Histoire de Unemeknessia
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Unemeknessia

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Amour & Certitude
Mis à jour à Mar 4, 2022, 21:50
Nadine GBEGNON épouse GBEVOU… Père spirituel : l’amour est patient, il est plein de bonté, l’amour n’est pas envieux, il ne cherche pas à se faire valoir, il ne s’enfle pas d’orgueil. Il ne fait rien d’inconvenant. Il ne cherche pas son propre intérêt, il ne s’aigrit pas contre les autres, il ne trame pas le mal. L’injustice l’attriste, la vérité le réjouit. En toute occasion, il pardonne, il fait confiance, il espère, il persévère. Cléopâtre & Antoine, Roméo & Juliette, Tristan & Yseult, Apollon & Aphrodite, ils ont su démontrer la force de l’amour, nous avons lu à travers l’histoire que l’amour surmonte tout, religion, rang social, les obstacles… la mort. Nadine prend ton homme, aujourd’hui, devant nous, il est prêt à surmonter les obstacles avec toi. Il n’est ni pieux, ni exempte de péchés, mais il implore ton pardon. Moi : mais qu'est-ce qui me dit qu'il ne recommencera pas? Comment en être certaine? Qu'est-ce qui me garantit ta parole ? Que tu n'auras pas d'autres aventures ? Père spirituel : rien du tout ma chère fille, rien ne lui garantit non plus qu'il ne sera pas puni pour le restant de sa vie. (se tournant vers moi). Quoique si vous vous êtes tournés vers une aide extérieure, c'est que vous êtes prêt à vous en sortir et à deux. Vous êtes prêt à prendre le risque pour cet amour qui vous avait unit devant cette assemblée il y a une quinzaine d’années. Et ça, ça s'appelle le pardon ! J'étais mitigée par ses paroles bien que j'eusse la haine qui dévastait mon âme, s'il existe un amour pur et sincère sur cette foutue terre, c'est bien celui que j'ai donné à mon mari durant les vingt années de notre vie à deux. C'était lui mon souffle, avec lui, j'avais ouvert mon cœur et formater mon cerveau. ERREUR Certes, mais je l'aimais ainsi, que dis-je ! Je l'aime ainsi parce que je ne connais pas d'autres façons d'aimer. Tous les yeux étaient tournés vers moi, tout le monde était suspendu à mes lèvres attendant ma réponse, pourtant je n'en avais aucune. Mon cœur voulait de cet homme, mais ma raison n'arrivait pas à surpasser les blessures et les coups durs. Peut-être qu'il a changé comme il le dit ou peut-être pas. Rien ne le prouve ! Toutefois, je me lève munie d'une force invisible et avance jusqu'à lui en silence. En silence devant lui, je l'ai pris dans mes bras, il y a de ces moments où le silence lourd et pesant exprime plus que le fond de nos pensées. Florent (les larmes aux yeux) : merci Nadine, je promets devant Dieu et les hommes ici présents de te respecter, de t’aimer et de te rendre heureuse pour le restant de notre vie. Nous recevons quelques suppléments de conseils de la part du père spirituel et de nos parents respectifs avant de regagner le domicile conjugal. * * Cynthia KLARK… Je cours à travers la forêt, je suis fatiguée, je respire à peine mais sa voix m’exhorte à faire plus d’effort. Je prends un raccourci et tombe dans un buisson, il ne peut plus me suivre, j’ai réussi à détourner son attention grâce au bruit de mes chaussures que j’ai lancé au loin dans la rivière. Je me relève aussitôt soulagée d'avoir pu le semer lorsque je me retourne et tombe nez à nez sur