Ça s'est vraiment noué, mais on n'en a eu conscience que plus tard, lorsque Karine est rentrée chez elle, un vendredi soir, et n'est pas revenue le lundi matin. On a appelé chez elle mais ça ne répondait pas. Ca a été en fin de matinée qu'elle a envoyé par mail, un mot qui était adressé à toute l'équipe de la trésorerie... Mot assez simple : 'Je ne peux pas continuer, je suis au bout du rouleau...' Il était accompagné d'un certificat médical qui l'arrêtait pour six mois. On a appris par la suite, parce qu'elle était très amie avec l'une des personnes qui travaillait à la trésorerie, qu'elle avait fait une dépression nerveuse. On n'avait rien vu venir. Au bout de six mois, elle est pourtant rentrée, identique à ce qu'elle était avant, et on n'aurait dit que rien ne s'était passé.
Il s'en est pourtant passé pas mal, à la trésorerie pendant tout ce temps.
Il a fallu trouver quelqu'un d'urgence pour la remplacer. On avait énormément de travail, dans cette ville moyenne de province, et l'absence de quelqu'un était une catastrophe. Existait un volant, comme dans tout corps de la fonction publique, de remplaçants, mais ceux-ci étaient déjà tous placés...Notre chef, en désespoir de cause, a alors décidé de faire appel à quelqu'un de contractuel, qui aurait été recruté à Pole Emploi.
Il y a eu une semaine d'attente, puis elle est arrivée.
Ca faisait une dizaine d'années que je travaillais dans cette trésorerie, après être descendu de la région parisienne. Elle était installée dans un bâtiment vieillissant de la ville. Trois étages, le premier pour la régie des eaux, le second pour nous, le troisième c'étaient les archives de la mairie. On était ensemble depuis le départ, notre chef était une femme en surpoids, plutôt chaleureuse, qui approchait de la retraite, nous étions six sous ses ordres, chacun à un poste précis, cinq femmes et moi, j'avais 43 ans, mes collègues entre 35 et 52 ans. On travaillait, plutôt consciencieusement, dans une bonne ambiance. On s'entendait bien, c'était déjà beaucoup.
Son arrivée a tout changé.
Il se trouve que c'est moi qui l'ait accueillie. Il était deux heures moins le quart de l'après-midi, les filles n'étaient pas encore rentrées de la pause déjeuner, moi j'avais fait le choix en accord avec ma patronne de ne pas faire de pause déjeuner, mais de finir une heure plus tôt. Je faisais des concerts de guitare depuis plusieurs années, et l'après-midi, je répétais deux trois heures après être rentré chez moi.
Je me souviens, j'étais à l'entrée dans le petit local qu'on s'était aménagé pour nos pauses café. J'ai entendu des talons taper sur le sol, dans le silence, ça s'entendait nettement. Je me suis retourné. Elle était là. Elle ne m'avait pas encore vu parce que j'étais excentré par rapport à elle, et elle regardait plutôt le local, la partie commune et les bureaux autour...
Dès la première seconde, elle a nettement tranché avec mes collègues. C'est sans doute ma queue qui a durci en quelques secondes qui me l'a le mieux dit.
Il y a en toute femme le désir d'être et de se faire jolie, de préserver sa féminité le plus tard possible. Mes collègues fonctionnaient comme cela, et elles étaient attirantes. J'avais d'ailleurs eu une liaison de plusieurs mois avec Enora, une petite blonde au corps particulièrement bien dessiné, qui était resté mon fantasme longtemps après qu'on se soit séparés. Elle était fine mais avec des formes bien marquées, un visage délicat, et une innocence sur le visage et dans les yeux qui n'aurait pas laissé penser qu'elle puisse à ce point aimer le sexe, sous toutes ses formes et aussi fréquemment.
La femme qui se tenait dans l'entrée avait une quarantaine d'années. Elle était brune, avec des cheveux mi-longs. Très grande, et plutôt fine, sauf pour des formes bien marquées, son corps tout en contraste, elle avait des talons aiguille, en l'occurrence ceux de cuissardes d'un cuir luisant, soigneusement verni et immaculé, qui gainaient ses jambes jusque haut. Elle portait un tailleur tout ce qu'il y a de plus classique, le genre de tailleur que mes collègues auraient très bien pu porter, jupe et veste couleur bordeaux. La différence tenait au fait que la jupe était fendue haut, laissant voir, quand elle bougeait que le nylon qui gainait sa jambe et apparaissait au-delà de sa cuissarde n'était pas celui d'un collant, mais plutôt d'un bas, dont la jarretière élastiquée laissait la place à de la chair nue...Rien que cela suffisait à la faire ultra désirable. Il y avait en elle un désir de séduction...Ou alors une féminité très nettement marquée...On pouvait trancher en examinant son regard qui disait clairement qu'elle aimait être désirée, et tout faire pour attirer l'attention et susciter ce désir...
