V Entre ces deux promenades, la première et la dernière que nous fîmes à Majorque, nous en avions fait plusieurs autres que je ne me rappelle pas, de peur de montrer à mon lecteur un enthousiasme monotone pour cette nature belle partout, et partout semée d’habitations pittoresques à qui mieux mieux, chaumières, palais, églises, monastères. Si jamais quelqu’un de nos grands paysagistes entreprend de visiter Majorque, je lui recommande la maison de campagne de la Granja de Fortuñy, avec le vallon aux cédrats qui s’ouvre devant ses colonnades de marbre, et tout le chemin qui y conduit. Mais, sans aller jusque-là, il ne saurait faire dix pas dans cette île enchantée sans s’arrêter à chaque angle du chemin, tantôt devant une citerne arabe ombragée de palmiers, tantôt devant une croix de pierre
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