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A la découverte du véritable amour

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Nous sommes au quartier Makepe dans la grande ville de Douala. C'est une matinée fraîche et les sols ont été arrosés la veille par les fines gouttes de pluie. Mme Germaine EBODE quitte son lit et va tirer les rideaux qui ornent sa fenêtre. Elle ouvre la fenêtre et reçoit sur son visage déjà ridé une vague de fraîcheur qui l'a fait frissonner. Elle se couvre davantage avec sa chemise de nuit.

Du haut de ses 52 ans, Mme Germaine occupe un poste de responsable dans une grosse Banque de la place. Malgré son divorce depuis 5 ans d'avec son ex mari monsieur Simon EBODE, elle a conservé son nom de femme mariée. Ayant deux enfants avec ce dernier, ils ont convenu de partager leur garde soit, l'aîné qui est un garçon reste vivre sur sa garde et sa petite sœur avec son père dans une autre ville. C'est ainsi qu'ils vivent depuis 5 ans. Ce n'est pas la grande joie entre les disputes avec son ex mari et surtout son fils William qui lui donne du fil à retordre mais elle tient le coup et se bat contre lui pour qu'il ne sombre pas dans la perversion et le voyoutisme dont les jeunes font l'objet depuis peu.

Femme battante et de caractère, elle était considérée dans son foyer comme l'homme de la maison, celle qui porte le pantalon et fait peur aux enfants. Son caractère sévère l'aide au contraire à mettre son fils sur les rails. Chose pas facile.

Après avoir bouffé un peu d'air frais, elle a pris sa douche, s'est habillée et est sortie. Au salon, la table est dressée pour le petit déjeuner qu'elle partage d'habitude avec son fils avant qu'il ne parte à l'école. Étonnée de ne pas le voir à table, elle fait appel à sa ménagère qui arrive.

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Épisode 1
A la découverte du véritable amour #CHAPITRE_1 Nous sommes au quartier Makepe dans la grande ville de Douala. C'est une matinée fraîche et les sols ont été arrosés la veille par les fines gouttes de pluie. Mme Germaine EBODE quitte son lit et va tirer les rideaux qui ornent sa fenêtre. Elle ouvre la fenêtre et reçoit sur son visage déjà ridé une vague de fraîcheur qui l'a fait frissonner. Elle se couvre davantage avec sa chemise de nuit. Du haut de ses 52 ans, Mme Germaine occupe un poste de responsable dans une grosse Banque de la place. Malgré son divorce depuis 5 ans d'avec son ex mari monsieur Simon EBODE, elle a conservé son nom de femme mariée. Ayant deux enfants avec ce dernier, ils ont convenu de partager leur garde soit, l'aîné qui est un garçon reste vivre sur sa garde et sa petite sœur avec son père dans une autre ville. C'est ainsi qu'ils vivent depuis 5 ans. Ce n'est pas la grande joie entre les disputes avec son ex mari et surtout son fils William qui lui donne du fil à retordre mais elle tient le coup et se bat contre lui pour qu'il ne sombre pas dans la perversion et le voyoutisme dont les jeunes font l'objet depuis peu. Femme battante et de caractère, elle était considérée dans son foyer comme l'homme de la maison, celle qui porte le pantalon et fait peur aux enfants. Son caractère sévère l'aide au contraire à mettre son fils sur les rails. Chose pas facile. Après avoir bouffé un peu d'air frais, elle a pris sa douche, s'est habillée et est sortie. Au salon, la table est dressée pour le petit déjeuner qu'elle partage d'habitude avec son fils avant qu'il ne parte à l'école. Étonnée de ne pas le voir à table, elle fait appel à sa ménagère qui arrive. Marthe : oui Madame ! Mme Germaine : William n'est pas debout ? Marthe : Non madame. Il doit encore être couché. Mme Germaine : eh ah ! ok. Furieuse, Germaine se rend dans la chambre de son fils, elle ouvre la porte sans cogner et entre. William est effectivement couché la couverture jusqu'à sa tête. Elle regarde autour d'elle, seulement la puanteur des lieux lui donne la nausée. Elle va retirer la