Ce qui aurait du m'interpeller, mais ça n'a pas été le cas, c'est seulement plus tard, une fois que le mal a été fait que je suis revenu en arrière, et que j'ai vu, sous un autre angle, ce qu'elle avait fait et dit, c'est qu'elle a perçu ma présence, sur sa gauche, mais elle n'a pas été spontanée. Elle s'est figée et c'est seulement au bout d'un moment qu'elle s'est tournée vers moi. Le sourire qu'elle a fait d'ailleurs, même s'il était beau, n'était pas non plus spontané. Elle m'a dit :
—Bonjour, je m'appelle Estelle C... J'ai été contactée hier par Pole Emploi pour un remplacement de 6 mois. Je viens me présenter.
Elle a avancé de quelques pas dans la pièce, sans cependant franchir totalement la distance qui nous séparait. Ma première impression n'a pas été démentie par une seconde vision, cette fois plus de trois quarts, mais de face. Elle avait un corps bien dessiné, et elle était extrêmement attirante. Attirance dont elle était parfaitement consciente. Mille fantasmes se sont clairement dessinés dans ma tête.
—Notre chef ne va pas tarder à arriver...Je m'appelle Ernest B... je suis ici depuis douze ans, en charge du rapport avec les collectivités.
Je me suis rendu compte, en disant cela, qu'il n'y avait rien de glorieux dans cette fonction, et que penser cela, c'était souhaiter se présenter sous son meilleur jour dans une attitude de séduction ridicule. Elle n'était même pas arrivée et ne resterait peut-être pas que déjà je voulais la séduire.
Quelque chose est passé dans son regard, que je n'aurais su interpréter.
Nous n'avons pas eu le temps de discuter plus longuement. Notre supérieur hiérarchique revenait. Je l'ai interpellée.
—Sylvie, voici Estelle C..., envoyée par Pôle Emploi... pour le poste vacant.
Les deux femmes se sont serré la main et toisé un instant, comme le font souvent les femmes. Puis elles ont disparu de mon champ de vision.
C'est une demi-heure plus tard, toute l'équipe était revenue et s'était remise au travail, qu'on a entendu la voix de Sylvie.
—Vous pouvez tous venir s'il vous plait ?
Nous nous sommes tous retrouvés dans la salle commune.
—Je vous présente Estelle C...Elle va remplacer Karine pendant son absence....Elle est bardée de diplômes, elle a même un doctorat en droit public, mais elle n'a jamais travaillé aux impôts. Je souhaiterais que l'un d'entre vous la prenne avec lui pour l'initier aux tâches spécifiques que nous accomplissons...
C'était une demande, et elle n'a pas eu de réponse immédiate. Personne ne veut avoir de stagiaire avec lui, on préfère être seul.
Je me demanderai encore longtemps ce qui m'a décidé à accepter. J'avais toujours été plutôt volontaire sur ce que personne n'a envie de faire et une fois encore, j'ai simplement dit :
—Je la prends avec moi...
Peut-être aussi que, j'étais attiré par elle, et que j'avais envie de voir s'il pouvait y avoir quelque chose entre nous. Ces derniers temps, j'avais essentiellement des relations avec des prostituées. C'était le type de rapport qui, malgré tout, me satisfaisait, parce que les choses étaient claires, du sexe et pas d'affection contre de l'argent, mais je me disais que je pouvais espérer mieux. Je n'étais pas spécialement moche, et qui plus est, je faisais pas mal de sport, et j'avais un corps plutôt bien bâti. C'était toujours un atout.
Mes collègues m'ont jeté un regard dans lequel la gratitude se lisait clairement.
—Bon, hé bien, on va commencer tout de suite...
Nous nous sommes éparpillés, la dénommée Estelle me suivant. J'ai senti, près de moi, l'épaisseur de son corps, sa chaleur, et l'odeur de son parfum, intense et sucré. Mon érection s'était atténuée, elle est réapparue de plus belle.