lui, mon bourreau, ce fou qui vient d’assassiner mes parents ainsi que mon petit frère. Il est là, devant moi le poignard couvert du sang des miens à la main gauche. Lui : Cynthia, je t’en prie ne me laisse pas, j’ai fait ça pour nous deux. Ils ne peuvent plus nous empêcher de vivre notre amour ! Je t'aime Cynthia, ne t'en vas pas... Moi hurlant : NON !!!!! Je me réveille en panique, le regard vague, le cœur qui bat très vite réveillant Austine de son profond sommeil au passage. Austine (le regard terrifié) : encore ??? Je secoue vigoureusement la tête laissant échapper quelques larmes. Moi sanglotant : il était là avec son poignard, il… Il les a tués… Elle me prend dans ses bras et me caresse le dos pour me consoler. Austine : shhhhuuutttt, c’est fini, ce n’était qu’un vilain cauchemar. Il est à Maryland et toi au Togo, des milliers de kilomètres nous séparent à présent n’oublie pas. Il est incarcéré pour le restant de ses jours, tu n’as plus de soucis à te faire. Moi (un point calme) : je sais, mais ça fait tellement longtemps que je n’ai plus fait ce cauchemar, ça me paraît bizarre. Austine : Cynthia, il va te falloir plus de cinq ans pour oublier ce chapitre de ta vie, tu sais ? Toute ta vie, tu t’en souviendras, néanmoins ça te hantera de moins en moins. Pense à toutes les bonnes choses que tu as pu accomplir jusque-là. Moi (pleurant de plus bel). Austine, il m’a pris ma vie, il m’a pris ma famille et tout mon bonheur. Austine (me reprenant dans ses bras) : shut, ne pleure plus chérie. Ne lui donne pas davantage d’importance.
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bc
Animosité et amour
Mis à jour à Mar 3, 2022, 19:29
Partie 1 Le 18 Décembre, à 13H30 J'étais dans ma chambre en train de me préparer quand j'entends mon père m'appeler du salon. -P : Ma fille, y'a quelqu'un pour toi à l'interphone. -Moi : D'accord papa j'arrive. Je vais devant la porte d'entrée et je regarde qui c'est qui a sonner. Je me mords les lèvres en voyant qui c'est. Aymen je veux pas te voir ! Je réponds. -Moi : Aymen, tu fais quoi ici ?! T'es fou ! -A : Beh tu veut pas répondre à mes messages je viens te chercher jusqu'à chez toi. - Moi : Y a mon père espèce de con ! -A : C'est bon, il a pas capter. Maintenant descends je t'attends. -Moi : Pff ! Ta de la chance que mon père est la sinon je t'aurais laisser devant tout seul. J'suis obligé de descendre. Si je descends pas, il va encore sonner et là ça va attirer l'attention de mon père et je ne veux pas. Je vais me préparer puis met mes baskets. -Moi : Euh papa, je sors faire des papiers. -P : Vas-y ma fille, fait attention à toi. Je sais que c'est pas bien de mentir mais je vais pas dire à mon père que mon copain m'attend devant le bâtiment. Oui, Aymen c'est mon copain depuis un an. Hamdoullah c'est un mec bien, je me plains pas. Sorti du bâtiment, je le remarque dans sa voiture et je le rejoins. -A : Et ben t'en a mis du temps. -Moi : Si t'es pas content je remonte chez moi. En plus je suis pas sensée te parler. Je suis sensée lui faire la gueule depuis avant hier à cause d'une embrouille que j'ai eu avec lui mdr. J'ai tout fait pour pas lui parler, je n'ai pas répondu ni à ses appels ni à ses messages. Et ce qu'il trouve a faire c'est sonner chez moi. -A : Ah que non tu remontes pas chez toi. Aujourd'hui on va un peu en ville et