Paris, mai 2017
C'était lundi Erik arriva au bureau, un grand café l'attendait sur le bureau, sa secrétaire Claire était allée lui chercher.
- C'est gentil dit Erik à sa secrétaire j'en avais besoin le week-end a été chargé.
Il réfléchit et se dit que finalement sa première pensée en se réveillant fut de penser instinctivement à Joanna, il se disait qu'elle commençait à prendre une grande place dans sa vie.
Erik se mit au travail, il ajouta quelques touches aux plan de la tour WINSTON, les travaux avaient déjà commencés il manquait juste à peaufiner quelque légers détails.
Puis il se rendit sur place pour vérifier si les plans étaient cohérents par rapport à la réalité. En fait il découvrit que ses plans étaient nickel et que le rendu était impeccable.
La journée passa, puis il partit du bureau et alla chercher des fleurs pour Joanna. Il choisit des roses rouges classiques dont il en prit une douzaine.
Pendant ce temps Joanna et Christine prenaient le thé tout en discutant.
Joanna racontait à son amie tout ce qu'il s'était passé dans le week-end, elle était tout ouïe.
Elle souriaient l'une et l'autre tout en buvant leur breuvage quant tout à coup Joanna sentit des fourmillement et des engourdissements dans ces muscles, elle ne dit rien tout de suite mais quand les douleurs commencèrent à empirer, elle se leva et dit à son amie :
- Je ne me sens pas bien je vais me reposer.
Christine parla aussitôt :
- je t'accompagne tu n'as pas l'air bien.
Puis elle mis les bras de Joanna autour de son cou et monta les escaliers jusqu'à la chambre. A ce moment là son amie se dit qu'elle était près du but.
On frappa à la porte, c'était Erik, Christine ouvra l'embrassa sur les joues et l'invita à entrer, tout en se disant qu'il arrivait au mauvais moment, mince il va tout faire capoter se dit-elle.
Elle vit le bouquet de fleurs et dit :
- Je suppose que c'est pour Joanna, donne le moi je vais le mettre dans un vase.
- Ou est elle fit Erik ?
- Dans sa chambre elle ne se sentait pas bien.
Erik à ce moment là s'inquiéta mais ne se doutait pas à ce moment là que ce serait plus grave qu'il n'y paraissait.
Erik monta les escaliers quatre à quatre et entra dans la chambre de Joanna.
- Comment vas tu Joanna ?
- Pas très bien dit elle j'ai les muscles tout engourdis et j'ai du mal à respirer maintenant.
- Ce n'est pas normal fit Erik !
- Je vais dire à Christine qu'elle peut s'en aller et ensuite je remonte te voir.
- Ok dit Joanna.
Et à Christine lui expliqua qu'il était temps qu'elle s'en aille qu'il la libérait et qu'il allait s'occuper de Joanna.
Erik remonta dans la chambre, il demanda à Joanna ce qu'elle avait ingurgité dans la journée.
- J'ai mangé un kebab avec du thé et avec Christine j'ai bu du thé à nouveau.
- J'appelle un médecin dit Erik. Il composa le numéro, son ami Fred répondit et lui dit bien sûr je termine une consultation ou deux puis j'arrive.
Fred arriva au bout de 30 mn car Erik lui avait raconté la situation et du coup il pensait qu'il fallait faire vite que ce n'était pas bon signe.
Il ausculta Joanna et affirma à Erik,
- Je pense qu'elle a été empoisonnée rétorqua t'il. Pour savoir quel antidote lui donner il faut que je fasse une prise de sang pour découvrir quel poison elle a ingéré.
- Empoisonnée dit Erik ? Mais qui a bien pu faire cela ? Il expliqua à Fred ce que Joanna avait avalé et où !
Fred sortit une aiguille et chercha une veine puis inséra son aiguille et récolta du sang dans plusieurs tubes.
- Comme cela nous découvrirons quel est le poison exposa Fred.
Puis il partit en disant :
- Je vous tiens au courant
- Erik dit d'accord je ne vous raccompagne pas vous connaissez le chemin, je reste avec elle.
- Oui pas de problèmes je comprends dit Fred.
