Une fois la porte fermé je retrouvai face à mes parents. Je me doute déjà ce qu’ils vont me dire. Je n’ai pas le temps de m’installer autour de la table que mon père me tombe dessus.
-Ton patron ? C’est quoi exactement cette histoire ? Et Laurianne comment elle le prend ?
-Laurianne l’apprécie, effectivement. C’est mon nouveau patron mais tous va bien, il n’y a rien entre nous pour le moment.
-Pour le moment ? Ma chérie je ne comprends pas.
-C’est une longue histoire maman. Je n’ai pas l’intention de recommencer la même bêtise.
-Tu es sur de toi ?
-Non, mais pour le moment il fait partie des personnes qui me tire vers le haut et qui me fait confiance. De toute façon ma priorité c’est la petite.
Je sais très bien que c’est dangereux pour nous mais cet homme … mais si j’ai le malheur d’aller dans son sens, tous risquerais d’aller trop vite. Et ça je connais trop bien la situation.
-Tu sais chérie, si tu penses qu’il peut t’apporter quelques choses dans ta vie et en faire partie … Tu devrais peut-être lui en parler.
-Maman, ça peut attendre pour ça.
-Ce que ta mère dit, c’est que si tu veux qu’il fasse partie de ta vie, tu devras lui expliquer pourquoi tu restes un peu …
-Hésitante ? Je l’avais deviné papa mais c’est aussi mon patron.
-Et ?
-Je n’ai pas envie que notre relation possible l’influence dans notre travail.
-Cela fait combien de temps que vous travaillez ensemble ?
-Bientôt deux mois.
-Et bien patiente un peu alors. Bon à table mes dames.
Et c’est ce que nous avons fait. Cela fait plusieurs mois que je n’étais pas venu les voir. Ils m’aiment sans retenu, que je sois ou pas leur filles. Ils ont toujours été là, à me soutenir peu importe l’épreuve et avec patience. J’ai eue beaucoup de chance ce jour-là … dans mon malheur.
***
-Maman … maman … maman …
-Laurianne …Vient dans les bras de maman et ferme les yeux.
-Lila ! Il faut que tu te lèves ! Je te rappel que tu dois être à 12h à l’institut !
Merde, j’avais oublié ça …j’ouvris les yeux et constata que Mlle était déjà habillé. Papa c’est visiblement occupé du petit déjeuner de sa petite fille. J’ai plus qu’a me lever, me préparer. J’entendis soudain frappé a la porte de ma chambre. Papa se trouvait derrière.
-Ce matin, ta mère et moi avons cherché le lait pour Laurianne mais impossible de le trouver. Tu nous as bien dit que tu en apportais,non ?
-Oui, dans la petite glacière beige.
-On ne l’a pas trouvé.
-Je l’ai certainement oublié dans la voiture hier soir. Vous lui avez donné le petit biberon du sac à langé?
-Oui, mais pour le gouté et se soir elle n’a rien.
-Je m’occupes de cela. Je m’habille et vois ça. Laurianne suivi son grand-père me laissant toute seule. J’en profita pour appeler Armant.
-Bonjour Lila. Comment vas-tu ?
-Bien merci, dis-moi, est-ce que par hasard je n’aurais pas laissé la petite glacière de Laurianne ?
-Je n’ai pas regarder. Attend je vais verifier.
-Se serait bien, il y a le lait pour la petite et j’ai clairement pas envie de faire des course en urgence.
-Et désolé, je ne le vois pas. J’ai regardé dans le coffre, a l’arrière et devant. Il n’y a rien … Attend, je crois que mon frère à pris ma voiture avec maman ce matin, peut-être qu’ils l’ont décendu.
Je l’entendis s’adresser à sa mère rapidement.
- Maman, ce matin vous n’auriez pas descendu une petite glacière ?
-Si, tous est dans le frigo. Depuis quand tu manges du soja ?
-Super ! Ce n’est pas pour moi. Bref, Lila, je ne vais pas tarder à partir, je peux passer te prendre et en même temps je te dépose la glacière. Laurianne ne vient pas avec nous ?
-Si, ma mère est au travail et papa à des rendez-vous de prévu.
-Ok, je récupère la glacière, je passe chez toi et vous récupère toutes les deux. C’est ok pour toi ?
-Je n’ai pas l’intention de reste trop longtemps.
-Ca me va. Moi je pensais surtout en profiter pour voir des amis et précisément pas cela.
-Si tu veux. Si cela ne te dérange pas. Je te dis a toute à l’heure.
-Ok, je serais dans trois quart d’heure.