couverture sur lui et hurle. Mme Germaine : ehh monsieur lève toi vite. Tu sais quelle heure il est ? Dépêche toi de te lever avant que je ne verse de l'eau sur toi. William ouvre les yeux. Impossible de rester inerte face aux cris de sa mère. Il se frotte les yeux et froisse le visage sur un ton négociateur il dit : William : Maman arrête de crier dans mes oreilles si tu parles doucement je vais comprendre. Aiiiiii j'ai super mal à la tête je voulais me reposer aujourd'hui. Mme Germaine : je vois que tu es malade. Ah oui tu es bien malade. Elle va tirer les rideaux de sa chambre et ouvrir la fenêtre. Mme Germaine : Tu étais dehors hier faire la fête n'est ce pas, tu ne savais pas que tu devais avoir cours aujourd'hui ? D'ailleurs tu es rentré à quelle heure ? Quelle bête question, bien sûr que tu es rentré le matin. Je vais confisquer les doubles des clés que je t'ai donné parce que tu agis comme un irresponsable. Mais regarde toi William regarde toi à ton vieil âge tu es encore au niveau Licence parce que tu n'arrête pas d'échouer, ta petite sœur est déjà en Master 2 je dis bien 2 ça ne te dis rien. William : et voilà les mêmes discours qui recommencent. Mme Germaine : je te dirais ça tout le temps. Tu es un irresponsable je me demande si on ne t'a pas changé à l'hôpital parce que je ne comprends pas pourquoi tu es si bête et têtu. Tu finiras par me donner un AVC ah oui je le sens. William : si tu arrêtais de crier tu te sentirais mieux. J'ai vraiment mal à la tête maman et tu ne m'aides pas. Mme Germaine : fiche moi le camp. Voilà tout ce que tu sais faire, aller faire la fête, boire fumer et t'amuser avec les filles. Ce n'est pas une vie ça mon fils. Je ne sais pas dans quelle langue je vais te parler. Je suis fatiguée de devoir crier tout le temps tu crois que ça me plaît ? Pourquoi tu ne veux pas changer ? Qu'est ce que je ne te donne pas ? Ou bien je t'en donne trop c'est ça ? Regarde ta chambre c'est plus qu'un magasin, rien n'est rangé et tu dors tranquillement. A 28 ans on doit encore te demander d'arranger ta chambre, oh mon Dieu c'est qu'elle malchance ça avec cet enfant. Va sous la douche rapidement je t'attends à la salle à manger stuippp. Mme Germaine sort de sa chambre. William se recouche et ferme les yeux. Sa tête lui fait un mal de chien, il a tant envie de rester au lit toute cette journée. Les évènements de la veille lui viennent en mémoire. La piscine, les filles, le vin, la cigarette, tout était réuni pour parfaire cette petite virée entre amis. Des fêtes comme celle-ci il en fait des tonnes et ce n'est que le début. Lorsqu'il suit les bruits au couloir, il se lève vite et va sous la douche. William n'a pas vraiment la tête sur ses études. C'est la deuxième fois qu'il tente de réussir à la Licence professionnel option Ressources Humaines qu'il a lui-même choisi. Cette année encore, celà semble devoir lui échapper à cause de sa négligence au profit de ses distractions qui lui tiennent à cœur. Avec ses amis ils enchaînent des fêtes et des sorties sans aucune raison, provoquant de la colère chez leur parents et même à l'établissement où ils se sont déjà fait remarquer négativement. William n'a pas de petite amie, du moins il les change comme des chaussettes. Une semaine correspond à une copine et la semaine d'après il l'a changé. Très souvent on assiste à des violentes disputes de la part de ses conquêtes qui veulent chacune avoir la place légitime. William en rit et les envoie balader. Beau gosse et fils d'un couple divorce riche, au-delà de ses 1m78, teint clair avec des cheveux bruns, il fait craquer la quasi-totalité des filles de son école. Sa beauté est un atout pour les avoir en plus de son standing de vie. L'eau froide qu'il a fait couler le long de son corps a permis à diminuer son mal de tête. Il prend son sac sans se rassurer des cahiers qui y sont et sort de sa chambre pour rejoindre sa mère à table. Il dépose le sac au sol et s'assoit. Sa mère le