Le lendemain je reçois le coup de téléphone qui me plonge dans des abysses de terreur et de doutes. Persia me contacte alors que je suis dans la chambre de Devon depuis plusieurs heures. - Henry pour toi… - Tiens… ça faisait longtemps… maugréais-je en m’adossant dans le fauteuil, vas-y passe le moi. - Bonjour Aliénor, dit-il alors de sa voix incroyablement tranquille. - Salut bébé, qu’est-ce que je peux faire pour te satisfaire ? Oh non, pardon, j’en n’ai rien à foutre… - Tu fais bien trop la maline ma poupée ça ne te réussis pas du tout, je te préfère tellement lorsque tu es docile et soumise… - Qu’est-ce que tu veux Henry ? Je suis occupée ! cinglais-je exaspérée de sa p****n de condescendance. - Je voulais savoir comment tu allais… et pourquoi tu me foutais trop la paix ces dern


