chapitre 12

876 Mots
Il y a un changement dans ses agissements, il est plus possessif mais le fait qu’il se soit renseigné sur ma famille me laisse perplexe. C’est amusant, son langage, on aurait dit une romance. - Je suis prête - Bien on y va. Il se tourne pour me regarder son regard en dit long sur ses intentions. - Tu es magnifique Mélissa je n’ai pas envie qu’un homme pose ses yeux sur toi et que l’on te parle ce soir encore moins. Arrivé au restaurant. Nous sommes à la meilleure des tables, je ne savais pas que ce genre de jolie endroit existait. C’est normal pour lui mais sans mentir, je ne pense pas m’y habituer . Nous passions une bonne soirée quand un serveur se dirige vers moi alors que Bellucci parlait au téléphone à l’extérieur. - Bonsoir Mme, le Mr sur cette table me demande de vous passer sa carte, que vous me donniez la votre ou votre i********:. Il aimerait bien vous inviter mais vous êtes accompagnée. - D’accord. Je regarde dans la direction indiquée par le serveur et vois un homme noir au teint marron, on dirait du miel raffiné sous un soleil étincelant. Je lui donnais mon i********: au moment même où je voulais prendre la carte qu’il m’a tendu. - Que voulez-vous ? Demande Benjamin au serveur. - Je passais des informations à la dame. - Bien merci vous pouvez disposer. Dis je au serveur qui avait compris ce qui se passait. Je sais que Benjamin a une idée en tête, Il doit se douter de quelque chose. Je voulais faire connaissance avec ce Mr, c’est toujours bien d’avoir des contacts en terre inconnue mais je suis sûre que lui ne l’a pas vu sous cet angle. Nous avons fini la soirée en silence avec des regards de Benjamin que je n’arrivais pas à comprendre et parfois des sourires et ça me faisait un peu peur Nous voilà rentrés. Nous traversons à peine la porte que Benjamin me parle en disant : - Va te changer et viens me trouver dans ma chambre. Je m’attendais pas à ça mais je le fis sans brancher, je ne voulais pas le contrarié. J’étais sur le point de toquer quand il me dit de rentrer. - Entre. Me dit Benjamin Ce que je fais. Il avait un livre en main. - Viens. Me dit-il. Il me demande de me déshabiller, je m’exécute je ne sais pas pourquoi mais j’ai très peur de le contrarier. - Tes bras, donne les moi . - Pourquoi ? Le regard de Bellucci était rempli de colère. - Je n’aimerai vraiment pas me répéter Mélissa. Je lui tendis les bras. Il me mit des menottes. Je n’aimais pas ça, Chez nous, ces choses ont beaucoup de signification et on nous enseigne qu’il y a yes impacts spirituels. Il appuie sur un bouton et un objet apparaît, il me demande de lever les bras et accroche les menottes au dessus, ça ressemblait à un crochet. Il s’éclipse et réapparaît avec un Martinet. - Tu ne comprends toujours pas. Qu’est ce que tu racontais à ce serveur. - Rien. - Je te frapperai et te baiserai par la suite. Il commence à lécher mon corps, touchant les parties les plus sensibles. Manipulant mon bouton jusqu’à ce que je ne puisse supporter. - Bien comme il faut que tu comprennes ce pourquoi je te frappe. Tu as discuté avec le serveur qui voulait te passer la carte d’un homme que tu étais sur le point d’accepter. Un premier coup, un deuxième coup et plusieurs autres s’en suivirent. Je pleurais implorant sa pitié. - Donc tu as apprécié un autre homme au point de vouloir te mettre en contacte avec lui. - Désolé je n’aurai pas dû et je ne le ferai plus. Dis-je en pleurant. - C’est pour que tu comprennes que tu m’appartient Mélissa. Ne pleure pas je suis désolée mais il te fallait une correction. Tu sais que je ne veux pas que tu regardes quelqu’un d’autre. Promets moi que tu ne le feras plus. Il me prit me déposa sur le lit. - Tu es à moi Mélissa. Il dépose ses lèvres sur les miennes. Je n’ai ni la force de le repousser ni d’y répondre. Je me demande pourquoi il fallait que je tombe sur un homme ayant une possessivité maladive. Il joue avec mon corps avec douceur. Il embrasse toutes les parties qu’il a torturé. Il me fait du bien et tellement de mal à la fois, il s’y prend avec douceur et violence que je ne sais plus où je suis ce qui me fait mal ou me fait plaisir. Malgré les courbatures et la torture il trouve un moyen de me faire jouir plusieurs fois. C’est tout lui.
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