XXXVI OU LE PIED LE PLUS MIGNON DE FRANCE ET DE NAVARRE REGRETTE AMEREMENT DE NE PAS ETRE CHAUSSE DE BOTTES DE SEPT LIEUESIci nous sommes obligé de faire un hourvari, comme disait Jean Oullier en terme de chasse, et de demander à nos lecteurs la permission de rétrograder de quelques heures pour suivre dans leur fuite le comte de Bonneville et Petit-Pierre, qui, comme on s’en doute probablement, ne sont point les personnages les moins importants de cette histoire. Les suppositions du général étaient parfaitement justes. A la sortie du souterrain, les gentilshommes vendéens avaient traversé les ruines, avaient gagné le chemin creux, et là, avaient délibéré pendant quelques instants sur la route qu’il convenait désormais de suivre. Celui qui se cachait sous le nom de Gaspard était d’avis de