regarde d'un œil, il sait déjà qu'elle va dire quelque chose. William : oui maman parle ne t'étouffe pas, dit-il en se servant une tasse de café. Mme Germaine : je vais te déposer à l'école. William : Pardon ? Mais maman j'y vais seul et je te rappelle que j'ai une moto. Mme Germaine : ah ta moto merci de soulever ce sujet. Je ne sais pas pourquoi ton père t'a offert cette grosse moto, je vais la confisquer. William : Quoi ? Tu blagues. Je t'ai demandé de m'offrir une voiture tu as refusé même la tienne je n'ai pas le droit de la toucher maintenant que papa m'offre une moto pour facilement mes déplacements tu veux la confisquer maman ce n'est pas correct. Mme Germaine : donc moi Germaine, avec tous mes sens en place je sors de mon argent pour t'acheter une voiture ? Mon fils je ne suis pas encore folle et je dis que je vais confisquer cette moto parce que tu roule sans casque. Dis moi la dernière fois que tu as porté le casque, allez vas-y je t'écoute c'était quand la dernière fois. William : je le mets constamment même quand je rentre de l'école, est ce que tu es là demande à Marthe elle te le dira. Mme Germaine : tu n'as même pas honte de mentir. Tu sais où est ton casque ? William : bien sûr c'est dans ma chambre. Mme Germaine : C'est dans ma voiture depuis plus d'une semaine. Tu vois ta vie ? Le jour où tu vas entrer sous un camion franchement, que personne ne m'appelle. N'importe quoi. William baisse la tête, il s'est pris au piège de sa mère. Elle aura raison de confisquer sa moto. Il doit tout faire pour l'en empêcher. William : Maman excuse moi, c'est vrai que j'ai été négligent et j'ai cru avoir perdu mon casque. Maintenant que je sais où ça se trouve je vais le mettre je te le promets. Mme Germaine : Hummm. Euhhh Marthe. Marthe : oui madame, répondit Marthe en revenant de la cuisine. Mme Germaine : Tu vas retirer le poisson bar au frigo pour faire le bouillon de pommes. j'ai envie de ça s'il te plaît met beaucoup de piment. Marthe : d'accord Madame. Mme Germaine : je suis partie.. William je t'attends dans la voiture. Germaine a pris son sac, elle est sortie. William se dépêche de vider sa tasse de café et prend un bout de pain qu'il charge avec des œufs. Il se lève et va voir Marthe à la cuisine. William : Marthe s'il te plaît arrange un peu ma chambre. Marthe : Madame a dit que ce n'est pas mon travail tu dois l'arranger seul William : werrr pardon je ne suis pas en forme. Je vais donner quelque chose promis. Marthe : Ne me crée pas de problèmes hein. William : Mais non tu n'auras pas de problème, elle ne saura pas que c'est toi qui l'a arrangé. Les klaxons de la voiture lui rappellent qu'il doit sortir. William : ah cette femme mon Dieu ! À ce soir Marthe : Soit sage William. Il sort et va monter dans la voiture de sa mère, ils s'en vont. C'est le silence depuis la maison jusqu'à la grande école de formation ou William fréquente. Elle gare sur le côté pour qu'il descende. William : Comment je vais rentrer sans ma moto.? Mme Germaine : Envole toi stuippp descend Didon. William descend et se dirige vers la barrière du campus où les étudiants sont autorisés à passer. Très vite, il rejoint ses amis dans leur couloir ou ils peuvent voir tous ceux qui entrent. Ceux-ci l'ont surnommé Will Smith. Adrien KAYO, 26 ans, est l'un de ses meilleurs amis, contrairement à lui et à son deuxième meilleur ami Fabrice ESSO 27 ans, il est posé et raisonnable. William salue sa troupe. Adrien : je ne t'attendais pas aujourd'hui. D'après ce que Fabrice me raconte, la fête était de taille hier. William : hummm j'ai bien voulu rester au lit, tu connais bien madame EBODE, elle m'a traîné jusqu'ici. Fabrice : hahahaha. Ta mère est une guerrière. renchérit Fabrice avec les yeux rouges qui traduisent son manque de sommeil. William : Mais dis moi Adrien, pourquoi tu n'es pas venu.? Adrien : mes parents sont rentrés alors qu'ils avaient prévu de rentrer le weekend. Pendant que ta mère te terrorise