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1897 Mots
Absatou Camara , diplômée en logistique et transport. Je suis âgée de 22 ans , ma famille est une famille modeste à Faladié. je suis de taille fine , une forme Coca-Cola , très belle aussi comme le dit souvent les gens. J'ai de très grands yeux , un nez fine et dressé plus des lèvres pulpeuse.  Mon père n'arrive plus à joindre les deux bouts. Il est à la retraite ça fait des années et tout le monde sait que les retraités africains surtout maliens ne gagnent pas assez. Ça fait presque deux ans que je fus obligé de travailler dans un restaurant comme serveuse la journée pour pouvoir payer mes cours de l'université privée que je faisais le soir. maintenant j'ai ma licence et j'attend d'avoir un travail pour me payer les cours de master. Malheureusement j'ai perdue ma mère , je suis la fille aînée dans la famille et j'ai deux jeunes frères qui ont entre 20 et 18 ans.  Bon assez parler de moi , je viens tous juste de rentrer à la maison après un dur labeur de journée à la quête de travail. Ça fait plus de six mois que je parcours toute la ville de Bamako à la recherche d'un travail pour enfin décharger mon père de tous ces fardeaux qui lui pèse.  Des fois il est obligé d'appeler ces vieux amis qui on réussi dans la vie pour qu'il lui envoie au moins 5000f pour qu'on puisse manger.  Des fois il nous arrive même de ne pas pouvoir payer le loyer qui fait 50.000f le mois. Absatou : bonjour papa  Papa : bonjour ma fille , ça été ta journée  Absatou : toujours pareille , personne ne veut m'embaucher par ce que mon diplôme est beaucoup trop lourd  Malgré que j'ai la licence , j'ai un diplôme très sûr haut à cause de mes notes qui sont beaucoup trop élevés. Papa : t'inquiète ma fille , grâce à Dieu tu aura du travail un jour  Absatou : je l'espère  Je me rend dans ma chambre qui est un peu équipé puis me couche sur le lit en regardant le plafond et en pensant à ma vie.  J'ai confiance en Allah , je suis sure que c'est éphémère tout ceux-ci et je crois dure comme fer qu'un jour il me donnerai ce que je mérite.  J'ai perdue ma mère très tôt , seulement quand j'avais dix ans , c'était très douloureux de vivre sans elle. C'était une très belle femme peulh et je lui dois ma beauté ainsi que ma couleur de peau qui est claire par ce que mon père lui c'est un vrai africain façon il est noir Depuis son décès , mon père n'a plus voulue se remarier , il est à la fois un père et une mère pour moi et mes frères.  Le lendemain... Il est 10h... Je suis déjà prête , j'ai prié et j'ai pris mon petit dej , les plus importants. je salue comme toujours nos voisins puis prend le chemin du goudron pour prendre une sotrama qui me conduira à Sotuba , il y'a une société de mine la bas.  Je décide de traverser la route pour m'arrêter sur la voie ou les sotrama passe et en ait rien de temps je suis à terre. Je me lève en sursaut et me dirige vers le côté conducteur de celui qui m'a renversé puis le traite de tous les noms.  Absatou : non mais il y'a que des fous ici au Mali , regardez vous m'avez salit , si vous ne savez pas conduire mieux vaut ne pas avoir de voiture , c'est quoi c... Ma bouche fut cloué quand le conducteur en question fait désencadre sa vitre. Il est d'une beauté que je ne saurai décrire , je suis perdue dans ses beaux yeux noisettes que je ne cesse de regarder. Je le regarde avec tendresse et surtout avec subsistance. il m'a hypnotisé avec son regard froid qui n'exprime aucune expression. Subitement je reviens à la réalité quand il s'y met lui aussi à me traiter de tous les noms. J'ai beau être fâché mais ça serait mentir si je dis que ça voix ne me laisse pas indifférente.  L'inconnu : que des villageoise en ville , il faut regarder sur la route quand vous traverser  Absatou : et quand est-il de vous qui ne sait pas conduire , regarder mon habit est maintenant froissée et tacheté à cause de votre façon hautin de conduire  L'inconnu : vous voulez de l'argent , c'est ça , attendez je vous en donne  beaucoup plus si vous voulez  Absatou : non mais ça ne va pas... L'inconnu : prenez en et dégagez  Il ouvre sa boite à gants , fait ressortir des billets de 10.000f qu'il me jette à la figure puis démarre , j'eu le temps de les prendre sur ma poitrine avant que ça ne tombe et les balance dans sa voiture puis fais la fierté de l'Afrique en faisant le bruit magique.  Absatou : tchrrrrrwww gros porc Il s'en va comme comme ci de rien était. Épuis ma journée est gâchée banalement comme ça. Je pries Dieu de ne jamais retomber sur un grincheux grognon , cynique , égocentrique et arrogant pareil.  