bien celle-là. J'allume les brasseurs pour faire disparaître cette chaleur enivrante tout en pensant à elle et à la revoir un jour. Je me laisse choir sur le lit « Rose......... Je te reverrai.» Juste après cette phrase, dame Morphée me prit dans ses bras et je me suis endormie tel un bébé. ******** Les rayons du soleil filtraient entre les dentelures des nuages. Le jour avait donc mûri. On pouvait entendre les chants des coqs de part et d'autre. Les oiseaux, elles, chantaient de leur succulente voix. La plus talentueuse, la Grive, faisait des merveilles avec sa voix. Le ciel était d'un bleu mélangé d'un blanc à ravir. Le soleil avec sa lumière rayonnante et éclatante attestait qu'il fait jour. Je me frotte les yeux et me lève du lit. J’arrange ma chambre du mieux que je peux et je prends mon bain. Je me rends au salon et le thé m'attend déjà. Je le bus lentement et ma mère s'approcha de moi. Je me lève pour lui faire un câlin. – Bonjour maman ! – Bonjour mon chéri ! – Toujours aussi matinal hein ? – Ah oui. – Mère je sors à quinze heures. Je rends visite à Hubert. – D'accord. Passe-lui un coucou de la part de toute la famille. – Je ne manquerai pas. Bon. Je te laisse maman. – Mais ... et le pain ? Je reviens lui faire deux bisous qui la rendent toute joyeuse. – Non. Ça me va déjà… Je me rends dans notre jardin pour me détendre un peu, mon ordinateur portable sous la main. À quatorze heures, je me prépare pour rendre visite à mon ami. Muni d'un t-shirt simple et d'une culotte délavée, je me chausse d'un de mes baskets. Un coup de peigne dans les cheveux et me revoilà tout beau. Je monte dans ma voiture et direction Pressing Clear. J'arrive sur les lieux à quatorze heures trente minutes et Hubert était déjà là m'attendant. Je gare puis il vient vers moi. – Alors mon pote, toujours aussi stylé hein – Frère, on se connait depuis l'enfance sur ce plan. Alors tu montes ? – Avec plaisir ! Nous rentrâmes dans mon véhicule et Hubert m'indique son domicile. Quelle coïncidence ! Hubert habite dans la même vons dans laquelle j'avais déposé cette femme hier. La chance me sourit donc. Nous arrivâmes chez Hubert trente minutes plus tard. J'entre dans son salon et… – Frangin !!! Mais cette voix ressemble à celle de... DIDEROT, Oui... C’est bien lui. On se fait des accolades. Ces mecs m'ont vraiment surpris. Je n'avais jamais pensé revoir Diderot de si tôt. Tout était déjà préparé avant mon arrivée. Du bon plat m'a été servi : Du riz au gras accompagné de gros poissons. Nous nous régalâmes tous les trois. On bavarde et on se rappelle du bon vieux temps pendant près de deux heures. – Bon... Les mecs je suis ravi de vous avoir rencontré tous les deux. – Ainsi que nous Rich ! Répondirent-ils – Je vais demander à partir. Un rendez-vous galant m'attend. Dit Diderot. – Je vais rentrer aussi. Diderot et moi brandons la main à Notre pote et chacun rentre dans son véhicule. À peine ai-je démarré que mes pensées se tournent vers Rose. Je m'arrête au niveau de la vons espérant la revoir et à ma grande surprise elle sort. Elle était si belle habillée d'une robe qui mettait en valeur tout ce qu'elle possède Je baisse immédiatement la vitre pour l'appeler. – Rose !!! Elle s’arrêta, cherchant des yeux la voix qui l'appelle. Je roule et m'arrête à son niveau. Elle me reconnut et souris. – Bonsoir Richy ! – Alors comment vas-tu ? – Super bien – Où vas-tu ? – Nul part, faire une promenade pour me détendre un peu. Il est temps de mettre le grand jeu vous croyez pas ? Alors je me lance. – Ça te gênerait si je demande à te tenir compagnie autour d'un rafraîchissant ? – ..... – Dis oui s'il te plaît ! comment une si belle femme peut se promener toute seule ? Elle sourit et je peux lire qu'elle accepte ma proposition. J'ouvre la portière et elle monte dans la voiture. Je la conduis dans un restaurant non loin de sa zone. Nous prîmes une table et je lui demandai ce qu'elle voulait. – Champagne ? – Oh non ! de la bière. – Garçon ! Deux bouteilles de bières s'il te plaît ! J'observe la fée qui se trouve devant moi et .... elle était si ravissante. Je commande deux plats de spaghettis et nous nous sommes régalé. – « Tu es si belle ce soir. » Lui dis-je en touchant sa main et elle me répondit « Merci Richy » en souriant. Son sourire m'éblouit et ce qui m'excite le plus est le mouvement qu'elle fait avec sa bouche en mangeant. J'essaie tant bien que mal de me retenir. – Rose.... – Oui ? – Je n’arrête pas de penser à toi depuis le jour où on s'est rencontrés au supermarché. T'es ancré dans ma mémoire et je n’arrive pas à t’oublier. Je sens que je ressens un truc inexplicable à ton égard et j'aimerais savoir si tu es déjà pris par un autre homme. – Non. Je suis célibataire. – Alors accepterais-tu de me donner la chance d'être l'homme qui comblera tes désirs ? Je te veux Rose. Tu me plais. – Tu me plais aussi. – (d'une voix victorieuse) Alors me laisseras-tu te faire découvrir les couleurs de l'amour ? Elle ne dit rien mais je peux lire " affirmatif" dans ses yeux. Je m'approche un peu plus d'elle et quand nos regards se croisent, je pose mes lèvres sur les siennes. La vache ! ... Que c'est bon ! Ses lèvres sont si.... Comment dire ? si enivrant..., rafraîchissant... si... enfin trop de choses qui me font perdre la tête. Je sens qu'elle répond à mon b****r. Elle m'embrasse et je me perds dans son b****r. Je libère ses lèvres et lui dis - Je t'aime Rose. - Ainsi que moi. À suivre… RICHY PLUME-RAM GOD’S INSPIRATION
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