Je raccrochai et m’asseyais sur le lit. Depuis combien de temps nous nous tutoyons ? Depuis quand nous faisons des sorties ensemble ? Depuis quand il se préoccupe de Laurianne ? Depuis quand je lui dis oui aussi facilement ? Je suis perdu, depuis quand je suis le genre de fille à flirter avec son patron ? Après m’être lamenté sur moi-même, je me décidai à finir de m’habiller. Après cela, je me contentai de me rendre dans la cuisine pour grignoter un peu en attendant Armant … mon patron accessoirement.
-Laurianne, tu es prête ? Les chaussures aux pieds le sac prêt et la veste aussi ? Demandais-je dans l’encadrement de porte.
-Tous est prés sauf pour son gouter.
-J’ai réglé le problème.
-C’est parfait, et comment as-tu l’intention de te rendre à l’institut ?
-Selon toi …
-Je lui prépare quoi ? Un café ou une bière ?
-Je ne sais pas, tu vas pouvoir lui demandé, je crois avoir entendu sa voiture.
Et effectivement, il est bien arrivé. Pendant que papa et Armant burent leurs bières, je m’assurai que tous était en voiture. La poussette, le sac à langer, son gouter et sa couverture, c’est parfait.
***
-Maman … maman … maman …
-Laurianne …Vient dans les bras de maman et ferme les yeux.
-Lila ! Il faut que tu te lèves ! Je te rappel que tu dois être à 12h à l’institut !
Merde, j’avais oublié ça …j’ouvris les yeux et constata que Mlle était déjà habillé. Papa c’est visiblement occupé du petit déjeuner de sa petite fille. J’ai plus qu’a me lever, me préparer. J’entendis soudain frappé a la porte de ma chambre. Papa se trouvait derrière.
-Ce matin, ta mère et moi avons cherché le lait pour Laurianne mais impossible de le trouver. Tu nous as bien dit que tu en apportais,non ?
-Oui, dans la petite glacière beige.
-On ne l’a pas trouvé.
-Je l’ai certainement oublié dans la voiture hier soir. Vous lui avez donné le petit biberon du sac à langé?
-Oui, mais pour le gouté et se soir elle n’a rien.
-Je m’occupes de cela. Je m’habille et vois ça. Laurianne suivi son grand-père me laissant toute seule. J’en profita pour appeler Armant.
-Bonjour Lila. Comment vas-tu ?
-Bien merci, dis-moi, est-ce que par hasard je n’aurais pas laissé la petite glacière de Laurianne ?
-Je n’ai pas regarder. Attend je vais verifier.
-Se serait bien, il y a le lait pour la petite et j’ai clairement pas envie de faire des course en urgence.
-Et désolé, je ne le vois pas. J’ai regardé dans le coffre, a l’arrière et devant. Il n’y a rien … Attend, je crois que mon frère à pris ma voiture avec maman ce matin, peut-être qu’ils l’ont décendu.
Je l’entendis s’adresser à sa mère rapidement.
- Maman, ce matin vous n’auriez pas descendu une petite glacière ?
-Si, tous est dans le frigo. Depuis quand tu manges du soja ?
-Super ! Ce n’est pas pour moi. Bref, Lila, je ne vais pas tarder à partir, je peux passer te prendre et en même temps je te dépose la glacière. Laurianne ne vient pas avec nous ?
-Si, ma mère est au travail et papa à des rendez-vous de prévu.
-Ok, je récupère la glacière, je passe chez toi et vous récupère toutes les deux. C’est ok pour toi ?
-Je n’ai pas l’intention de reste trop longtemps.
-Ca me va. Moi je pensais surtout en profiter pour voir des amis et précisément pas cela.
-Si tu veux. Si cela ne te dérange pas. Je te dis a toute à l’heure.
-Ok, je serais dans trois quart d’heure.
Je raccrochai et m’asseyais sur le lit. Depuis combien de temps nous nous tutoyons ? Depuis quand nous faisons des sorties ensemble ? Depuis quand il se préoccupe de Laurianne ? Depuis quand je lui dis oui aussi facilement ? Je suis perdu, depuis quand je suis le genre de fille à flirter avec son patron ? Après m’être lamenté sur moi-même, je me décidai à finir de m’habiller. Après cela, je me contentai de me rendre dans la cuisine pour grignoter un peu en attendant Armant … mon patron accessoirement.
-Laurianne, tu es prête ? Les chaussures aux pieds le sac prêt et la veste aussi ? Demandais-je dans l’encadrement de porte.
-Tous est prés sauf pour son gouter.
-J’ai réglé le problème.
-C’est parfait, et comment as-tu l’intention de te rendre à l’institut ?
-Selon toi …
-Je lui prépare quoi ? Un café ou une bière ?
-Je ne sais pas, tu vas pouvoir lui demandé, je crois avoir entendu sa voiture.
Et effectivement, il est bien arrivé. Pendant que papa et Armant burent leurs bières, je m’assurai que tous était en voiture. La poussette, le sac à langer, son gouter et sa couverture, c’est parfait.