IV

1707 Mots

IVLady Shesbury gâtait sa fille à l’excès et cédait à toutes ses fantaisies. Aussi, Rose, cette fois, fut-elle surprise de rencontrer une forte résistance, quand elle lui exprima son désir au sujet d’Orietta. – Quelle singulière idée, ma chère enfant ! Si cette jeune fille te plaît, il doit t’importer peu qu’elle soit près de toi en qualité de servante. Et moi, j’estime nécessaire de briser l’orgueil chez une personne destinée à un sort très modeste. – Non, maman, cela ne doit pas être !... Orietta et Faustina appartiennent certainement à une très bonne famille. Mon père les a recueillies, m’avez-vous dit... Ne vous a-t-il pas donné de renseignements à leur sujet ? – Rien, ma chère. Aussi ai-je dû les considérer comme de petites abandonnées quelconques. – Non, elles ne sont pas quelcon

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