Chapitre 145 : Astrid tenta de se dérober, mais Julian, d’un geste vif et déterminé, fit claquer ses paumes contre le mur de part et d’autre d’elle, ses yeux embrasés d’un désir ardent. — Ça fait mal, Julian, arrête ! s’écria-t-elle, sa voix tremblante de souffrance. Cette fois, il s’immobilisa, touché par cette tristesse qu’elle laissait échapper. — Ne prononce jamais le mot divorce près de moi, avertit-il d’un ton grave, déposant un b****r doux, presque réconfortant, sur l’endroit encore sensible. — Tu m’appartiens, déclara-t-il avec force. Ces mots, si longtemps tus, résonnèrent en elle comme une revendication familière et pourtant troublante. Elle accueillit ce sentiment avec une satisfaction mêlée de méfiance. Elle osa relever les yeux pour croiser son regard, et répondit


