J'avais profité de cette ballade avec l'homme de main d'Hervé et je m'étais échappé sans que le garde ne se rende compte de rien.
En réalité, j'avais fait savoir au garde de me conduire dans une boutique pour faire du shopping chose qu'il n'avait pas hésité à accepter. Arrivée dans un shopping j'avais pris des vêtements et j'étais allé à l’essayage pour mesurer. Le garde était à l'extérieur de la salle d'essayage pour m'attendre. J'avais mesuré une robe moulante décolleté qui m'était en exergue mes formes généreuses et qui laissait une partie de ma poitrine dehors. J'étais sortie demander l'avis du garde sur mon vêtement.
Moi : mon chou comment me trouves-tu dans cette robe??
Disais-je toute souriante et en faisant un tour sur moi même avant de poser mes deux mains sur les hanches..
Il était resté bouche b et ne faisait que m'admirer, il en bavait, je lui en avais mis plein la vue
Moi : hehoo (en claquant les doigts. tu as perdu ta langue ou bien ? Dépuis que je t'es posé une question ?
Le garde : (en reprenant ses esprits). Magnifique madame, vous êtes très belle madame. Excusez-moi
Moi : merci. Pourrais-tu stp aller me chercher une Paire d'escarpins qui pourrait aller avec cette tenue ??
Le garde : mais madame je ne connais rien aux escarpins, c'est des trucs de femme
Moi : je suis certaine que vous ferez le bon choix. Allez ne vous faites pas prier. Ou bien vous voudriez que le patron soit mis au courant que vous avez désobéi a sa femme ?? En plus un ordre qui devrais rendre sa femme plus jolie
Le garde : non madame. J'y vais tout de suite
Moi : merci disais-je en souriant.
J'avais profité de son absence pour vite me r’habiller avant de sortir discrètement de la boutique sans me faire repérer. J'avais laissé toutes mes affaires pour éviter d'attirer l'attention.
Une fois dehors, je courrais de toutes mes forces et je prenais les couloirs différents pour ne pas faciliter la tâche au garde de me retrouver, j'allais dans tous les sens.
Puisque j'étais nouvelle dans la ville, tous les différents endroits et chemins que j'empruntais m'étaient inconnus. Je marchais en regardant de tous les côtés pour voir si je n'étais suivie par personne, je devais trouver le commissariat le plus proche pour ma sécurité. Je m'étais arrêté auprès d'une boutique pour prendre des renseignements
Moi : bonjour madame. S'il vous plaît c'est par ou le poste de police le plus proche?
Elle : c'est à deux cents francs de taxi d'ici
Moi : ohhh vous pouvez m'indiquer le chemin à pied s'il vous plaît ?
Elle : a pied ? Ce n’est pas proche d'ici tu vas beaucoup marcher encore
Moi : ce n’est pas un problème là-bas
Elle m'avait indiqué la route du commissariat et je l’ avais énormément remercié pour le service qu'elle m'avait rendu et au bout d'une heure de marche j'étais déjà arrivé Au poste de police. vu la façon avec laquelle j'avais atterri la bas je pense qu'on m'avait prise pour une folle. Cheveux au vent, babouches et autres mais malgré cela on m'avait bien reçu et installé dans une pièce me disant qu'une personne allait venir prendre ma déposition.
J'avais profité du fait que j'étais au poste et j'avais demandé le téléphone d'un monsieur pour composer le numéro de Ben, après plusieurs tentatives il n'avait pas toujours décroché. Une fois hors de là j'avais un seul objectif retrouver mon frère. Je remerciais le ciel de m'avoir donné une opportunité de m'échapper. Après une trentaine de minutes à patienter une personne était enfin venue. Il était enfin temps qu'une personne s'occupe de moi
Lui : bonjour madame faite votre disposition
J'avais écrit tout ce que j'ai vécu avec Hervé
Lui : madame votre déposition là est grave hein, je vais en faire part au commissaire tout de suite, restez sur place
J'étais encore dans le bureau jusqu'au moment où un monsieur grand de taille est entré, avec le charisme qu'il imposait devant les autres policiers, il ne pouvait qu’être le chef des lieux
Lui : bonjour madame je suis le commissaire
J'étais heureuse d'être reçu par le commissaire lui même enfin. On allait gérer comme il faut et Serge devait aller où il mérite, la prison
Moi : bonjour commissaire merci de m'avoir accordé votre temps. J’ai vraiment besoin d'aide
Lui : hahhh oui. Mais ce que vous avez besoin c'est d'un psychiatre pas d'un commissaire.
Moi : (étonné) comment ??
Lui: votre mari nous a tout expliqué. Et croyez moi j'ai beaucoup de la peine pour vous. dit-il en faisant signe à quelqu'un de faire entrer un autre dans notre salle. Quelques instants plus tard Hervé était déjà la.
Hervé : bonjour mon amour. tu nous as fait une de ces frayeur, dit-il en venant me prendre dans ses bras mais je l’avais repoussé
Moi: je n'irai nul part avec toi. Disais-je en le criant dessus.
