chapitre 10

923 Mots
Bienvenue en Belgique ! C’est ce que Je me disais à moi même. Je suis dans un pays dans lequel je ne connais personne à part Bellucci et je ne fais pas trop confiance aux rencontres des réseaux sociaux. En y repensant je me dis que je fais bien trop facilement fait confiance à Bellucci Veloza. À la descente, je vois un petit cortège quand il disait faire fortune je comprends mieux. Quand je pense que dans mon pays même si tu as de l’argent comme ça, tu ne dois pas avoir un jet privé c’est comme défier les hautes personnalités de mon pays. Après avoir pris le véhicule, dont le luxe était comme on dit chez nous insolent. Je me suis retrouvé devant ce que je nommerai un palais tellement ça ne se trouve pas à chaque coin de rue. - Bienvenue Mlle . Dit Alexandre. - Alexandre, montrez à Melissa sa chambre. - Bien Monsieur. Benjamin. Elle se sentait pas vraiment à l’aise. Elle s’est plutôt renfermée. Elle était admirative, de tout ce qu’il y’avait autour mais avait du mal à parler où à toucher à quoique ce soit. - Comment a t-elle réagi ? - Mr, Elle était plutôt hésitante. Répond Alexandre - Bien Tu peux disposer. Je monte à l’étage je cogne à deux reprises, elle ne répond pas, j’entreprends donc d’y entrer. Elle est dans douche écoutant de la musique traditionnelle je dirais que c’est la musique de chez elle et des chants indiens. Elle sort du bain et me voit . - Qu’est ce que tu fais? tu m’as fait peur! - Désolé, je te regardais. Tu avais l’air plus à l’aise dans le bain que pendant tout le trajet. - Désolé. - Désolé pourquoi ? - Je ne suis pas habituée et je n’ai vu ça que dans la télé et il faut dire que les gens chez qui peuvent se permettre d’avoir un jet ça court pas les rues et tu as vu ta maison j’ai l’impression de la souiller simplement parce que j’y ai mis les pieds. Je la regarde et me dit que c’est elle que j’ai bien envie de salir. - Mélissa ! Ça ne reste que des accessoires, c’est vrai qu’à vu d’yeux, c'est impressionnant mais pas besoin de te sentir aussi mal mets toi à ton aise stp. - Bien je vais essayer et de toute manière ce n’est jamais compliqué de s’accoutumer au luxe. Dit-elle toute souriante. - C’est pas faux,répondisje en la en la regardant. Tu es tellement belle. Je m’approche d’elle, j’ouvre mes bras pour qu’elle puisse s’y loger à cette allure, je vais finir par la souiller elle. Elle me regarde avec une douceur. Je pense qu’il me faut une douche froide, On arrive à peine je pense qu’il lui faut du repos et moi aussi. Je sens qu’elle dormira pas cette nuit. Je suis bel Homme et je suis élégant sans compter ma situation sociale. Je ne me vente pas, je pourrais me taper toutes les femmes je veux mais Mélissa est belle, elle réveille en moi un profond désir sexuel et beaucoup d’émotion. Je ne sais pas pourquoi mais je n’ai pas l’intention de la laisser partir. Je me renseigne sur elle et sa famille, elle ne doit être à personne si elle n’est pas à moi. Il faut le dire que mon mode de vie et le sien ne concordent pas. Elle a quelque chose qui m’empêche de la laisser. Elle me donne envie de voir ses expressions faciales surtout pendant nos rapports. Dans la soirée. Je suis allongée quand j’entends Alexandre cogner. - Mr , Mlle demande à vous voir. - Ou est- elle? - Dans sa chambre. - Bien d’accord. Je me dirige vers sa chambre, l’ouvre sans qu’elle ne s’en rende compte. Ce que je vois me laisse sans voix. Elle se tripote les seins tellement concentré les yeux fermés se touchant le c******s prononçant mon nom, elle ouvre les yeux me voient au lieu de se gêner, elle continue, ça me donne envie d’elle. Je m’assois juste en face d’elle observant la scène. - Tu me veux autant et bien tu seras servie . Je m’approche d’elle, retire les mets de son intimité et y plonge ma langue. J’adore quand elle prononce mes noms et la sentir trembler quand elle jouit. C’est tellement plaisant. Je lèche son corps, toutes les parties imaginables. Je sais qu’elle me veut en elle. Je n’irai pas de main morte. Elle sera servie. Je la pénètre brutalement c’est ce qu’elle veut actuellement. Je fais des vas et viens en laissant les classiques. Elle est souple. On ne pourra pas pas tout expérimenté aujourd’hui. Je la sens s’épuiser, trop de plaisir. Elle m’appartient, elle ne le sait pas encore mais elle va bientôt le réaliser.
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