ensuite on va se poser j'ai un truc de sérieux à te dire. -Moi : C'est quoi ? - A : Je te dirai plus tard, c'est pas le moment. -Moi : Mais vas y la ! Pourquoi tu fais ça ?! Parle ! -A : Je t'ai dit c'est pas le moment, maintenant chut ou je te dirai pas du tout ! -Moi : pff ! T'es nul ! Allez démarre là ! Je vous passe le trajet. On est arrivé en ville et on s'est un peu promener. À chaque fois c'est comme ça, je lui fais la gueule mais je me retrouve toujours en sa compagnie. Mais en même temps je peux pas lui résister, wAllah je l'aime trop pour ça.. Une heure est passée et je m'impatiente de savoir qu'est ce qu'il veut me dire. -Moi : Aymen, c'est bon la tu peux me dire ?! -A : Euh.. non c'est bon attends un peu. -Moi : Aymen tu sais très bien que je vais rentrer dans pas longtemps. Il va commencer à faire nuit et mon père va s'inquiéter. Bon ce n'est pas un père strict il me laisse sortir la nuit mais il s'inquiète quand même un petit peu. -A : On va dans la voiture alors. -Moi : Ok. On va à la voiture. Une fois dans la voiture, je vois qu'il commence a se gratter la tête, la barbe bref qu'il est mal à l'aise en gros. Du coup, je commence à stresser. C'est quoi qui le met dans cet état ? Moi : Tu peux parler maintenant qu'on est là ! -A : Laisse moi le temps de choisir mes mots. Oh putain. C'est mauvais signe. Je commence à stresser sérieusement là. -A : Euhm...Zineb, j'aurais voulu que ça se passe autrement mais j'ai déjà accepter. -Moi : Parle vite stp ! Je vais mourir de stress. -A : Je pars. -Moi : Comment ça tu pars ? -A : ... -Moi : Tu vas faire un voyage ? C'est pas grave pourquoi ça te met dans cet état ? Ah ou non tu déménages ? On se verra quand même c'est pas un... -A : Je vais vivre dans un autre pays ! -Moi : Pardon ?! Je crois que j'ai mal entendu la dites moi que c'est pas vrai. -A : Oui, ils m'ont proposer un travail au Canada. -Moi : Et t'a accepté ?! -A : Je peux pas laisser passer une occasion pareil Zineb. -Moi : Et me laisser oui ?! Ah j'ai compris tu jouais avec moi en faite ?! Si tu m'aimais vraiment t'irais pas hein ?! -A : Arrête la tu dis n'importe quoi ! -Moi : De toute façon je dis toujours n'importe quoi moi ! J'ouvre la portière de la voiture et commence à partir. Je suis choquée je vous jure, je sais même pas quoi dire. Je vois un arrêt de bus pas loin donc j'y vais. Je met mes écouteurs et je ferme les yeux pour réfléchir. Je comprends pas, pourquoi il me fait ça ? -.. : Stp Zineb viens on s'explique. J'ouvre les yeux et le vois en face de moi. Il va commencer à m'énerver. J'aime bien être seul quand je suis énervée, triste.. -Moi : M'expliquer quoi ? J'ai pas envie d'écouter tes excuses à deux balles ! -A : Non viens allez ! -Moi : Je veux pas. -A : Lève toi on est en train d'embêter les gens. Bon il va pas me laisser tranquille, je le sens. Je me lève et le suis un peu plus loin. -A : Je suis désolé Zineb wAllah je voulais pas que ça se passe comme ça. -Moi : Comment ça tu voulais pas que ça se passe comme ça ?! -A : J'aurais aimé que tu comprennes. C'est bon je suis en train de pleurer, c'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. -Moi, en pleurant : T'es con ou tu fais exprès Aymen ?! Tu veut que je comprenne quoi ?! Que tu vas me laisser seule et que tu vas aller faire ta vie au Canada ? -A : Je vais pas t'oublier.
