Chapitre 19

3734 Words
Mercredi 29 juin Mr BELAMI le collectionneur chez qui Joanna et Erik avait vendu les joyaux était chez lui en train de prendre son café, quand tout à coup la sonnette de la porte d'entrée sonna. Plusieurs hommes de la mafia le poussèrent et entrèrent chez lui il le mirent en joue avec un révolver lui intimant l'ordre de leur donner les joyaux qu'on vendus Melle JANSEN et Mr HAWKINS. Il leur dit que non il ne leur donnerait rien du tout que maintenant elles lui appartenaient. C'était sans compter sur la mafia qui du coup s'était pointée, comme prévu, et leur mirent un révolver sur la tempe. - Si vous me tuez vous ne saurez jamais ou ils sont déclara Mr BELAMI. La DGSI qui était dehors dans une voiture dirent par un talkie-walkie : - Tout le monde est prêt ? - Ils répondirent tous par un oui franc ! - Alors allons y ! Ils envoyèrent 2 hommes derrière au cas où il y en aurait un qui se ferait la malle. Ils agirent immédiatement et ouvrirent violemment la porte, et entrèrent, ils étaient 6 hommes au DGSI contre 3 hommes de la mafia, - