Comment assumer son désir sexuel lorsque celui-ci concerne votre père ? Facile à y répondre pour moi, je l'assumais depuis le début, tout simplement, c'est-à-dire depuis deux ans à peu près. Depuis que je les avais trouvés en pleine action en fait.
À 14 ans, surprendre son père pilloner sa mère en levrette sur son bureau peut avoir certaines conséquences post traumatiques. À l'époque je ne croyais en avoir aucune, je suis juste restée sur le pas de la porte, fascinée par ce que je voyais, par le plaisir apparent que ma mère prenait à se faire démonter et par les puissants coups de reins que mon père enchaînait sans fatiguer.
Puis j'étais répartie me coucher et le lendemain j'avais de nouveau entrouvert la porte pour les observer, le jour d'après également et ainsi de suite. Au fur et à mesure, j'avais appris à me m*******r et me caressais le c******s tout en imaginant la bonne verge de mon père entre mes cuisses. Leurs ébats m'excitaient tous les jours un peu plus et je me surprenais à rêver que mon père me prenne dans les mêmes positions insolites que celles qu'ils exerçaient sur ma mère.
J'étais devenue complètement accro au sexe, et particulièrement à celui de mon père. Je me réveillais parfois la nuit, sentant encore sa présence en moi tellement mon rêve érotique avait été puissant. Je m'introduisais alors un doigt ou deux pour finir le travail puis me rendormai paisiblement. Bien sûr, la honte m'avait d'abord envahie, je savais bien que je n'avais pas le droit de fantasmer sur la bite de mon père, mais c'était plus fort que moi !
Tant que je n'aurai pas senti sa grosseur me piloner le cul aussi violemment que celui de ma mère, je savais que je ne pourrais m'arrêter de penser à lui de cette manière.
C'était ça, le remède, fini le voyeurisme sous la douche et l'espionnage de leur chambre. Il fallait passer à l'action si je voulais satisfaire mes désirs.
J'avais donc choisi cette nuit, alors que maman était partie passer la soirée chez des amis, pour prendre les choses en main (au propre comme au figuré). Le peignoir en soie de ma mère laissait deviner mes courbes tout en les cachant assez pour me faire désirer et j'avais lâché mes boucles brunes qui tombaient en cascade sur mes épaules.
L'entrejambe déjà brûlant, je sortis silencieusement de ma chambre et ouvris la porte conjugale tout doucement, pour la refermer à clef au cas où quelqu'un arrive.
Je trouvai mon père allongé sur le dos, en boxer sur le lit king size. À la vue de son corps sculpté à la perfection, une bouffée de chaleur me prit et j'avançai dans la pénombre, m'agenouillant sur le matelas. J'avançai à quatre pattes, remontant le long de ses jambes viriles et arrivai à hauteur de son boxer.
L'objet tant convoité était juste là, à ma portée, juste une barrière de tissus me barrait la route. Je jetai un coup d'œil à mon père et, voyant qu'il dormait toujours paisiblement, passait la main sur son entrejambe.
Quelle épaisseur !!
Mes doigts effleurèrent ses couilles et sa verge, pressée par le boxer. Je la sentis commencer à se redresser sous mes caresses et augmentai la pression tout en baissant petit à petit le sous-vêtement.
Je m'arrête soudain lorsqu'il se met à bouger, gémissant dans son sommeil. Un sursaut d'excitation m'envahit, la peur d'être découverte décuple mon plaisir et je replonge dans son boxer, effleure la touffe de poils, touche du bout des doigts cette merveille. Je la sens bien tendue, prête à me combler et n'ai qu'une envie : m'empiler dessus.
Mais je dois y aller doucement, déjà enlever ce p****n de boxer. J'ai beau tirer sur les bords, le poids de papa est trop lourd et seul le haut de sa verge reste visible, m'empêchant de la saisir. Mon désir est tel que je me sens capable de déchirer le sous vêtement en deux, mais il vaut mieux éviter.
Je vais me contenter de sentir ses contours. Mes ongles tracent les lignes de sa bite, je l'empoigne du mieux que je peux et fais des vas et viens, me délectant de ce que je ressens. Mais ça ne me suffit pas, alors je me cambre, le cul en l'air et commence à lécher la partie visible de son entre jambe lorsque son corps bouge brusquement.
- Léa ?! Qu'est-ce que tu fais ??
