IVDix mois auparavant, Marcel Belvayre, arrivant à Florence, avait loué au premier étage d’une vieille maison un petit appartement meublé. Sur le même palier demeuraient don Luciano Pellarini et sa fille Agnese... Le malheureux infirme ne sortait jamais. Quelques amis venaient le voir, essayaient de le distraire par leur conversation, par des lectures ou de la musique. Son regard les remerciait. Puis, eux partis, il retombait dans les pensées terribles qui donnaient à son regard une tragique expression d’horreur, d’angoisse, de désespoir. Un soir, il y eut dans sa chambre un commencement d’incendie. Belvayre, accouru au premier appel d’Agnese et de la servante, éteignit aussitôt le feu qui menaçait d’atteindre le lit du savant... Ce fut le début de relations fréquentes. Le romancier, disc