Je me suis calé derrière mon bureau, devant l'ordinateur. Elle est venue spontanément, sans que je lui suggère rien, prenant le fauteuil visiteur, se poser près de moi. L'avoir très près n'a rien fait pour diminuer mon trouble. Elle a machinalement croisé ses jambes, la fente dans le tissu s'ouvrant et dévoilant la cuisse gainée de nylon, la jarretière et sa chair nue. Je me suis demandé si elle portait un slip en dessous, ou si son sexe était nu...J'avais une idée précise de la question, mais je me trompais peut-être...J'avais une amie à moi qui aimait se balader sans culotte sous ses jupes et ses robes parce que, selon elle, ça lui donnait un sentiment de liberté, et ça lui procurait des sensations...Elle mettait rarement de culotte, sauf quand la situation l'exigeait vraiment,. L'hiver c'était collant sans culotte, et je me souvenais d'une après-midi que nous avions passé ensemble, elle et deux autres personnes. Installée face à moi, elle s'était agitée, trémoussée, et la vision inévitable, de son sexe, nu sous le nylon, fente ouverte dont dépassait un bout de lèvre m'avait troublé au possible. A un moment, elle avait pris conscience de mon regard sur elle, et elle avait souri. J'avais toujours regretté par la suite de n'avoir pas pris d'initiative à ce moment, de m'être levé, d'avoir été vers elle et de l'avoir entrainée dans un coin de la vaste maison de nos amis. Elle n'aurait pas dit non, j'en étais sûr.
Devais-je voir la ravissante brune dans la même perspective ? Nous étions ici pour travailler, et rien d'autre...Je ne voulais pas céder à certaines envies...Ce n'était pas une bonne idée...Je préférais ne pas m'engager sur certains chemins, alors même que je ne la connaissais pas.
Je pensais n'y passer qu'une heure ou deux...Il y avait au final tellement à lui dire qu'à six heures du soir, quand ma supérieure a passé la tête et m'a dit :
—Tu fermeras tout en partant...Bonne soirée à vous deux...
J'avais l'impression d'avoir seulement effleuré le sujet. Je lui avais montré nos logiciels, et les taches qu'elle devrait effectuer pour remplacer Karine ...Mais un sujet en entrainait un autre...
On a continué encore une demi-heure, avant qu'elle ne pousse un petit soupir et ne me dise :
—J'en peux plus ! Je ne pourrai pas absorber une donnée supplémentaire...J'ai vu qu'il y avait un distributeur dans l'entrée..Je te paye un café ?
Sans attendre ma réponse, elle s'est levée et est partie en direction de l'entrée.
—Avec du lait, j'ai dit.
Elle est revenue avec deux gobelets, en a posé un devant moi, et s'est rassise.
—Je crois que tu mérites une récompense autre que ce gobelet de café.
Je l'ai regardée, un rien surpris. Son visage disait clairement qu'on était passé à autre chose. Sans hésitation, d'un geste sûr, elle a tendu la main vers mon pantalon et l'a posée sur ma cuisse. J'ai bloqué son geste.
—Tu te méprends...Je n'attends absolument rien de toi, j'ai fait ce que j'estimais devoir faire, et c'est en toute gratuité.
Elle a souri.
—Je n'estime pas avoir une dette à payer. Simplement, j'ai envie de cette queue qui a plus ou moins tendu ton pantalon pendant six heures. Je plais à tous les hommes, mais si je t'accorde mes faveurs à toi plutôt qu'à quelqu'un d'autre, c'est parce que je te sais gré d'avoir eu envie de moi d'une manière discrète.
Le temps qu'elle parle et qu'elle fasse glisser sa main de ma cuisse à mon bas-ventre, ma queue, assoupie, avait largement eu le temps de retrouver toute sa vigueur...Elle m'a massé à travers le pantalon, d'une main douce et indéniablement très habile, qui se déplaçait sur moi plus vite que je ne pouvais le voir. Les hommes, elle avait du en branler des centaines, avant moi. Elle m'a mis à nu et elle a eu un petit sourire. J'étais très long et très dur. J'avais une belle queue, je le savais, et elle n'avait sans doute pas imaginé que, sans excès, je puisse avoir été aussi bien doté par la nature. Elle a passé sa langue sur ses lèvres.
-Hmmm, dis donc, elle est vraiment belle ta queue...Il me tarde de la sentir dans ma chatte...Qu'elle me remplisse bien, et qu'elle me caresse à l'intérieur...Mais on ne va pas aller trop vite en besogne...