Je relève les yeux, mon père me fixe, ahuris. Il s'assoit précipitamment et me regarde comme si j'étais folle.
- Tu... Mais... Toi... Hein ???
- Chuuut...., je souris en coin, devinant son trouble et me rapproche de lui, à quatre pattes sur le matelas, c'est rien papa... Toi aussi tu en as envie...
- Qu'est-ce que... Tu es complètement folle...
Je suis maintenant à quelques centimètres de son visage et me colle à son buste épais, ramenant ma tête contre la sienne, je le regarde dans les yeux.
- J'ai envie de toi papa. Ça fait deux ans que je fantasme sur ton cul et que je me m******e en pensant à toi.
En même temps que je parle, j'attrape une de ses mains et la colle sur mon sein droit, uniquement dissimulé derrière le peignoir en soie. Il est comme paralysé, il ne bouge pas mais quand je lâche sa main, elle reste collée à mon sein. J'ai même la légère impression qu'il referme sa main dessus.
- J'ai besoin de sentir ta queue en moi.
Soudain je remarque une certaine lueur au fond de ses yeux, et je suis sûre qu'elle n'y était pas là avant. Je recule, me positionnant au milieu du lit, bien droite, et ne cille pas.
Mon peignoir tombe sur le lit.
C'est alors qu'il s'avance vers moi, indécis. Ses muscles roulent sous sa peau, son boxer frotte son érection bien visible. Il me passe une main dans les cheveux et tire ma tête en avant.
- On ne devrait pas faire ça, murmure-t-il, je n'ai pas le droit.
Mais ses yeux brûlent de désir, ils disent tout le contraire et je le sais. Mon corps ne laisse pas papa indifférent.
- Tu es ma fille.
- Imagine que je suis maman.
Sa main lâche descend dans mon cou d'une prise possessive, se déroule sur mon épaule et englobe mon sein brutalement, me laissant sans souffle. La tension dans l'air est palpable.
- Je ne peux pas... Je ne peux pas...
Je lui coupe la parole et fonds sur ses lèvres, dévore sa bouche. C'est le paradis, papa répond immédiatement à mes pulsions, il explore mon palais, aspire ma langue, m'empêche de repartir et de respirer par la même occasion. Lorsque je m'en défais enfin, je prends une grande respiration, encore sous manque d'air et halète :
- Prends-moi maintenant.
Son regard devient sombre, ses mains fondent sur moi et me font tomber sur le matelas. Je me retrouve impuissante, allongée sur le dos et mon père me domine. Il descend sur ma poitrine, laisse une trace brûlante sur son passage. Il mord mes tétons et je me cambre de douleur et de plaisir.
- Qu'est-ce que tu me fais Léa...
Son boxer frotte mon bas ventre qui se contracte d'instinct. Je gémis :
- Je suis comment... ?
- Dix fois plus belle que ta mère, ma chérie...
J'attrape ses mèches, tire vers le haut et l'embrasse fiévreusement.
- Je veux que tu me b****s comme elle, papa, je veux que tu b****s ta fille comme si ta vie en dépendait.
Ses doigts agrippent mes cheveux, tirent à m'en arracher la tête, et me font lâcher prise. Ma gorge est entièrement à sa disposition, comme le reste de mon corps. Il la lèche, la déguste et finit par l'entourer de ses deux mains. Le manque d'air se fait vite ressentir, mes poumons se vident et je sens mon visage se colorer tandis que je secoue ma tête et agrippe ses mains dans le but de l'écarter. Ce n'est que quand je suis sur le point de m'évanouir qu'il me chuchote :
- Tu vas souffrir, princesse.
L'étau se desserre, je prends une grande bouffée d'air mais je n'ai pas le temps de me remettre qu'il me retourne et me pousse de telle façon que mon buste se retrouve suspendu dans le vide, le reste de mon corps sur le lit.
Son contact disparaît quelques secondes et j'en profite pour me retourner et le voir retirer son caleçon mais il me replaque aussitôt, laissant traîner sa main dans mon dos.
Son autre main se balade, joue avec mes courbes, ma colonne vertébrale et finit sa course sur mes fesses qu'il écarte violemment, m'arrachant un petit cri.
Je sens qu'il me malaxe le cul, toujours écarté et entièrement présenté à ses yeux lubriques qui le fixent.
Finalement, il les relâche après un halètement de plaisir et je crie lorsque je sens une main s'abattre violemment sur mes fesses.