Fred lui avait dit que le temps était contre eux, il lui avait expliqué qu'il avait seulement 1 à 12 h pour découvrir le poison. Ces mots résonnèrent dans la tête d'Erik inlassablement.
Joanna était maintenant en état d'hypothermie, le poison continuait à la tuer à petit feux. Il décida de lui faire prendre un bain chaud pour la réchauffer.
Il la déshabilla lentement pour ne pas lui faire mal.
Il la prit dans ses bras la porta puis la déposa délicatement dans la baignoire.
Il attendit avec elle tout en lui demanda toutes les 5 mn comment elle se sentait, il s'inquiétait un peu.
- Je ne suis pas prête à faire le marathon mais je suis sûre que cela ne va pas tarder dit elle ! pour essayer de le faire sourire, elle y réussit provisoirement.
- Bon sérieusement, toujours pareil dit elle ! puis elle sortit de la baignoire.
Erik rapporta du thé à Joanna celui que Christine et elle avait préparé, il se rendrait compte après coup que ce n'était pas une si bonne idée !
Elle en but une gorgée, mais 30 mn après elle se sentit plus mal qu'avant.
Erik comprit tout de suite que cela venait directement du thé et il décida d'aller amener le thé à Fred pour qu'il avance vite dans ses recherches car le temps passait vite.
Il demanda à Joanna si elle pouvait rester seule 30 mn, et partit.
Arrivé au laboratoire Erik donna le thé à Fred qui commença à faire des analyses et au bout d'un temps qui paru interminable (Erik était repartit chez Joanna),
Il téléphona à Erik et lui expliqua que c'était de l'aconit napel et qu'il fallait l'antidote qu'il n'avait pas et qu'il devait se procurer au centre anti poison de Bordeaux.
Erik monta dans la BMW à nouveau pour aller au centre anti poison mais eu le temps d'aller frapper à la porte des voisins (David et Rebecca ) pour leur demander de jouer les garde malades, car il ne voulait pas que Joanna reste seule à nouveau.
Tandis que Erik partait au centre anti poison car le temps était compté, les voisins entrèrent et allèrent tout droit au 1er étage dans la chambre de Joanna.
Arrivé au centre anti poison une personne l'attendait de pied ferme avec la fiole contenant l'antidote aussi il ne perdit pas de temps et repartit aussitôt.
Il conduisit très vite jusqu'à la maison de Joanna, tout en espérant qu'aucun flic ne l'arrêterait, ce n'était pas le moment !
La route se passa sans encombres, il arriva à son domicile environ 1 h après, monta très vite l'escalier et lui fit avaler l'antidote illico presto puis Joanna se reposa en attendant que l'antidote fasse son effet. Erik la laissa se reposer et redescendit en donnant congé aux voisins.
Au bout d'un temps qui lui parut insoutenable, Joanna apparue dans l'escalier encore faible, il monta vite pour la soutenir et l'aida à descendre. Ils s'assirent tout deux dans le canapé en cuir puis Erik prit la parole :
- Bon maintenant il faut qu'on discute ! Tu te sens de répondre à quelques questions ?
- Oui répondit Joanna.
- Qui a bien pu t'empoisonner dit Erik, quelle personne a préparé le thé, c'est toi ou Christine réfléchis !
- Je ne vois qu'une seule personne dit Joanna : Christine même si je ne vois pas pourquoi. Il n'y a qu'elle avec qui j'ai bu un thé, elle a du mettre le poison quand j'ai eu le dos tourné. J'en suis navrée, ma meilleure amie je n'en crois pas mes oreilles rétorqua Joanna.
Erik dit :
- Il n'y a plus qu'a aller le dire à la police.
- On ira demain dit Joanna.
Ils se mirent debout pour fermer la fenêtre et remarquèrent une voiture noire garée au début de la rue.
Erik dit :
- Je les connais ce sont les gens de la DGSI, ils doivent attendre que tu partes pour mettre des micros et des caméras partout chez toi, à priori ils cherchent quelque chose.
- Réfléchis Joanna qu'est ce qu'ils peuvent te vouloir ?
- Mes tableaux ne valent rien, je ne vois qu'une chose : les joyaux que nous avons trouvés !
- Je ne bougerais pas dit Joanna.
- Est ce que tu peux aller me faire des courses Erik ?
- Oui dit il j'y vais.
Il alla faire des courses à la supérette du coin mais se dépêcha pour ne pas laisser Joanna toute seule.
Il revint et rangèrent les courses, puis parlèrent de l'empoisonnement.
- Je ne comprends pas pourquoi Christine à fait cela.
- J'en ai aucune idée dit Erik.
- Elle doit être au travail, je lui aurais bien posé quelques questions avant d'aller voir la police.
Le téléphone sonna c'était Christine cela tombait bien.
- Tu passes me voir fit Joanna j'ai plein de choses à te dire.
Elle raccroche et lui dit qu'elle passe tout de suite.
1 h après Christine frappa à la porte.
- Entre dit Joanna assieds toi j'ai des questions à te poser !
- Dis moi la vérité Christine pourquoi as tu tenté de m'empoisonner quel est ton mobile ?
Christine devint rouge comme une tomate.
- Heu... dit elle vous vous en êtes rendus compte comment ?
- Elle lui expliqua qu'à force de chercher avec Erik ils en avaient déduit que cela ne pouvait être que toi.
- Alors dis moi rétorqua Joanna.
- Heu... et bien c'est que je suis jalouse de toi, de ton boulot et surtout d'Erik !
- D'Erik dit Joanna éberluée ?
- Oui il est beau et il a une belle situation, Erik rougit à son tour, je voulais tout simplement le récupérer, moi qui suis tout le temps célibataire et seule je voulais absolument quelqu'un et je l'ai trouvé lui c'est l'homme idéal !
Joanna parla a son tour :
- Et tu avais l'intention de balayer 15 ans de complicité avec ta meilleure amie ?
- Oui il vaut le coup crois moi je te l'ai dit c'est l'homme idéal !
- Bon tu sais que maintenant on peut plus cacher ce que tu as fais il va falloir en parler à la police.
Elle fit mine de s'en aller mais Erik la retint.
- J'appelle la police dit Joanna ne bouge pas dit elle à Christine, cela ne sert à rien que tu t'en ailles !
Puis elle téléphona à la police et expliqua la situation en disant qu'ils retenaient la coupable.
Ils mirent les sirènes et arrivèrent dans la demi heure, ils leur donnèrent les preuves en expliquant qu'elle avait voulu tuer Joanna et qu'elle avait presque réussi.
La police enregistra les aveux de la coupable et lui mirent les menottes, puis ils l'emmenèrent avec eux.
Joanna et Erik décidèrent ensuite de dîner d'une quiche et d'une salade, puis regardèrent un bon film policier sur dvd.
Après Erik décida de dormir chez Joanna et elle n'eut pas le cœur de lui refuser, surtout qu'elle se sentirait bien mieux si elle avait un homme a la maison. Ils se couchèrent et dormirent d'un profond sommeil.
David et Rebecca quant à eux fomentait dans leur coin, ils avaient vu les policiers emmener Christine et à cet instant personne ne savait que c'était eux qui avaient eu l'idée d'empoisonner Joanna, Christine n'était que leur sous fifre.
N'empêche qu'ils n'en menaient pas large car ils avaient peur que Christine vende le morceau et parlent de leur implication dans l'empoisonnement. Mais il ne savait pas que Christine tenait le coup et disait qu'elle était responsable d'en avoir eu l'idée, ils ne risquaient donc rien. Et Joanna ne savait rien aussi ils allaient pouvoir trouver une idée pour l'éliminer.
La voiture noire était toujours dehors à surveiller les allées et venues. Mais la mafia décida d'agir le lendemain matin et faire une razzia chez Joanna pour y trouver les joyaux qu'ils cherchaient.
Ils débarquèrent tout à coup à la maison alors que Joanna et Erik venaient que de se lever, ils essayèrent de crocheter la serrure et le verrou et Erik méfiant dit à Joanna.
- Sois prête à partir, prend le minimum de vêtements, tes papiers et ton argent.
- Ok dit Joanna puis elle commença à emballer des vêtements dans un sac de sport et prit le strict nécessaire plus ses papiers et argent, plus les œuvres d'art qu'ils avaient trouvées.
Quand la DGSI finit de crocheter la serrure et le verrou ils entrèrent, seulement Erik et Joanna avaient pris le soin de se faire la malle.