Hervé : vous voyez monsieur le commissaire. ma femme n'est pas bien dans sa tête
Moi: non la seule personne qui n'est pas bien dans sa tête c'est toi. Monsieur le commissaire cet homme n'est pas celui que vous croyez.
Le commissaire : maintenant c'est clair que vous n'allez pas bien. Écoute madame ici ce n'est pas un asile de fou. En ce qui concerne votre mari c'est un des hommes les plus honnêtes que j'ai jamais rencontré. Il a fait tellement beaucoup d’œuvres de charité pour cette ville et même pour ce commissariat.
Mr Hervé qu’est -ce quon peut faire de plus pour vous aider
Hervé : mon commissaire vous avez déjà assez fait et croyez moi monsieur je ne suis pas prêt de changer où d'arrêter mes œuvres pour le commissariat et cette ville. Merci encore d'avoir veillé sur ma femme je ne sais pas ce que je ferai sans elle disait-il en me caressant la joue.
Commissaire : je vous en prie c'était la moindre des choses disait-il en le serrant la main
Après cet échange Avec le commissaire nous étions restés tous les deux dans cette Salle son regard montrait à quel point il était furieux contre moi. Lorsqu'il essayait de me ramener à la maison je criais sur lui et je le traitais de tous les noms. Avec le scandale que j'avais fait, tout le commissariat m'avait prise pour une folle. Ce sont certains hommes en tenue qui étaient venus m'attacher pour me mettre dans la voiture d’Hervé . Arrivé à la maison, Hervé m'avait détaché et laissé a la cour. Pendant que je pleurais d'être revenu dans la maison du diable, il m'avait rejoint plus tard avec Orlane qui avait une bassine d'eau et lui un fouet qu'il avait tissé avec les courants électriques. Orlane m'avait versé cette bassine d'eau et pendant que je me faisais bastonner, elle prenait plaisir a se moquer de moi. Hervé me battait comme un animal sauvage en me traitant de tous les noms
Hervé : tu te rends compte de toutes les humiliations que tu m'as obligé à supporter tout a l'heure, et le temps fou que tu m'as fait perdre pour te chercher ??
Moi : s'il te plaît je te jure que plus jamais je ne vais m'échapper. Pardonne-moi s'il te plaît.
Je criais au secours et je le suppliais de me pardonner mon comportement de tout a l'heure. Mais il avait les oreilles bouchées. Orlane était placée là et l'encourageait dans cette bastonnade.
Orlane : continue bb donne lui une bonne correction
Vous vous demandez certainement si je n'avais pas de voisins pour voler à mon secours. Et bien Hervé était un loup déguisé en agneau. c'était un homme respecté de tous et chacun disais que si je suis entrain de me faire bastonner chaque fois ce serait moi la fautive raison pour laquelle personne ne volait jamais a mon secours. Au contraire tout le monde me regardait de travers dans le quartier. mais comme je n'avais pas pris rendez vous sur terre avec quelqu'un, je n'avais pas aussi leur temps.
Après plusieurs minutes à me faire bastonner comme un animal on m'avait laissé la. Je m'apitoyais sur mon sort et je hurlait de douleur.. Jessayais de ramper pour aller dans ma chambre mais je n'y arrivais pas. La douleur était insupportable. Le gardien ayant remarqué les efforts que je fournissais pour me lever et que je n'y arrivais pas il m'avait porté et amené dans la chambre dans la plus grande discrétion je lui avais remercié pour ce geste. Les vêtements que je portais était tout déchiré et avec le sceau d'eau que j'avais reçu je grelotais a mort. Je sentais le palu arriver et heureusement pendant mes courses j'avais acheté quelques produits et une boîte a pharmacie. Pendant que je pensais mes plaies, Hervé était venu me rejoindre sous la douche dans le même était que le jour où j'avais fait tomber sa bague. On dirait qu'il avait fait un marathon tellement il transpirait. Il se fichait bien du fait que je sois blessé partout ,ce qu’il voulait c'était f***********r. Je n'avais même pas la force de riposter. Cette fois il m'a pris directement par l'anus et direction la sodomie je criais et je pleurais. Je n'avais jamais ressenti une telle douleur et combiné a mes blessures qu'il appuyait c'était encore insupportable le fait de n'avoir utilisé aucun lubrifiant, me faisait tellement mal, il avait du Mal a faire des va et vient mais cela ne le décourageait pas pour autant. il avait fini par arriver a l'extase avant de libérer mon anus.
Mon Dieu c'était horrible, j'étais brûlante de fièvre et de douleur. Je voulais juste mourir parce que ma vie n'avait plus aucun sens. je pensais que Dieu m'avait exaucé en m'aidant a m'échapper mais non il venait de me livrer encore une fois de plus à Lucifer. Je me demandais si la meilleure chose à faire n'était pas de faire un pacte avec Lucifer pour enfin être tranquille ?? Mais où devais-je le trouver. Javais opté pour le suicide et j'avais avalé le flacon de médicaments qui était devant moi.
Au bout d'un instant je n'arrivais plus a distinguer les objets que je voyais. Ma vision s'affaiblissait, je m'étais écroulé par terre et je sentais mes yeux se fermer lentement je priais le ciel que ce soit la mort mais hélas.
A suivre...