- Ça, c'est pour être entré dans la chambre parentale sans mon accord, grogne papa.
Des picotements envahissent mon cul que j'imagine devenir rouge. Les larmes me montent aux yeux.
Une deuxième claque et tout mon corps part avec, sous la puissance du coup. Je m'effondre sur le matelas tandis que je sanglote.
- Ça, c'est pour avoir empreinté le peignoir de ta mère. Tu iras le laver demain matin.
Une vague de désir m'envahit à son ton autoritaire et quelque chose m'empêche de l'arrêter, comme si je prenais du plaisir à recevoir ses ordres. J'ai mal, mais cette douleur m'excite.
Peut-être parce que c'est mon père qui est en train de me fesser ?
Ou alors parce que je sais qu'il doit prendre du plaisir à me maltraiter, tout en pensant à comment il va me fourrer plus tard ?
À cette pensée, mon bas-ventre se tord et je gémis bruyamment, ce qui n'a pas l'air d'échapper à papa.
- Et ça... Mmmpf..., il me pénètre d'un coup sous mes halètements, ça c'est pour m'avoir touché pendant mon sommeil.
- Oooh oui papa..., oh mon Dieu !..., je ne peux m'empêcher de crier sous son premier coup.
Ses coups de reins sont brutaux mais espacés. Il attrape fermement mes hanches qu'il rapproche en même temps qu'il me fourre, enfonçant sa bite au plus profond de mon corps.
Seulement, mon buste pendant dans le vide, je sens que son sexe ne va pas aussi loin qu'il le pourrait dans une autre position. Alors je m'aide de mes avant-bras et essaye tant bien que mal de me relever, ce qui est assez dur quand quelqu'un vous pousse dans l'autre sens avec les assauts de son sexe.
Mon père se rend compte de ma posture et, relâchant mes hanches, il s'empare de mes bras qu'il tire en arrière. Je crie automatiquement sous la pression contenue dans mes épaules qui supportent tout le poids de mon buste. Mais rapidement, il enchaîne les vas et viens et sa verge touche enfin le point G, le frappant sans cesse.
J'en perds mon souffle, je n'arrive plus à fermer la bouche. Tout mon corps subit la puissance des coups qu'il me donne mais je ne peux pas bouger puisque mes bras sont maintenus en arrière. Ma colonne vertébrale se tord et je sens, de plus en plus rapide, la bite de mon père se frayer un chemin beaucoup plus fracassant qu'avant.
Il accélère, ses couilles ne décollent même plus de mes fesses.
- Papa..., je-, un assaut plus v*****t me coupe la respiration, j-stooop...! J-j'ai ma-al...
- T'avais prévenu... Princesse... Ferme ta gueule...
Et il tire sur mes bras, me relevant. La poitrine fièrement dressée, ma tête elle ne supporte plus l'effort et est secouée dans tous les sens, au rythme des secousses.
Je viens dans un hurlement de plaisir, inondant les draps. Mon sexe se resserre autour de celui de mon père qui jouit également, expirant toute sa semence.
Il me lâche les bras et aussitôt je retombe dans le vide, n'ayant pas la force de me maintenir seule. J'essaye de reprendre mon souffle, mon cœur bat beaucoup trop vite. Un gémissement m'échappe alors qu'il s'allonge sur mes jambes, plongeant sa tête dans mon cul. Je sens ses cheveux gris frôler le galbe de mes fesses, sa bouche m'effleure puis m'embrasse sur cette partie de mon anatomie. Il s'enfonce dans mon cul, m'embrasse encore et encore et je me cambre pour lui laisser le champ libre, soupirant sous ses caresses.
Soudain, il m'attrape les hanches et me ramène entièrement sur le lit. Je me relève, pensant que c'est fini mais il m'agrippe les aisselles et m'amène à portée de son visage.
Je m'agenouille en face de lui, nous sommes tous les deux nus, mais nous ne fixons pas nos corps. Nous nous regardons dans les yeux, jusqu'à ce que papa plonge sur ma bouche qu'il dévore. Aussitôt, je participe. Mes lèvres sont aspirées, mordues, écartées et rapidement, il progresse, attrape ma langue, la noue avec la sienne. Sa langue fait des ravages, fouillant ma bouche de fond en comble.