Ils passèrent par un passage secret dans la maison qui menait au sous sol et de là ils purent partir avec la voiture restée derrière.
Ils démarrèrent en trombe et partirent.
Dans la voiture Erik dit :
- Nous avons bien fait de partir c'était la seule solution surtout si tu veux conserver les joyaux de tes grands parents. Ils avaient quand même oubliés de nous dire que ces joyaux étaient fichés et appartenaient à la mafia et que la DGSI était en quête de les retrouver.
- C'est certain dit Joanna qu'allons nous faire maintenant ?
- Tu as de la famille éloignée chez qui on pourrait aller déclara Erik.
- Joanna lui dit que non qu'Ils devraient passer la nuit à l'hôtel.
- Bon je vais te demander quelque chose que tu ne va pas comprendre mais maintenant il faut jeter carte bleue et portable dans une benne à ordure, en prenant soin de couper la carte bleue pour que personne ne s'en serve, arrête toi là il y a un container. Comme cela ils ne pourront pas tracer nos déplacements.
Joanna lui demanda :
- Comment tu sais comment leur échapper ?
- J'avais oublié de te mentionner quelque chose d'important que je ne te dirai qu'au moment opportun. En fait je suis un ancien agent des forces spéciales, j'aurai pu leur tenir tête à la maison mais j'ai préféré la fuite car de toute façon le lendemain il y aurait eu d'autres agents à notre recherche.
- Ok fit Joanna alors tu m'a menti pour me protéger ?
- Oui dit Erik je ne pouvais faire autrement, maintenant tu sais que je vais pouvoir continuer à te protéger toi et les œuvres d'art.
- Ce qu'il faudrait dit Erik c'est pouvoir les revendre, as tu pensé à prendre le numéro de téléphone du collectionneur que Marie t'avait donné ?
- Oui confia Joanna à Erik. Mais a priori il habite en Angleterre à Londres, il nous faudra traverser la manche !
- Ou alors on peut le faire venir jusqu'à nous exposa Erik !
- Quelle bonne idée s'exclama Joanna.
Erik expliqua à Joanna qu'il fallait qu'il trouve une personne capable de faire des faux papiers et qu'ils achètent un portable prépayé pour ne pas être tracés.
Ils continuèrent leur chemin et s'arrête à un magasin pour s'acheter casquette et lunettes pour ne pas être repérés.
Après ils trouvèrent une boutique de portable à une centaine de kilomètres de Pessac où ils achetèrent 2 portables prépayés et enregistrèrent leur numéros respectifs, puis Erik passa un ou deux coup de fils.
Dans l'un il demanda à Serge un ancien des forces spéciales de trouver un homme qui pourrait leur fabriquer des faux papiers, dans l'autre il demanda à Laurent un patron de bar s'ils pouvaient débarquer pour dîner.
Serge leur expliqua comment venir chez lui retirer les faux papiers leur expliquant qu'il faudrait bien 24 h pour les fabriquer, il leur expliqua donc qu'ils ne pouvaient débarquer que le lendemain matin.
Ils continuèrent leur route et s'arrêtèrent chez Laurent un ami d'Erik par contre Joanna ne comprit rien car ils rentrèrent dans un lavomatique, Erik s'adossa à une machine poussa le bouton, regarda derrière lui si personne ne le regardait et poussa la fausse machine pour se retrouver dans un bar clandestin ou Laurent son ami l'attendait.
Ils dînèrent tranquillement d'une potée auvergnate accompagné d'un riesling, mais tous les deux se regardèrent et avaient l'air inquiets.
C'est Joanna qui prit la parole :
- Tu crois qu'on ne risque plus rien ?
- Je ne veux pas te faire de fausses joies s'exclama Erik, nous ne somme pas à l'abri de représailles la DGSI à des ressources !
- Cela veut dire que nous continuons à nous échapper ?
- Oui répondit Erik !
- Quelle est la prochaine étape ?
- Trouver de quoi dormir il y a un hôtel à deux pas d'ici.
Ils réglèrent l'addition et partirent aussitôt.
- Erik s'arrêta dans le recoin d'un immeuble descendit de la voiture et invita Joanna à faire de même.
- Tu as un lacet de chaussure ?
- Tiens voilà !
Puis Erik confectionna un élément pour crocheter le verrou de porte d'une autre voiture, il passa le lacet à l'entourage de fenêtre puis avec le bout qui était coulissant réussi à lever le verrou de porte, il était fort pratique que le propriétaire de la dite voiture ait laissé sa vitre entrouverte.
- Et voilà dit il une nouvelle voiture pour ne pas nous faire repérer dit il.
Puis ils mirent toutes leurs affaire dans la jaguar et partirent.
Ils arrivèrent à l'hôtel 3* en plein centre ville de PARIS, donnèrent l'argent prirent leur chambre et montèrent tout droit à l'étage chambre 403. Ils entrèrent et tombèrent dans une chambre de 25 m² environ avec un lit, un canapé, un bureau avec une chaise, un porte valise, et une salle de bain immense avec une douche à l'italienne.
- Et bien dit elle c'est grand on va se chercher dedans ! Puis elle offrit un large sourire à Erik.
Erik fut très content de ce beau sourire, en son for intérieur il ne s'inquiéta pas plus que cela, cela prouvait qu'elle était capable de gérer la pression, il en était très content.
Essayons le lit pour savoir s'il est confortable, Joanna s'affala sur le lit en faisant mine de se déshabiller, ce qu'elle fit très lentement pour le tenter.
- Ah enfin seuls s'exclama t'elle !
Erik avait déjà une lumière qui brillait dans ses yeux, il grimpa sur le lit puis s'allongea à côté de Joanna, l'embrassa et lui dit :
- Parfait la literie est correcte, mais il faut que je la teste un peu mieux !
Puis il reprit là ou il en était resté c'est à dire à embrasser Joanna de manière intense, puis la caressait tout doucement, il lui enleva peu à peu ses vêtements.
Il enleva lui aussi ses vêtements ensuite, Joanna lui caressa son torse imberbe si bien dessiné, puis ses tablettes de chocolat, (Il devait certainement s'entretenir pour avoir un corps pareil), l'intérieur de ses cuisses bien musclées, son s**e. Puis Erik en fit de même avec elle, il caressa très doucement sa poitrine, embrassa ses têtons, son corps tout entier, lécha son s**e avec envie, Joanna était brulante de désir, puis elle lui dit de but en blanc :
- Viens maintenant je n'en peux plus, je ne peux plus attendre !
- Vos désirs sont des ordres Miss JANSEN !
Il la souleva et la porta pour la mettre contre le mur car il avait envie de la prendre debout pour lui montrer qu'il était largement à la hauteur.
Leurs corps s'entremêlaient puis ondulaient avec désir, jusqu'à ce qu'ils arrivent à une extase accomplie, jouissant tous les deux en même temps dans des petits cris étouffés.
Puis éreintés se prirent mutuellement dans les bras et s'embrassèrent avidement.
- Tu est merveilleuse fit Erik !
- Et bien toi aussi tu est merveilleux, j'ai l'impression que nous ne faisons plus qu'un quand nous faisons l'amour.
- J'ai la même impression que toi !
Puis ils allèrent se doucher dans cette grande douche italienne, et prirent du savon et se savonnèrent l'un l'autre en omettant aucune des parties du corps, le désir monta encore plus intense que la fois précédente, Joanna s'accrocha ou elle pouvait et ils refirent l'amour avec une tentation brûlante.
- Bon ce serait bien qu'on prenne réellement une douche dit Joanna.
- Ce serait plus qu'utile Miss JANSEN, nous sommes d'accord ! Puis rirent à cet instant insouciants des évènements qui les poursuivaient.
- C'était une parenthèse très agréable marmonna Joanna, simplement ce serait très utile de dormir, car nous devons nous lever de bonne heure demain matin. D'ailleurs à ce propos je mets le réveil du portable à quelle heure ?
- A 6h30 le temps de prendre la douche et de s'habiller, puis d'aller déjeuner cela te va ?
- Ouf c'est tôt mais bon il faut que je m'y habitue.
- Disons que comme cela nous partirons aux environs de 8 h c'est parfait pour éviter le plus gros des bouchons !
Puis ils s'embrassèrent et se dirent bonne nuit, et ils s'endormirent paisiblement.