Partie 1
Partie 1
« Mickael Brooks 33 ans, chauve, barbu, flic depuis 14 ans, est un homme simple, courageux et consciencieux dans son travail. Depuis très longtemps, avant même que Mickael ne soit dans la profession, les flics de tous les continents étaient à la recherche d’un dangereux criminel, dealer à ses heures, appelé Edward Shelton. Une des activités favorites de ce charmant personnage étant de droguer et tuer ses victimes
Mais aujourd’hui, n’est pas un jour comme les autres, Mickael a enfin trouvé le criminel après une traque longue et ardue.
Mickael n’est pas le premier à vouloir mettre la main sur Shelton mais le dernier à ne pas avoir abandonner, allant même jusqu’à se retrouver seul dans la sa traque au criminel, le simple fait que tout le monde ait abandonné, donne à Mickael une raison supplémentaire de continuer ses recherches. C’est après des mois en solitaire à chercher le moindre indice qu’il finit par retrouver sa trace. Ce qu’il n’avait pas prévu c’était qu’Edward ne l’attendrait pas seul, ses hommes de main sont là aussi. Arrivé près d’une ruelle sombre, il se mit à courir, comme si sa vie était en jeu, une goutte de transpiration coulant sur le front, il s’enfonce dans sa ruelle, tout d’abord lambda, elle finit par s’assombrir, les fenêtres laissant peu à peu place à de simples cartons et le grillage en barbelé
Arrivé au bout de cette rue, il a la désagréable et douloureuse surprise d’être accueilli par un coup de batte de baseball en plein visage. Dans le flou pendant quelques instants, il observe ensuite ses agresseurs cherchant à trouver une feinte, une issue pour fuir le piège tendu. Plutôt grand, une tête à faire peur à un monstre, les dents pourries pour les quelques restantes, et des vêtements ressemblant plus à des morceaux de vieux tissu.
Ce qui suivit c’est une clé de bras, il a tout de même assez d’énergie pour hurler “Vous voulez quoi ?!” Comme réponse, il vit arriver Edward, un objet qu’il ne reconnaît pas tout de suite dans la main. Edward, sourire aux lèvres, satisfait de la capture de ses hommes ouvre la main et c’est avec effroi que Mickael a le temps de voir la seringue avant que celle-ci s’enfonce dans son cou… Avant de perdre connaissance, la seule chose que Mickael enregistre c’est l’image de cet homme en débardeur blanc, jeans noir, ce visage barbu, les cheveux bien coiffés laissant une mèche descendre sur le front, torturé et barré de cette fameuse cicatrice sur l’œil droit qui en fait son signe particulier et surtout, il entendra “Maintenant, fais de beaux rêves…” suivi du rire de cinglé d’Edward avant de perdre connaissance. »