moi c'est mon père donc impossible de sortir. Fabrice : tu peux t'en vouloir parce que tu as raté pleins de choses n'est ce pas Smith William : Ouais ! Cette petite fille de Tatiana je l'ai bien sauté hier Adrien : Quoi ? T'es sérieux ? William : j'ai l'air de blaguer ? Je l'ai bien touché dans les toilettes en plus. Une fille qui aime se vanter elle marche comme si elle allait s'en voler il fallait la voir crier mon nom hier oh oui William oh oui ne t'arrête pas vas-y bébé foutaise oui. Ses amis éclatent de rire. Fabrice : voilà pourquoi tu es mon 10 c'est comme ça qu'on doit traiter ses petites sauterelles qui se croient arriver. Adrien : William, toi tu ne cessera jamais de m'étonner, maintenant elle va te prendre comme son mec. William : pardon qu'elle m'évite je ne suis le mec de personne son tour est passé maintenant je cherche une nouvelle proie. Fabrice : ah oui mon prédateur c'est de ça qu'il s'agit. Andrien : en parlant du loup on voit sa queue, la voilà qui arrive, elle a déjà les dents dehors. Fabrice : toujours avec son esclave derrière elle. Ils éclatent de rire. Tatiana MBOT, jeune fille de 24 ans, fait partie des filles les plus populaires du campus. Elle est taillée comme une guêpe et porte des vêtements de classes, des coiffures à l'américaine avec des mèches/perruques de valeurs. Elle fait tomber tous les hommes mais le seul qu'elle kiff réellement est William et cette nuit où il a enfin décidé de l'approcher elle n'a pas hésité à lui offrir son corps comme un trophée, ce qui marque pour elle le début d'une belle histoire d'amour. Derrière elle, se trouve sa meilleure amie Doris NYA qui la suit comme son ombre, essuie ses arrières et s'occupe de ceux qui osent la provoquer. Avec un sourire angélique, Tatiana est heureuse de voir son petit ami et se dirige vers lui. Voulant lui donner un b****r, William se recule et l'esquive. Tatiana : qu'est ce qu'il y a ? William : Bonjour Tatiana, bonjour Doris comment allez- vous ? De sa petite voix, Doris réponds Doris : bonjour à vous. Tatiana : je vais bien merci. Je t'ai écrit ce matin tu n'as pas vu ? William : je ne me suis pas connecté depuis ce matin. Sinon on se prend en cours. Tatiana : nous n'avons pas cours ensemble aujourd'hui. On se prend à la cantine à la pause, je te garde une place sur ma table. William : d'accord à tout à l'heure. Tatiana : ok mon chéri. Elles s'en vont. William soupire. Adrien : je te l'avais dit. Du courage mon pote. Fabrice : on doit se débarrasser d'elle. William : le plutôt sera le mieux elle me vexe. Adrien : Avec ses airs de grande fille qui ne fait pas n'importe quoi. Une vrai mytho. William : avant la fin de cette semaine j'aurai déjà embobiné une autre. quel beau tombeur je suis! Adrien : fais attention à ce qu'il y ait plus de bagarre je suis fatigué de séparer tes copines. Fabrice : Hahahahahahahaha. Ehh les gars j'ai avec moi un autre style de cigarette c'est plus fort et ça fait voyager allons tirer une. Adrien : arrête de toujours changer de mégots un jour tu vas prendre des herbes et ça serait fini pour toi. Faites attention. Fabrice : ah fou le camp, tu trembles trop. Will Smith on dit quoi tu es partant ? On va se faire plaisir. Adrien : je refuse, Smith arrête de tout tirer ce que Fab te donne. Tu te rappelles la dernière fois on t'a ramassé dans les caniveaux, si ta mère était au courant, elle allait t'enfermer. William : c'est bon Fab on verra ça après je ne suis pas en forme. Ehh regarder qui arrive c'est miss Jésus. Adrien : hahahahahaha Miss Jésus tu vas me tuer Smith. Devant eux, une jeune fille arrive. Elle porte un pantalon tailleur qui a vu d'œil n'est pas de sa taille. Son haut longues manches dépasse ses mains et pend à l'avant, dessus elle porte un pull-over qui lui arrive aux genoux. Des gros verres suspendus à ses yeux et sur la tête trois grosses nattes qu'elle s'est faites avec ses cheveux. Elle traverse les trois amis qui éclatent de rires en la pointant