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Obsession
Mis à jour à Jan 18, 2022, 05:17
Prologue : Assise au pied de mon lit, les plaquettes de comprimés dans mes mains je pense réellement à franchir le cap car je ne supporte plus cette vie. Je le voulais lui mais il en a choisi une autre. Une qui lui « correspond plus » m’avait-il dit. Cet homme à qui j’avais tout donné. Pour qui j’étais prête à tout m’avais quitté. Je ne vis plus, je survis. Je me force à sortir de mon lit chaque matin pour me rendre au travail ou à l’école. Je ne sais plus. Il est parti avec mon cœur et mon esprit. « Tu t’es fait des films ! » m’a-t-il dit. Donc tous ses gestes, toutes ses paroles ne signifiaient pas ce que j’avais compris ? Ou cherchait-il juste à me leurrer ? Ce sont les cris des enfants de ma voisine qui m’avait sorti de ma léthargie. Je regardais les comprimés tentée de tous les avaler pour enfin dormir d’un sommeil paisible et long. Mais mon téléphone me tira de mes pensées. C’était un sms de lui. Je me jetais sur le téléphone pour le lire il m’avait écrit « Coucou la plus belle, je ne sais pas ce que je t’ai fait mais je vois que tu m’évites depuis quelques jours. Stp fais-moi signe juste pour que je sache que tu vas bien. Tu refuses de m’ouvrir quand je viens chez toi ou tout simplement de me parler au téléphone. J’espère que tu n’as pas recommencé !?! J’attends au moins un sms de toi. Adore you ! » Il terminait quasiment tous ses messages par cette expression « Adore you ». De voir qu’il s’inquiétait pour moi depuis tout ce temps m’a fait du bien. Depuis une semaine je l’évite et je dois avouer qu’il n’en connait pas la raison c’est d’ailleurs pour ça qu’il a eu peur que j’ai recommencé. Que je sois retombée dans ces vices dont il m’a sorti avec beaucoup de difficultés. Après ce message, je me suis relevée et ai redéposé toutes ses plaquettes de pilules dans mon tiroir de chevet. Ce sera pour une prochaine fois peut-être. Là je vais juste reprendre la place qui me revient de droit c’est-à-dire à ses côtés en tant que petite-amie et épouse plus tard. Rien ni personne ne m’en empêchera. Je m’appelle Catherine « Kitty » Diaz et je suis accro à un homme. Bienvenu dans ma vie.
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bc
Rencontre
Mis à jour à Jan 16, 2022, 21:05
Prologue Rencontre On est vendredi et qui dit vendredi dit fin de semaine. Enfin ! Et oui, quand vous combinez travail + étude c'est la seule chose que vous attendez la fin de la semaine. Voilà donc tout les vendredis en fin d'après midi, je vais voir Kassim. Qui est Kassim ? En faite, c'est mon copain. Il a son petit studio où il vit quand il vient étudier. Je m***e dans ma voiture et prends la route. Je l'appelle en même temps histoire de le prévenir que j'arrive. -Moi : Allô ? -K : Ouais allô ? -Moi : Je passe à la maison ? -K : Quoi maintenant ?! -Moi : Ben oui maintenant Kassim on s'est pas vu de toute la semaine et là qu'on à l'occasion tu veux pas ?! -K : C'est bon tu t'énèrves direct aussi ! Viens ! Je raccroche en soupirant. C'est vrai que je m'énerve vite. Mais lui aussi là ! On s'est pas vu toute la semaine et il fait le choqué quand je lui dis que je vais passer chez lui ! Bref, j'arrive. Je rentre dans l'immeuble mais je me cogne contre quelque chose. En levant ma tête je vois..une femme. -Femme, en me regardant de haut en bas : Regarde où tu marches ! -Moi, en la regardant de travers : À ce que je sache tu m'a aussi foncer dessus donc toi aussi regarde où tu marches ! -F, en sortant de l'immeuble : Vas-y vas-y ! T'a de la chance j'ai pas ton temps ! -Moi : Ouais dégage c'est mieux ! C'est grave