Nous ne nous écartons que pour respirer et c'est là qu'il me retourne et me jette sur les coussins, tête contre le mur. Les lèvres encore enflées, je ne dis rien mais sursaute quand il m'attrape le bassin qu'il remonte pour le mettre à son niveau. Je me retrouve là tête en bas, le cul en haut, en face de sa bite qui a l'air encore bien dressée.
J'ai juste le temps d'apercevoir les muscles de ses cuisses se contracter avant qu'il n'entre violemment dans en moi, me faisant pousser un cri.
Cette fois, je ne peux plus m'en empêcher. Sa bite tape encore plus fort qu'avant, je suis sûre qu'elle heurte mes intestins.
Putain, qu'est-ce que c'est bon !
- Ahh... HANN..... HANN.... HANN... HANN.. HANN, HANN !
Je crie à en perdre haleine. Je ne sais plus où regarder alors je ferme les yeux. Je n'écoute que mes sens. Je sens deux mains puissantes me tenir le bassin en l'air, des cuisses heurter les miennes à chaque coup, le frottement de l'oreiller contre ma tête tordue dans un drôle d'angle et enfin sa grosse verge entrer et venir, aussi profondément et rapidement qu'un marteau piqueur.
Lorsque je m'imagine sa tête, je ne peux m'empêcher de le voir penché sur mon cul, en train de fixer lubriquement le dilatement de ma chatte au passage de sa queue.
Cette vision est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Mon bas-ventre en feu se contracte tellement fort que le passage de la verge devient presque impossible, je serre le drap dans mes poings et, dans un dernier cri, je jouis.
Papa pousse encore deux ou trois fois et me rejoint facilement. Il jouit pour la deuxième fois en moi et crie mon prénom, écartant mes jambes et s'écrasant sur mon pauvre corps. Il pose sa tête sur ma poitrine, une main enveloppant un sein.
Plongeant la main dans ses cheveux, je referme mes jambes autour de lui et souris. Un certain silence s'installe ou chacun reprend son souffle et se remet de ses émotions.
Il redresse la tête :
- C'est pas bien ce qu'on a fait, Léa. Tu es assez grande pour le savoir.
Je ne réponds rien mais accentue la prise de mes jambes, sentant avec satisfaction sa bite se redresser au contact de mes petites lèvres. Un léger son sort de sa gorge.
- J'ai adoré papa. Merci..., je susurre.
Je vois sa pomme d'Adam redescendre et finalement sa main sur mon sein s'affirme, il titille mon téton.
- Papa... Je gémis.
Il le lâche aussitôt, se limitant à malaxer le galbe de mon sein.
- Non, continue...
Sa jambe bouge, remontant sur ma hanche. De ce fait, sa verge elle aussi bouge et elle se retrouve plus haut, posée sur mon ventre.
- J'aurais bien continué princesse..., mais tu as besoin de repos.
- Non ! Je...
- Si.
Son ton m'interdit de répliquer, mais de toute façon je n'ai pas envie de m'opposer à lui. J'aime son autorité et la façon qu'il a de l'utiliser sur moi. Mais j'aime aussi sa bite, et j'en ai besoin maintenant.
C'est pourquoi ma main part d'elle-même s'accrocher à son cul que je presse dans ma paume. Je sens à son halètement de surprise qu'il n'était pas préparé et j'aime ça.
- Allez papa..., je souffle et approche ma tête pour l'embrasser, mais il recule et détache ma main, se relevant,... pour faire plaisir à ta fille...?
- C'est pour ton bien Léa. Allez, prends le peignoir et sors...
Je soupire et me relève, ma main passe lentement sur sa queue qui tressaute à mon contact et je me cambre, mettant fièrement ma poitrine en avant.
Je le vois fixer mes courbes et souris. Il ouvre lentement la bouche :
- Tu es réellement magnifique ma chérie.
Sa main caresse mon dos, arrive au bas et il frôle du doigt mon cul, que je cambre encore plus à son toucher.
Il me caresse, me presse les fesses et finalement descend sur mes cuisses. Son regard remonte tandis que je suis hypnotisée par ses caresses.
- J'ai de la chance de t'avoir rien que pour moi, il sourit dans le vide comme s'il échaffaudait déjà d'autres scénarios de soirée, allez file ! Je dois nettoyer tout ça avant que ta mère rentre.
Je m'écarte à contre-cœur, attrape le peignoir et ouvre la porte. Glissant un dernier coup d'œil sur son corps viril qui s'étire, je la ferme.