Je m'assis, toujours sur les genoux de Case, et me blottis contre son torse fort. Ses bras étaient plus gros que ceux de tous les autres hommes, sa poitrine plus large et sa taille plus épaisse. Je rêvais depuis si longtemps de ce qu'il pourrait emporter sous ce jean grossier et délavé qu'il portait toujours. Allais-je enfin le découvrir ?
"Assez d'en parler", dis-je, mes mots étant plus respirants et plus sensuels que je ne l'avais prévu. « Je suis prêt pour Case – et pour vous tous aussi. Maintenant, tu vas me b****r ou pas ?
Le sourcil de Case se releva. « Toujours insolent, je vois. Retournez-vous.
"Non!" Même si mon c*l n'était pas trop douloureux pour continuer à recevoir une fessée, j'étais bien trop mouillé pour attendre encore une minute. Et s’il prenait aussi le « non » comme
