Chapitre 44

1109 Mots

CLAIRE LEBLANC Dès que je me suis réveillée en sentant ma tête battre la chamade, j'ai souhaité de toutes mes forces n'avoir pas bu la nuit précédente, ou mieux, n'avoir pas décidé d'aller dans ce maudit bar. Mais le pire ? Ce n'était même pas ma gueule de bois évidente ce matin-là, non… c'était quelque chose — ou plutôt, quelqu'un — que j'avais du mal à croire, qui était juste devant moi. George Collins. — C'est quoi ce bordel ? — dis-je dès que je me suis assise sur le lit et que j'ai écarté mon corps, juste pour réaliser que… j'étais à poil. "Non, non, non... NON !" résonnait dans ma tête comme si cela allait changer quelque chose, et quand les yeux de George se sont ouverts, p****n… je ne savais pas si je voulais crier sur lui ou simplement mourir de peur à l'idée de la

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