du doigt. Fabrice : comment une jeune fille peut s'habiller ainsi en 2022. William : je suis dépassé mon frère. Aiiiiii j'ai même mal aux yeux. Adrien : hahahahahaha. Laissez la c'est son style. Fabrice : cette fille doit être témoin de Jéhovah ou même dans une loge parce que je ne comprends pas ses habillements. En plus elle est en cours de finance c'est pour devenir Jésus des banques ? William : hahahaha ça c'est la meilleure. Adrien : Elle fait cours avec nous en tronc commun. William : oui je l'ai déjà vu. Elle s'assoit toujours devant. Oh vraiment je la plains. Adrien : ce qui me plaît chez elle c'est qu'elle s'en fout des moqueries. Elle ne répond à personne. William : qui devait d'abord lui parler stuippp c'est une villageoise. Bref parlons des vraies choses. Adrien : allons en cours voilà cobra qui arrive et vu qu'il a notre mal il va nous punir pour rien. Un monsieur de la quarantaine s'approche. Monsieur NGOUNOU est le surveillant de secteur. À cause de sa carrure de boxeur et de ses antécédents mafieux avec certains étudiants, William l'a surnommé cobra. Celui qui fait peur et fait fuir seulement par l'odeur de son parfum et n'hésite pas à plier les coudes avec les étudiants pour se battre..les trois amis font partie de ceux qu'il guette et à la moindre faute, il leur inflige une sévère punition ou convoque leurs parents. William et ses amis vont en cours. C'est une journée qui s'annonce fade pour William qui n'a du tout pas envie de lire ou d'écrire une ligne. A la sonnerie de la pause, les amis se sont retrouvés derrière le campus pour jouer aux cartes et fumer quelques mégots. Le téléphone de William retentit, il le retire de sa poche, découvre l'appelant, piaf et le remet en poche. Adrien : c'est Tatiana j'imagine. William : Ouais. Je vais bientôt la bloquer Fabrice : à ta place je l'aurais fait depuis. Adrien : toi tu as le sang à l'œil. Vous savez qu'on va composer la normale bientôt ? Fabrice : Didon fout le camp avec ça. On joue les dos toi tu nous saoul avec la normale. William : je Wanda sur lui. Va étudier nous on joue. Adrien : gars même si on doit jouer nous ne devons pas oublier pourquoi nous sommes ici. Stuippp vous me fatiguez parfois. Nous avons informatique après la pause il a laissé un devoir la semaine passée je suppose que vous n'avez rien fait. Je parle même à qui. stuippp je me casse. Fabrice : Ah casse-toi poule mouillée. William : hahahaha il ne sait pas que c'est lui qui fatigue. Adrien est allé dans sa salle de classe ou il a commencé à sortir ses cahiers pour faire ses devoirs. Tatiana arrive. Tatiana : Adrien will est ou ? Je l'attends depuis à la cantine. Adrien : il est derrière avec Fabrice. Tatiana : où vous aimez vous asseoir pour jouer ? Adrien : ouais ! Elle s'est empressée d'aller à sa rencontre toujours avec Doris à ses trousses qui se charge de porter son sac. Les garçons sont concentrés dans le jeu. William sent une petite force l'agriper le bras et le tirer à l'écart. William : ehhh c'est quoi ? Tatiana : c'est pas toi que j'attends depuis ? Je t'appelle tu ne décroche pas parce que tu joues. William : Tatiana laisse moi tranquille veux-tu ? Va te balader avec ton poussin qui te suis et laisse moi. Doris : tu appelles qui poussin? William : toi bien sûr. Allez dégagez allez faire vos devoirs et c'est la dernière fois que tu m'arrête de la sorte je ne suis pas ton poussin. Il se tourne et s'en va. Tatiana ouvre les yeux, la bouche, elle ne sait quoi dire tellement elle est choquée. Doris : viens ma puce on s'en va Tatiana : tu as entendu comment il m'a parlé ? Moi MBOT on me chiffonne comme ça ? Je lui ai fait quoi ? m***e j'ai mal p****n j'ai mal. Doris : allez viens, allons nous-en. Il n'en vaut pas la peine. Tatiana : mais je l'aime moi et....merde ! Elle pousse un cri de douleur et s'en va. les garçons la regardent s'éloigner, ils poussent un cri de soulagement. A Suivre...

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