Rex et Louise

1381 Mots
⚠️ Je rappelle que certaines scènes peuvent être choquantes pour certains d'entre vous. Ce chapitre concerne entre autre la zoophilie. Merci de passer directement au chapitre suivant si vous ne vous sentez pas à l'aise. ⚠️ __________________ - Ça tourne ! Lance Atony, une caméra à la main. Je suis assise sur le sol, pas besoin d'un endroit confortable pour ce que je vais faire. Je cache ma nudité aux yeux du cameraman mais ne peux dissimuler ma poitrine à une main donc je la laisse libre. Tant pis. Un sifflement retentit dans la salle et quelqu'un crie : - Ramenez Rex ! Un jeune garçon rentre alors dans la salle, tirant derrière lui un magnifique dogue allemand. Puissant sur ses pattes et haut d'un bon mètre, je me sens toute petite comparée à lui. Rex s'approche de moi et commence à me renifler la tête, puis les seins et commence à me tourner autour. Le jeune garçon détache alors la laisse et s'en va. Me laissant seule avec le caméraman et le chien. - Vous préféreriez peut-être que je m'en aille ? Demande, gêné, celui-ci. Je le regarde et hoche la tête. Je n'ai pas honte de ce que je vais faire mais pour lui, ce ne sera pas très agréable à regarder alors autant qu'il parte. Alors qu'il ferme la porte, laissant la caméra allumée derrière lui, Rex en profite pour faire le tour de la pièce, curieux de ces cinq mètres carré. Je le laisse tranquille quelques minutes. Normalement, il a été drogué à je ne sais plus quelle substance qui va augmenter sa libido dans les minutes qui suivent. Il aura juste besoin d'un peu d'aide. Et moi, je ne l'ai encore jamais fait avec un animal, ce sera donc une première. Mais plusieurs actrices sur le plateau m'ont confirmé que ce n'était pas si terrible que ça, et qu'on pouvait même y prendre plaisir, sans trop de mal. De toute façon, il faut que j'ai l'air d'y prendre plaisir, donc ce sera plus simple si je ressens vraiment ces sensations. L'important est de partir avec une bonne impression. Pour me mettre dans le bain, je me place assise face à la caméra et écarte bien les cuisses. D'une main je commence à caresser mon téton tandis que de l'autre je joue avec mon c******s, laissant parfois rentrer deux doigts dans mes lèvres intimes. Petit à petit, le plaisir s'invite et je penche la tête en arrière pour mieux savourer la vague de frissons qui approche. Je sens ma fente s'humidifier, mes doigts accélèrent et je délaisse mon sein pour prendre appui sur le sol. Je sursaute violemment quand une langue rappe mon intimité, l'englobant entièrement. Relevant la tête, j'aperçois Rex, la truffe fourrée dans ma chatte. Il jappe ma mouille comme si c'était de l'eau et qu'il était assoiffé. Ça doit d'ailleurs sûrement être l'odeur qui l'a attiré. Sa langue est énorme et engloutit mes lèvres à elle-seule, me laissant pantoise. J'ai le souffle court. Personne ne m'avait prévenu que ce serait si... Intense. Je ressens les mêmes choses qu'avec un homme mais décuplées par dix ! Son museau me pousse, on dirait qu'il veut plus, qu'il veut explorer cette zone de fond en comble. Je me relève, écarte bien plus mes cuisses et les referme sur le chien. Tapotant ma chatte de mes doigts, Rex se reconcentre et replonge dans mon intimité. Je gémis plus fort que je ne le voudrais et appuie sur sa tête pour le forcer à bien lécher en profondeur, ce qui ne loupe pas. Sa langue s'immisce presque à l'intérieur de l'orifice, repart et reviens immédiatement, goûtant goulûment chaque partie de mon cul. Le contact de sa truffe froide et humide sur mes lèvres brûlantes est le comble. Je jouis pour la première fois avec un chien, son museau toujours niché en moi, il reçoit ma mouille avec un jappement joyeux et redouble de coups de langue. J'observe son grand corps sculpté pour le sport et mes yeux finissent leur course sur son arrière train, dont la queue remue à une allure impressionante. D'une