Elle a encerclé ma queue de sa main, et elle s'est mise à me m*******r doucement. Bien des filles m'avaient déjà masturbé, ma sexualité avait démarré comme ça, mais sans doute qu'aucune n'avait été aussi habile qu'elle...Sa main ne faisait qu'un avec ma queue, l'accompagnait et ne la lâchait pas, passant d'un rythme à l'autre au moment où j'allais jouir...Je crois bien que je n'avais jamais été aussi long ni aussi épais, et du liquide pré-sécrétif coulait d'abondance de mon méat. C'était une caresse exquise, et j'ai passé un point où je devais vraiment me retenir pour ne pas jouir. Elle m'a masturbé avec plus de vigueur...J'ai senti une brulure naitre dans mon ventre, puis se propager très rapidement dans mon corps, m'emportant...Mon sperme a jailli en traits copieux et crémeux qui se sont éparpillés. Elle a eu un petit sourire triomphal.
La suite m'a quand même surprise...Elle a basculé en arrière dans le fauteuil, retroussant sa jupe, dévoilant le haut de ses jambes et répondant à la question que je m'étais posée. Dessous, elle avait une simple petite culotte en coton blanche, qui collait à son pubis et s'enfonçait dans sa raie. Une très large tache d'humidité s'élargissait au niveau de son sexe, faisant le tissu transparent sur une zone cependant plus étroite. Je pouvais voir l'ouverture de son sexe, et un bout de lèvre replié...Elle a posé ses doigts sur le tissu et elle s'est mise à se m*******r, se frottant avec une belle énergie...Soit elle jouait la comédie, soit elle était vraiment très excitée...Le premier o*****e est venu très vite, son regard se révulsant, un long gémissement laissant la place à un petit cri...Elle a continué de se caresser, comme si ce premier o*****e ne suffisait pas, les suivants semblant plus puissants, créant des spasmes plus violents dans son corps, et la faisant crier de plus en plus fort, avec un manque de discrétion qui m'a fait penser que les bureaux étaient heureusement vides, mais que si ça avait été le cas en pleine journée, les choses auraient été différentes.. A chaque o*****e, la tache d'humidité s'élargissait. Au dernier o*****e, elle a libéré une quantité importante de liquide, qui à trempé quasi entièrement le tissu, mais est sorti au-delà des limites du slip, débordant et trempant sa chair. Je pouvais voir sa chatte en intégralité à travers le coton. De son ouverture sortait un gros paquet de lèvres tout gonflé, gorgé de sang, comme je n'en avais vu. Elle avait aussi un très gros c******s, assorti, qui dardait en haut des lèvres.
J'aurais voulu aller plus loin, mais elle a fait descendre sa robe, et s'est redressée, me faisant comprendre que les choses n'iraient pas plus loin, mais aussi que c'était elle la maîtresse du jeu.
Nous avons quitté les lieux. Elle a à peine murmuré un 'Bonsoir, à demain', je ne l'intéressais plus, avant de gagner sa voiture une grosse cylindrée, une 3008, qui avait certes quelques années, mais qu'elle puisse avoir une aussi grosse voiture m'a surpris. Cela aurait du m'alerter, pourtant il n'en a rien été.
Je suis rentré chez moi la tête ailleurs. J'étais tellement excité que je bandais encore. La conséquence sans doute à des semaines d'abstinence, je n'avais pas eu de rapport avec une fille depuis longtemps, mais sans doute aussi au fait qu'elle était vraiment désirable... Se passerait-il quelque chose au-delà de cette journée ? Avec les filles, on ne savait jamais.
Allongé sur mon lit, j'ai repensé à ce qui s'était passé entre nous, à son corps, à ce que j'avais envie qu'on fasse ensemble...Je me suis masturbé, la queue encore raide, et qui n'a vraiment dégonflé qu'après que j'aie joui deux fois encore...
Le matin, j'arrivais toujours tôt, parmi les premiers...Je n'ai pas été vraiment surpris de la trouver là, déjà installée dans le local de la machine à café...Elle venait de s'en servir un, qu'elle buvait, le regard dans le vague...Quand elle m'a entendu, elle a fait comme la veille...Alors même qu'elle ne pouvait pas ignorer que j'étais là, elle ne s'est retournée qu'au dernier moment.
Avec une tenue différente, elle était aussi resplendissante, et surtout désirable que la veille. Elle avait troqué son tailleur pour une robe jaune citron, courte et collante, qui mettait en valeur son corps. Ses jambes étaient gainées de nylon, mais cette fois il s'agissait d'un collant, la robe étant tellement courte que les bas auraient été une faute de goût, et ses bottes hautes, à talon aiguille, mais qui ne montaient pas autant que ses cuissardes de la veille, étaient assorties à sa robe. J'ai senti mon sexe se durcir. Difficile de ne pas la désirer. Elle m'a souri, alors que je me préparais un café.
—Tiens, regarde...Ca te fera passer une bonne journée...