comme les gens sont mal élevé. On s'est foncé dessus, tu me dis pardon, je te dis pardon et l'histoire est régler ! Pourquoi agresser les gens ?! Passons. Je m***e et sonne. Quelques secondes plus tard, Kassim m'ouvre torse nu. -Moi : Va mettre un tee shirt ! C'est pas que j'ai peur qu'il est froid, mais plutôt que je n'aime pas le voir torse nu. -K : T'a même pas encore franchi le seuil de la porte que tu cries déjà ?! -Moi : Off c'est bon laisse moi entrer. Il me laisse entrer et je vais m'asseoir au salon avec lui. -Moi : Je t'ai déranger ? Tu dormais ? -Kassim : Non je dormais pas. Je mangeais. -Moi : Ça se voit ! T'a même pas ramasser la table. -Kassim : T'en a pas marre Irma ?! À chaque fois que tu me parles c'est pour me reprocher des choses ou me crier dessus ! Va crier sur quelqu'un d'autre ! -Moi : C'est bon je suis désolée. J'étais déjà énervée en venant c'est pour ça. -K : Pourquoi t'était énérvée ? -Moi : Y a une meuf en bas, en sortant du bâtiment elle m'a foncer dessus et elle a commencer à parler pour rien dire ! -K, en détournant sa tête : Ah ouais ? -Moi : Ouais. -en voyant qu'il n'a pas mis son teeshirt- Kassim ! Va mettre un teeshirt stp ! Je te le demande gentiment. -K: Ouais pour une fois. Je lève les yeux aux ciels pendant que lui s'en va mettre un teeshirt dans sa chambre. Je l'attends, mais entends qu'il reçoit un message sur son téléphone. Je sais que c'est pas bien les filles mais j'ai envie de regarder qui c'est. Je me lève en vérifiant qu'il n'est pas en train de venir et vais prendre son téléphone. Je l'allume et vois : Sabrina : «Tu me fais partir pour ta vieille meuf là ! Tu me dégoûtes, je veut plus te voir !» Euh.. alors déja c'est une fille qui parle avec MON mec. Et ensuite le contenu du message est bizzare. «Tu me fais partir pour ta vieille meuf». Ça veut dire qu'elle était ici, on est bien d'accord ? Donc...il me trompe ? Oh là là ! Ça sent pas bon du tout ! Je suis choquée. Vraiment. Je me sens trahis là. Et j'ai aucune réaction. À part les nerfs qui m***ent. Je m'assois, le téléphone de Kassim en main, et j'attends qu'il revienne de là ou il est. Ce qui arrive quelques minutes après. Il entre dans le salon et s'arrête lorsque qu'il voit que j'ai son téléphone en main. -K, en s'avançant pour m'arracher le téléphone des mains : Tu fais quoi avec mon téléphone toi ?! Je met les mains derrière mon dos afin qu'il ne puisse pas prendre son téléphone. -Moi, en fronçant les sourcils : Tu me caches des choses ? -K : Tu sais très bien que non ! Rends moi mon téléphone Irma je rigole pas ! -Moi : Ok. -en lui tendant son téléphone- Tu peut récupérer ton téléphone, de toute façon j'ai déja vu ce que je devais voir. Il le récupère et lis le message que j'ai lu avant malheuresement pour lui. -K, en baissant la tête : C'est pas ce que tu crois. -Moi, en m'énérvant : C'est pas ce que je crois ?! En faite, t'es comme tous les gars ! Un c*****d et en plus un arnaqueur ! -K, en relevant la tête : Irma ! Je t'ai dit c'est pas ce que tu crois ! C'est juste une collègue de la fac rien d'autre ! -Moi, ironiquement : Je te crois tellement ! Je sais même pas quoi dire je vous jure ! -K : C'est bon toi aussi t'abuses ! Si je t'ai dis que c'est qu'une pote, c'est qu'une pote ! -Moi : Oui et ta pote ne veut pas de moi ici ! Alors que je suis ta meuf et que c'est moi qui aurait du être ici ! -K : C'est bon t'es là maintenant ! Arrête de crier pour rien ! -Moi : Et vous faisiez quoi quand elle était là hein ?! -K : ... -Moi : Tu vois ?! De toute façon qu'est ce que je pouvais bien attendre d'un mec comme toi ?!
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