Chapitre 3

1311 Mots
Je sens quelqu'un me secouer, j'ouvre les yeux et vis une vielle dame, peut être âgée d'une cinquantaine d'année, elle me fixa avec ces petit yeux plein de tendresse, La vielle dame: bonjour ma fille, le train vient tout juste de s'arrêter à destination final ce serais dommage de rester coincé ici Moi: oui, merci je vais me lever de suite, en revoir. Elle partit et moi je me lève avec un de ces mal de dos, inexplicable. Je sors du train, j'étais enfin arriver à destination, ma nouvelle vie allait enfin commencer. Je sort de la gare et je me dirigea vers une maison que je connais depuis très longtemps, mais aussi que je n'ai pas revu depuis mes 13 ans. Je toque à la porte, il ouvre la porte, il n'as pas changer toujours aussi grand et beau. Il me voit et me saute dans les bras, il était heureux de me voir, je le savais, j'ai toujours été sa préféré et lui mon ange gardien. ......: Comment sa fait longtemps, t'as grandi entre temps. Moi: Ouais je sais et toi t'as pas changer. ........: t'es folle ou quoi bien sûr que si j'ai changer tu voit tchi, j'ai grandi, je me suis musclé, vas y vient entre sa fait tellement longtemps. Il prit ma valise et je rentre m'installer dans son appartement, l'endroit était toujours identique au souvenir que j'avais garder, toujours ces mêmes meubles où on s'amusait à sauter et crier à deux, puis un salon typique marocain, une chambre toujours aussi désordonné et une cuisine simple, comme je l'avais laisser. Je m'installe sur le canapé. Il s'assoit en face de moi  et me regarde, je sais, il attend de savoir le pourquoi du comment, je vais lui raconter tout ce que j'ai subi sans rentrer dans les détails de mon plan, je sais que lui seul pourra m'aider. ......: alors cousine qu'est-ce que tu vient faire ici avec ton sac. Et oui c'était mon cousin Aymen du côté paternel, il est lui âgée de 22 ans mais malgré tout la complicité qui y a entre nous est beaucoup plus puissante que notre différence d'âge, ma grand mère lui avait toujours dit que j'étais une pépite et qu'il fallait qu'il me protège de tout, ainsi nous avons renforcer des liens plus fort, petit nous étions coller comme les deux doigts de la mains. Il est le seul grand frère que j'ai eu dans toute ma vie. Moi: Ayman j'ai fuit de la maison Aymen: Quoi, mais pourquoi ils vont tous être inquiets, tu es folle ! Mdrrr, je me met à rigoler ce qui fait qu'il me regarde bizarrement, alors je me met à lui conter mon histoire, mon adolescence, je lui montre les traces que Samir m'ait faite la veille même. Il me regarde, m'écoute, je vis ces points ce serrer tout au long de mon récit, il était en colère, je le voyais, à la fin il  me prit dans ces bras, dans ces gros bras musclée, j'avais besoin de lui, il m'as énormément manquer, alors pour une fois depuis longtemps enrouler dans la chaleur sur son torse, je me mis à pleurer comme pas possible, il me caresse les cheveux et me chuchote à l'oreille que tout était fini et qu'il allait m'aider et on resta ainsi pendant un bon bout de temps. Aymen: Alors qu'elle est ton plan maintenant Moi: Rien, je vais vivre, prendre soin de moi et changer puis je retournerais la bas plus forte et je l'es confronterais chacun au mal qu'ils ont pu me faire. Aymen: Ne t'inquiète pas je ne dirais a personne que tu es là et tu pourras rester ici autant de temps que tu le souhaite. Je le pris dans mes bras et le remercia de tout ce qu'il a fait pour moi. Aymen ne travaillais pas, lui aussi il bicravait, il est malheureusement tomber dans le vice et aujourd'hui il est chef de g**g. Ces parents