– Je n’ai rien reçu, mon bon ! Mais je n’étais pas à Vienne. On m’avait envoyé en mission à Constantinople. Ta lettre se sera perdue. – Eh bien ! heureusement que te voilà, car j’aurais été fort embarrassé, ne recevant pas de réponse... Mais nous reparlerons de cela plus tard. Amaury et Olivier s’avançaient à leur tour pour souhaiter la bienvenue à l’ami de leur père. Puis ce furent les connaissances et les parents que le diplomate avait dans le pays. Bientôt, il se trouva fort entouré, distribuant des poignées de main et s’informant cordialement des nouvelles de tous, non sans jeter de temps à autre un coup d’œil sur M. Wolf, avec l’air d’un homme qui n’en peut croire ses yeux. Gwennola s’écarta un peu et, à ce moment, vit M. de Coëtgon qui, se glissant hors du porche, s’apprêtait à di