Je trace ma route dans la maison et essaye de tranquilliser du mieux que je peux mon père qui s'inquiète vue mon état. Je me change et mange la nourriture que j'ai fais avant de sortir et mes frères ne vont pas tardé à rentré à la maison pour manger et reprendre le boulot qu'il font. Par ce tous les deux sont à l'université et participe un peu au dépense de la maison. ils ce sont inscrites au cours du sors pour pouvoir travailler la journée dans une boutique d'un homme riche qui vend des pièces détachés. Deux mois plus tard... Deux mois maintenant , deux bonnes mois que je n'ai toujours pas de travail et ça commence à me peser. Des fois j'ai envie de craquer , d'exploser au mur tous ce qui se trouve à ma portée mais je me retiens tous de même par confiance en Allah.  Il est l'éternel et surtout le plus grand , je ne peux rien forcée et qui ne soit pas son souhait.  Ces deux mois sont passé très lentement. Il ne se passe pas une seule journée sans que je ne penses à ce bel homme qui m'a renversé. Je n'ai jamais vue un si beau homme de toute ma vie. Il est clair de peau avec une barbe touffue mais très bien entretenue. Un très joli nez avec des lèvres pulpeuses. Je n'ai jamais admiré un homme mais avec lui je dirai même que c'est beaucoup plus. Mon cœur réclame sa vue encore une toute dernière fois pendant que mon cerveau me persuade d'oublier cet souhait par ce que je ne le reverrai plus jamais c'est sûre. : Absatou ?  Absatou : oui j'arrive  J'ouvre la porte de ma chambre et tombe sur mon père. Papa : il y'a ton amie dans le salon  Absatou : Fifi ?  Papa : oui elle dit qu'elle est très pressé  Absatou : j'arrive tous de suite  Papa : d'accord  D'habitude elle se dirige directe dans ma chambre et j'avoue qu'elle doit vraiment être pressé aujourd'hui. Je porte une longue robe vite fait et la rejoins dans le salon.  Absatou : ma copine ça va ?  Fifi : oui je vais très bien et toi ! Absatou : comme d'habitude hein  Elle est au courant de ma situation et ça l'exaspère que je vis ainsi. Tous les deux on a débuté et finit les études ensembles et grâce aux contactes de son père elle a eu un travail dans la banque BDM de Bamako.  Fifi : je suis tellement mal en point que tu n'es toujours pas de travail  Absatou : ça va aller t'inquiète  Fifi : ne soit plus triste par ce que aujourd'hui mon père t'as trouvé un travail dans une boîte de transit qui se trouve au quartier du Fleuve  Je n'y crois pas , j'ai les yeux grandement ouverts et me demande au fond si c'est vrai ou faux.  Absatou : tu jures Fifi ?  Fifi : oui ma puce , voici l'adresse , le cellulaire , tout y est  Je lui prend la carte des mains en ne manquant pas de verser es larmes. Je ne saurai pas du tout décrire à quel point je suis heureuse et reconnaissante.  Je me jette dans les bras de Fifi qui me set très fort. Absatou : Fifi je ne saurai jamais remercier assez ton père pour ce travail , toi même tu sais à quel point j'en ai besoin  Fifi : maintenant sèche moi tes larmes et penses à comment t'habiller pour paraître très belle demain  Absatou : merci beaucoup , un mille merci à ton père  Fifi : ce n'est rien ça ma chérie , maintenant je dois aller au boulot , le soir on se capte  Absatou : d'accord chérie  Elle me fait un bisous sur la joue puis s'en va. Peu son les gens qui feront au Mali ce qu'elle vient de faire pour moi par ce que ce pays est remplie de gens pourris, malhonnête et surtout très très égoïste. Personne ne veut que personne ne l'égale ce qui fait que personne n'aide personne à avancer dans la vie. Je suis arrêté avec la carte en main. Les larmes qui ne veulent pas s'arrêter. Mon père me sort de mon imagination et me demande ce qui se passe.  Papa : ma fille pour quoi tu pleures ?  Absatou : papa j'ai eu un travail , enfin on va pouvoir s'acheter notre maison à nous un jour  Papa : j'ai toujours eu confiance en Allah et également en toi malgré que mes soeurs m'ont forcé de te marié  Les sœurs de mon père disait à longueur de journée que je mérite juste de me marier au lieu de rester à ne rien faire telle une vorienne. Je compte me marier un jour mais pas sans avoir assurer l'avenir de mes frères et celui de mon père. Tous ce que je fais c'est pour eux.  Le lendemain... Je souffle un bout coup , pousse la porte et pénètre cette belle entreprise spacieuse qui regorge de personnes très bien habillé.  Je n'égale pas leur style vestimentaire mais je suis fier de ce que je porte.  Je me dirige à l'accueil et tombe sur une très belle dame qui est très âgée.  Absatou : bonjour madame  La vielle dame : bonjour ma fille , que puis-je faire pour toi ?  Absatou : j'ai un entretien d'embauche tout à l'heure... Ma vielle dame : Absatou Camara ?  Absatou : oui c'est bien moi  La vielle dame : vous êtes en retard d'une minute mais ce n'est pas grave , venez je vous accompagne  Comme convenue , on prend l'ascenseur , elle me conduit à une porte et ouvre celle-ci avec sa carte magnétique puis m'invite à y entrer.  Je pousse la porte , y met le pied droit et ouvre grandement les yeux a cause du choc avant de prendre le pied gauche... Je suis vraiment désolé pour mes fautes ,pardon , pardon Qui est ce bel homme qui a à renversé Absatou ?  Qu'a-t-elle vue ?  Dans le prochain chapipetit
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