— De sorte que si Marie avait oublié ses clefs… s’interrogea Quentin. — Elle avait toujours le loisir d’emprunter celle des pensionnaires et d’atteindre le pigeonnier par l’intérieur de la maison. — Oui mais, monsieur Duquesne, une fois à l’intérieur de l’hôtel, elle ne pouvait pas récupérer son sac dans lequel se trouvait la clef de sa chambre, fit remarquer Quentin qui ajouta : je suppose que vous fermez le bar la nuit ? — Oui, répondit Jean-Pierre Duquesne en souriant. Depuis que j’ai surpris, il y a un mois, un client insomniaque qui, dans le noir, venait de boire une bouteille de whisky. J’avoue, reprit-il, sérieux, que cette histoire de clefs est un mystère… — Il n’y a pas d’autre moyen d’entrer dans le bar ? — Si, par la porte de service qui communique avec la cuisine. Mais, pu