main, j'attrape son sexe et commence fermement à le branler. D'une grosseur égale à mon poing, sa longueur n'est pas plus grande que mon doigt. Le chien lève la tête, délaissant ma chatte et se met à fixer le vide, la langue pendante. Sa respiration s'accélère mais son corps ne bouge pas. Je me demande ce qu'il ressent quand à ma grande surprise, la fine peau de son sexe se soulève et apparaît une sorte de cône extrêmement large sur lequel les veines sont apparentes. Le cône se finit par un bout assez pointu. Je reste estomaquée devant la forme de son sexe. Comment est-ce que je vais faire rentrer ça, moi ? Rex geint devant mon inattention et je lui caresse la tête, frottant ma joue contre la sienne. - Ça va mon gros, on va le faire. Son sexe pendant dans le vide sans sa protection, il a repris ses esprits et me pousse de tout son être pour s'allonger sur moi. Ses pattes avant me montent dessus et je vois sa verge se soulever dans ma direction mais elle ne rencontre rien puisque je ne suis pas dans le bon sens. - Ehh, chuuut... J'essaye de le calmer et me retourne sur le ventre en même temps mais non sans peine. Il se démène pour me monter dessus et me pénétrer. Je me mets à quattre pattes, la position qu'on m'a recommandé, et tout de suite après son puissant corps s'écrase sur mon dos, ses pattes avant tombant de chaque côté de mon corps. Je sens son gros sexe frotter mon intimité et prie pour qu'il y aille doucement..., mais c'est un chien et il n'a aucune conscience de ce qu'est la douceur. D'un mouvement sec et rapide, il plonge son manche entre mes lèvres mais rate son entrée. Je serre les dents face à la douleur d'une telle violence parce que son sexe a quand même frappé violemment mes parois. Ne me tenant plus que sur une main, je tends la deuxième pour attraper sa verge et la dirige fermement vers l'entrée de mon vagin. Une fois devant, je le lâche et aussitôt il s'enfonce en moi dans une violence inouïe. Je crie au passage de son cône beaucoup trop large pour mes parois qui n'étaient pas préparées et reste longtemps en criant jusqu'à ne plus avoir de souffle. Son arrière train bouge à une allure inhumaine et j'ai du mal à rester courbée. Heureusement, la partie large de son sexe reste en moi, je n'aurais pas supporté qu'elle fasse des allers retours. Sa langue pend près de mon visage, je le sens haleter lourdement tandis que son manche me pilonne. Au bout de courtes minutes, il s'immobilise et je sens quelque chose de chaud se déverser en moi. Son sperme ne sort pas, mon orifice étant obstru par la forme particulière de son sexe. Je m'écroule par terre, ne tenant plus. Son corps me suit, toujours attaché au mien et j'ai trop peur de le sentir élargir à nouveau mes parois pour sortir. Heureusement il ne le fait pas tout de suite, restant figé. Il reprend peut-être des forces lui aussi. Lentement, son corps penche sur le côté et je sens une résistance dans mon cul. Son sexe recule, insiste face à la minceur du mien et finit enfin par sortir dans un "blop", libérant ainsi toute la masse de sperme canin qui était en moi. Je me sens enfin libre mais aussi étrangement vide. Rex, à nouveau debout et en pleine forme se poste devant la porte alors que l'équipe entre sur le plateau. J'entends quelques félicitations mais une phrase en particulier attire mon attention. Mon associée Judith qui note sur son calepin : - Merci Louise, c'était parfait. La semaine prochaine, tu nous le feras avec le cheval, Pégase. Je relève à peine la tête et, alors que je comptais décliner cette scène, mes yeux se posent une dernière fois sur Rex dont la queue s'agite devant tant de monde, et une sorte d'excitation malsaine vient s'ajouter à ma fatigue. Je me surprends à aimer ça, finir complètement morte après une séance de b***e torride. Peut-être que ce sera encore pire avec Pégase. À voir.
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