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Dark Romance sous l'emprise du désir

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Blurb

Quand le destin décide de réunir deux personnes rien ne peut faire obstacle, c'est tout à fait le cas de Lydia et Alec.

Lydia est décidée à découvrir la vérité sur ce qui s'est réellement passé, elle se retrouvera une nouvelle fois dans les griffes du diable, sera-t-elle à la hauteur pour affronter le monde obscur d'Alec ?

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Prologue
Je regarde la ville de New York à travers ma petite fenêtre. New York, la ville où tout est possible. Du moins c'est ce qu'on dit. La neige couvre le sol comme une couverture épaisse, le froid s'est installé sans être vraiment invité. Je regarde quelques passants qui marchent hâtivement par peur d'être en retard pour leurs préoccupations, et d'autre doucement par peur de glisser sur le sol dur et froid. L'arrivée de novembre amène la saison froide .Les sapins verts voilés d'une fine poudre blanche font rêver plus d'un. Les façades des maisons de ce quartier sont ornées d'illuminations démesurées, semblant tout droit sorties d'un décor de Walt Disney, confirmant l'existence de la célèbre magie de Noël. Des millions de flocons blancs descendent des nuages, et s'écrasent sur le sol, dans un mois c'est noël, et je ne demande rien, aucun bien. J'ai juste fais une liste, une simple liste remplies de simples vœux que j'espère les voir se réalisés. Cette année est à l'aube de sa fin, prête à céder sa place à une nouvelle année, un nouveau commencement, un nouveau départ... Cela fait trois ans, trois ans que je dors sans vraiment dormir, que je souris sans vraiment sourire, et que je vie sans vraiment vivre. Trois noëls, trois hivers... Les médecins disaient que je souffrais d'un trouble de la personnalité, une grande instabilité des relations interpersonnelles, une instabilité émotionnelle, une mauvaise appréciation de l'image du soi, une impulsivité marquée, gravement inadapté à la réalité. Mon père disait que j'avais passé une salle époque, et que c'était un moyen pour moi d'échapper un peu de la réalité. Les gens disaient que j'étais folle, une folle dingue créant un monde imaginaire... Tout le monde avait son mot à dire, tout le monde avait une réponse, tout le monde connaissait les raison. Oui, tout le monde, sauf moi... Malgré tous les antidépresseurs et les médicaments merdeux que j'ai pris, je sais néanmoins que je ne souffre pas d'un trouble du comportement. Si je voulais une certaine échappatoire de ce monde aussi désastreux que merveilleux, j'aurais pris un stylo et j'aurais écris des histoires, des poèmes, comme faisait les grands auteurs du modernisme, j'aurais créé un monde tout à moi, mais un monde bien, où règne le bonheur, la vie et la joie, et non pas un monde où règne la peur, le désespoir, la douleur et la torture. L'hypothèse de la folie, je ne l'ai pas encore étudié, mais ça me semble être la seule solution à mes tourments. Car en admettant que tout ce qui s'est passé été réel ça fait de moi une folle, alors oui je suis folle, et j'admets que tout ce qui s'est produit était bel est bien réel. Et je compte bien le prouver. Je le dois à Mike, je le dois à Ruby, je le dois à Zoé, Sabrina, à tous ceux qui ont trouvé la mort, mais plus important encore, je me le dois. Ces personnes sont une pure invention de mon esprit en détresse ? Non, j'en suis sure... Je reste ainsi à contempler le paysage moderne se présentant à moi comme une partie de mes émotions, comme une mélancolie puissante, un vide à combler, un passé à oublier. Ma tasse fumante de chocolat chaud dans ma main, je repense à lui... Je repense à ses yeux sombrement noirs, à son visage affichant de l'autorité, à sa carrure parfaite, je me mords inconsciemment la lèvre inferieur quand je revis les baisers qu'on avait partagés, la haine que j'ai éprouvé pour lui, les sentiments que j'avais ressentis pour lui, la façon dont il posait son regard sur moi, sa voix masculine et virile qui foutait le bordel en moi, et puis cette sensation de danger, de risque constant qui surélevait mon adrénaline jusqu'à épuisement. La porte s'ouvre sous des soupirs répétitifs, je me retourne légèrement, je vois Sergio galérait avec tous les sacs qu'il porte. Je plisse les yeux, puis je décide d'aller lui donner un coup de main. -hey...C'est quoi tout ça ? Dis-je en lui enlevant trois sacs de ses mains. -comment t'expliquer que je viens de claquer toutes mes économies ? J'écarquille les yeux en le fixant du regard. -mais pourquoi tu as fait ça ? Tu as mis tant d'effort dans ces économies ! Tout à fait le genre de Sergio. Il est vraiment très gentil, généreux, compréhensible, mais si ça parle de fringue, de mode, et de coiffure, il perd aussitôt toutes ces qualités. -Et ben c'était plus fort que moi, et puis tu ne peux pas comprendre ! -comprendre quoi ? Que t'es irresponsable ? Oh mais si je comprends. Dis-je sur un ton ironique. -Madre Mia, tu devrais sortir un peu, depuis qu'on a déménagé ici, tu t'enferme tous les jours dans cet appart, et tu restes fixer devant la fenêtre à voir l'extérieur, comme si on t'interdisait de sortir. Je pose les sacs sur la table, et il fait de même avec les siens. Je ressens un pincement au cœur, car c'est vrai ce qu'il dit, depuis qu'on a déménagé à New York, je ne suis pas sortie d'ici, sachant que mon rêve était de visiter cette merveilleuse ville. J'hausse des épaules, mais rapidement mon geste prend fin quand il pose ses mains sur mes épaules, il me fixe de ses yeux noisettes, et son sourire joyeux. -Tu sais bien que je te soutiens Lydia, tu sais à quel point je t'aime, et à quel point je respecte ton gout vestimentaire horrible ? J'hausse les sourcils, -goût vestimentaire horrible ? Il roule des yeux, avant de renchérir : -trésor, tu mélange du Chanel ave du Gucci ! J'hausse des épaules, je ne vois pas où est le mal à vrai dire. -ça ne compte pas. Ce sont des contres façons hein ! Il rit doucement puis il dépose un doux b****r sur mon front. Sergio est le genre d'ami parfait, ma dernière année de fac était désastreuse, et le mot est faible, non pas du côté scolaire, ou j'ai été major de promo, mais du côté social. Ma vie sociale était désastreuse, tout le monde me traiter de folle dingue, de fille pas normal. Sergio en a payé les frais également, à cause de son style trop tape à l'œil, et de ses origines vénézuéliennes, et de son arrivé clandestine avec sa famille en Amérique alors qu'il avait cinq ans. Du coup on s'était retrouvé, la folle et le sans papiers. Après les études, j'ai été accepté pour faire un stage pratique dans l'une des meilleures entreprises commerciales multinationales du monde. Donc on a décidé de faire cette aventure ensemble, de vivre en colocation et de vivre nos rêves. Je prends une grande inspiration puis je me dirige vers le réfrigérateur, j'ouvre ce dernier, et j'en sors une boite de fromage. -je vais faire un sandwich tu en veux ? Lui demandais-je. -non merci, contrairement à toi qui ne grossis jamais, moi je dois surveiller mon poids hein ! Ce que j'appelle le favoritisme de mère nature ! Je roule des yeux en riant doucement, il est incroyablement drôle, et c'est de quelqu'un comme lui que j'avais besoin. Je prends du pain de mie et j'étale le fromage dessus, puis je prends une petite bouchée. -tu sais quoi ? On va sortir ce soir, il y'a une super soirée au Dark. J'écarquille les yeux. -euh sans façon, je ne suis pas d'humeur à faire la fête. Dis-je la bouche pleine. -Franchement Lydia, limite si je vivais avec ma grand-mère ça serait beaucoup plus fun ! T'as à peine vingt-cinq ans, et u réagis comme si tu en avais cinquante ! Aller quoi, juste pour cette fois, demain tu commenceras ton stage, tu n'auras plus le temps pour faire des folies ! Je soupire doucement, en affichant un air qui veut simplement et clairement dire « je ne suis pas le genre de fille à faire des folies ». -et si jamais ça se passe mal ? Il me fixe perplexe. -comment ça mal ? Genre rentrer avec un mec super canon, ou se bourrer la gueule jusqu'à oublier tous tes problèmes ? Je dirais assister à une scène de meurtre, se faire enlever, séquestrer, puis se réveiller dans un centre psychiatrique ? Ça parait surréaliste, et pourtant c'est ce qui s'est produit lors de la dernière soirée où j'étais allé sur le campus. Depuis ma sortie du centre, je ne suis plus allé à aucune fête, je n'ai plus rencontré d'homme. -Je te promets qu'on va s'amuser comme des fous ! Je soupire encore une fois, puis je le fixe du regard et il me fait encore le coup des yeux doux qui veulent dire « je t'en prie ne me laisse pas tout seul à cette soirée ! ». -et ben je... -Yes ! C'est moi qui choisis ta tenue ! Dit-il en sortant un tissu bleu de l'un des sacs. Je lui lance une grimace réprobatrice en croisant les bras. -tu avais prévu tout ça depuis le début ! Il hausse des épaules. -il faut que tu t'amuses un peu. Tu aimes la vie passionnément Lydia, un jour tu atteindras les rives du bonheur... Je ris nerveusement. -et d'où tu sors cette phrase tellement littéraire ? Vu que tu ne lis pas du tout, je suis pose que tu la sors tout droit d'**. -Hein, et ben figure toi, que je la sors tout droit de ma tête ! Dit-il en affichant son plus beau sourire. -de ta tête ? Vraiment ? Ah ben, moi je dirais que si tu remplaces « Lydia » par « Jane » ça donnera : « Tu aimes la vie passionnément Jane, un jour tu atteindras les rives du bonheur » Une phrase sortit tout droit du roman Jane Eyre, de Jane Austen, l'un de mes livres préférés...Donc oui tu la sors d'Instargram. Il roule des yeux. -bon d'accord, et puis on s'en fou l'essentiel c'est que tu viens avec moi ce soir ! -c'est ça oui ! Dis-je alors qu'il se dirige vers sa chambre tout excité comme un enfant de cinq ans.

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