ne sont pas très fière de sont parcours, alors entre eux ces plutôt tendu et ils sont aller vivre au bled. Je me lève de sur le sdari (canapé marocain) pour me diriger vers la cuisine Moi: Bon maintenant que je suis là je vais te faire des repas maison, sa doit faire longtemps que t'as rien manger de marocain, tu veux quoi? Il me regarde, sourit. Aymen: Fait moi rfissa 3afak (stp), sa fait un bail que j'en ai pas manger ! Moi: Ok, c'est comme si c'était fait Je me dirige vers la cuisine et commence mon repas, j'aimais bien cuisiner, préparer de bon repas. Je pense a ma « famille » que j'ai laisser, ils vont maintenant ce débrouiller pour la cuisine et le ménage, c'était moi la grosse qui faisait absolument tout et maintenant que là grosse n'est plus là que vont t'ils faire. Je repense à toute ces années de souffrance que j'ai vécu, pour rien. Et je repense à comment ces dérouler aujourd'hui, j'ai faillit y passer deux fois, mais hamdoullah, dieu est grand. Je fini le repas, je vais rejoindre Aymen, je le sert, on mange dans la joie et la bonne humeur. On fini, je débarrasse et vais ranger mes vêtements dans sa chambre d'ami et fait le ménage parce que c'était le bordel. Aymen: SOUMAYA, JE SORT NE M'ATTEND PAS CE SOIR JE DORT CHEZ UN POTE Moi: OKKKKK Il sort et moi je me met à organiser les chose qu'il fallait que je fasse à présent, j'écris une liste de comment je compte passer mon année, ma nouvelle année, mon début pour une nouvelle vie. Maintenant que je m'était organiser, je vais m'habiller et sort, il n'était que 16h, alors j'avais le temps. Je me dirige au C.C de la ville, je connaissait la ville par cœur donc pas besoin de taxi, j'y vais en bus. J'arrive et je vais m'acheter un téléphone et un ordinateur avec le reste de l'argent qu'il me reste, je me dirige vers une petite cafétéria pour allumer, configurer mon pc, je me dépêche de crée un CV et je vais l'imprimer ensuite. Je part déposer mon CV dans deux magasin de prêt à porter et je me dépêche de rentrer à la maison. Pour l'instant il me fallait un travail et j'espère qu'il vont m'accepter. Arriver à la dar (maison), je rentre, me change, me douche et rattrape mes prière, je vais m'asseoir dans le salon me met à regarder la télé, je savais comment organiser mon année, cette première année de liberté. Je regarde la télé, tout en installant mon nouveau tel, j'avais pris un iPhone, j'avais toujours rêver d'en avoir un et maintenant que c'était fait je jète le petit Nokia qui m'as beaucoup servi, il allait me manquer mdrrr. J'étais en train de regarder la télé, là box affichait 20h quand mon téléphone ce mis à vibrer, je regarde l'écran, sa devait sûrement être Sana c'est la seul à avoir mon numéro, les autres ne me l'ont jamais réclamer alors je n'ai pas prit la peine de leur donner. J' avais raison, c'était un message de Sana. ✉️Sana: SOUMAYA T'ES OÙ TOUT LE MONDE TE CHERCHE MÊME TES FRÈRES ET SŒURS, Eux ils me cherchent, incroyable,ils cherche la grosse qu'il avait maltraité depuis tant, ils doivent juste croire que je fait des trucs haram et veulent de nouveau me massacrer, avec Kenza qui ne fait qu'inventer des mensonges sur moi. Mais je m'en fiche, elle peut à présent inventer ce qu'elle veut je suis très loin maintenant et je compte bien avancer de l'avant à présent. Mon téléphone re vibre, un deuxième message, c'est Sana, elle doit s'inquiéter, c'était la seul qui m'aimait mais je suis obliger de faire sa car je dois moi aussi avoir à présent mon mot à dire. J'ouvre le message et le choc.....
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