XVII

1396 Mots

XVIIRégis reçut le lendemain matin une lettre de son oncle, M. Martin Dorians, après l’avoir entretenu des travaux en cours dans des régions diverses, s’étonnait qu’il s’attardât à Maussenac où une présence aussi assidue ne semblait pas nécessaire. Il a raison, le cher oncle, pensa Régis. « Serait-ce ton problème policier qui te retient ? ajoutait M. Dorians. « Tu m’as paru le prendre fort à cœur. As-tu découvert du nouveau ? Je ne pensais pas que tu t’intéresserais tant à une affaire de ce genre. Ne serait-ce pas, mon cher enfant, que ton cœur est touché ? D’après ce que tu m’as dit, la fille de cette belle veuve est ravissante... » Le cher oncle a deviné, pensa Régis, souriant. Car, avec sa lucidité, sa franchise habituelle à l’égard de lui-même, il ne se dissimulait pas ses sentime

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