Chapitre 2

957 Mots
Il est 4h30, mon réveil sonne, c'est l'heure du départ, je me lève, m'habille d'un survêtement et sweat-shirt et un bonnet pour pas que l'on me reconnaisse, je ne prend pas le risque de me doucher ni même de faire ma prière même si j'en ai besoin, mais j'ai peur de les réveiller. Je range mes vêtements dans un sac à dos simple, j'avais pas beaucoup de sape tant mieux je ne serais pas encombrer, je met mes baskets et sort de la chambre, discrètement je me dirige vers la cuisine pour prendre de l'argent, ma « mère » a souvent l'habitude de cacher de l'argent dans une boîte en haut du frigo, je le sais parce que je l'ai vu plusieurs fois. Je me préparais à sortir jusqu'à ce que j'entends une personne dans le couloir en train de tousser, ooohhh sayez j'ai signer mon arrêt de mort, je commence déjà à chahade, c'est la fin. J'attend quelque seconde que la personne arrive dans la cuisine, je ne vois rien, alors je m'avance pour sortir et bim je me cogne avec l'inconnu, mon cœur il est en train de faire un salto avant, il ouvre la lumière c'était Sami, je jète vite mon sac derrière un placard, Moi: des... désoler Sami je ne t'ai pas vu j'avais froid et je voulais venir me chauffer dans le salon, excuse moi Et je me dépêche de protéger mon visage avec mes mains avant que je reçois le coup. Mais nan il ne fit rien,  il me dépasse juste et il va prendre un verre d'eau, le boit et sort de la cuisine, il ne m'avait même pas regarder, ni même répondu, rien, j'étais invisible, quand je vous dit qu'il ne m'as jamais adressé la parole ni même regarder ce n'étais pas un mensonge, malgré le fait que je me sois forgé durant autant d'année, j'ai quand même un petit tilt au cœur à chaque fois que l'un d'eux me fait du mal car sa reste ma famille avant tout et surtout que je ne leur ai absolument rien fait, c'était de l'injustice. J'attend qu'il aille dans sa chambre, je ferme la lumière et cette fois si ces la bonne. Je me dirige vers la porte d'entrer je l'ouvre, sort, et la referme toujours en douceur. Ah j'étais enfin dehors, j'ai cru j'allais laisser mon âme à l'intérieur. Je descend les escaliers, je sort de l'immeuble, je regarde l'heure, il est 5h, j'avais perdu 30 min pour sortir fallait que je me dépêche pour ne pas rater mon train, je me met à courir pour arriver, je me retournais quelque fois, je sais pas, je sentais une présence derrière moi, mais je pense que sa n'est que psychologique, il faisait nuit et n'importe qui pouvait me kidnapper et me découper en morceaux alors j'avais peur. Je continue à courir je suis essoufflé, j'en pouvais plus mais j'étais obliger. J'arrive enfin à la gare, je sens toujours cette présence derrière moi mais à chaque fois que je me retourne, rien, il n'y as personne. J'attend le train, assise sur un banc, seul au milieu de cette gare d'habitude empli de voyageurs. Le train arrive, je me lève pour rentrer, quand une main attrape mon poignée, oh qui ose me toucher, je tourne le visage et je le vis, là devant moi, les sourcils froncés, là c'était vraiment ma fin, je me mis à bégayer un pied à l'intérieur du train et l'autre encore à la gare Moi: je t'en supplie laisse moi m'en allez, il me t*****e, si je ne m'en vais pas alors il ne me resterais plus qu'as me pendre, il me m******e -en larme- je ne demande qu'as vivre, je ne veut rien d'autre. Il se tait toujours, sa main sur mon poignets, il doit être en train de réfléchir à qui il va appeler, il pris son téléphone, et moi je me mis à pleurer, la tête baisser, je vais me faire tuer. Il leva sa tête, me regarda toujours avec ce regard plein de peine, je n'en veut pas de sa peine. Zyiad: Je te laisse partir, mais si tu as besoin de quoi que ce soit tu m'appelle. Je le regardais avec des gros yeux, il prit mon mini Nokia et enregistre son numéro, ouais vous l'avez compris c'était c*****d Zyiad, je ne sait pas ce qu'il me veut mais je me méfie de lui, je sais qu'il est hypocrite, je ne lui fait pas confiance. Il me tend mon téléphone, je lui répond que oui je l'appellerai, mais il peux toujours courir je ne lui fait pas confiance, bien au contraire je le hais même, il préviendras Samir je le savais, mais je m'en fou il ne sait pas où je vais alors qu'il fasse ce qu'il veut. La sonnerie de fermeture des portes retentit, je retiras sa vielle main de crabe de la mienne et monte dans le train, je m'installe et il ce met en marche, sa roule d'abord doucement puis de plus en plus vite, il était encore debout, à la même place, il regarde le train partir, je ne sait même pas ce qu'il fait la nuit dehors c'est un crabe nocturne, incroyable. Le train roule maintenant à toute vitesse, nous ne sommes qu'une dizaine dans le wagon, alors je me permet de prendre les trois siège à côté de moi et je m'allonge dessus, la route et longue, je pense, je réfléchis à ce qui m'attend, à ce qui m'est arriver depuis petite, à ce que je vais leur faire, un sourire ce dessina sur ma bouche à la pense de ma vengeance, mes yeux ce font plus lourd et je m'endort pour une fois la tête vide.
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