Océane aurait dû tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. Elle essaya de repousser Marcos, mais il la maintenait contre lui, sa bouche dévorant suavement les siennes. Lorsqu’il lui mordilla sa lèvre inférieure et passa sa langue dessus, elle gémit en proie une délicieuse veloutée qui commençait à avoir raison de sa raison. Elle tenta une dernière fois de le repousser puis elle se rendit. Nouant ses bras autour de son cou, elle enlisa sa langue autour de la sienne, se pressant contre lui pour sentir ses seins se presser contre ce torse qu’elle mourrait d’envie de toucher et de caresser. Il y avait une telle fièvre dans leur b****r, un besoin que rien n’arrivait à assouvir. Son corps était en feu, brûlait de sentir ses mains et ses lèvres partout, sur chaque parcelle de