Je me suis tourné. Elle avait soulevé sa robe. Dessous, elle avait cette fois un collant, gris, qui laissait parfaitement voir sa chair. Au niveau du sexe, contrairement à ce qui était parfois le cas, il n'y avait pas d'empiècement, et elle offrait tout de sa nudité, sublimée par le nylon. Mieux que dans la transparence du slip, je pouvais voir pour la première fois ses cuisses pleines, le renflement de son pubis qui descendait vers son sexe, et celui-ci, fente qui laissait sortir un gros paquet de chair, je crois bien que je n'avais jamais vu un sexe comme le sien, aux lèvres aussi épaisses et aussi longues, sorties d'elles et pas rentrées, et susceptibles de se gorger de sang ainsi, de s'épaissir et de s'allonger sous l'effet de l'excitation. C'était vraiment impressionnant, tout comme l'était cette s*****e en haut des lèvres, celui de la peau recouvrant son c******s, qui même au repos était d'une taille impressionnante. Mais son sexe était-il jamais vraiment au repos ? J'ai eu l'impression, qui s'est renforcée ensuite, qu'elle vivait toujours dans une sorte d'excitation permanente.
Elle a tourné sur elle-même. Sa jupe la veille, mais aussi sa robe aujourd'hui rendaient grâce à son c*l, charnu mais qui semblait ferme, haut perché et cambré, coupé en deux par une fente profonde. Elle m'a laissé le temps de l'admirer avant de se retourner. Elle a glissé sa main sous le nylon du collant, elle s'y est faufilée jusqu'à ce qu'elle trouve son sexe, fourre deux doigts dans et l'ouvre, me laissant voir un intérieur tout rose qui m'a fasciné. Elle m'a laissé le temps de bien regarder, pour que l'image soit en moi, y traine, m'imprègne, me hante. Tous les hommes sont obsédés par les sexes de femme, je ne faisais pas exception à la règle.
Elle a remonté ses doigts et le collant a repris sa place d'origine, serrant étroitement son corps. J'aurais aimé être cette pièce de nylon l'entourant étroitement, collée à ses jambes, à ses fesses, à son sexe, plaquée ainsi à elle toute la journée.
Quoi qu'on ait pu désirer l'u et l'autre, il ne s'est rien passé, car déjà le reste du personnel arrivait. Elle est venue me retrouver une quinzaine de minutes plus tard et j'ai repris mon travail de formation. J'aurais voulu le faire durer le plus longtemps possible. J'étais malheureusement conscient du fait qu'il me faudrait la laisser partir quand elle serait totalement autonome, et que notre proximité ne serait plus qu'un lointain souvenir.
Sur le coup de midi, toute l'équipe se séparait pour aller manger. Notre supérieure et deux collègues se rendaient au restaurant administratif plus loin, deux de mes collègues qui habitaient à proximité rentraient chez elles. J'arrivais souvent avec ma gamelle, et je montais manger sur la terrasse. J'aimais regarder la ville vivre.
Ce jour-là, pourtant rien ne s'est passé comme cela. Le silence avait rempli les locaux de leur épaisseur quand elle a posé sa main sur mon pantalon. Ca devenait une habitude. Et pourtant ça a été différent, même si son premier geste, celui de mettre ma queue à nu, a été identique à celui de la veille...Elle m'a caressé doucement.
Je pensais qu'elle allait me m*******r comme la veille, mais elle m'a soufflé :
—J'ai envie que tu me remplisses avec ta queue et que tu frottes mes muqueuses longtemps...
Le reste a été une suite de gestes. Elle s'est redressée, a roulé sa robe à sa taille, et descendu le collant au niveau de ses genoux. Je crois bien que j'avais rarement été aussi excité de f***********r avec une fille...Ma queue suintait, laissant couler un liquide pré-sécrétif abondant...
Elle s'est placée près de moi, et a extirpé de son soutien-gorge l'emballage métallique d'un préservatif, qu'elle a déchiré, Elle en a tiré une rondelle de plastique rose et grasse, qu'elle a entrepris de faire coulisser sur ma queue, après l'avoir posée sur mon g***d. Son geste, précis et efficace, disait clairement que ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ce genre de choses. Je me suis retrouvé encapoté jusqu'à la racine de ma queue.
Elle m'a enjambé, et est venue au dessus de moi. Elle est descendue, jusqu'à ce que les lèvres de son sexe soient à quelques centimètres de mon g***d. On regardait tous les deux. En quelques minutes, ses lèvres s'étaient métamorphosées, étirées loin d'elle, gorgées de sang, et s'allongeant encore, impressionnantes...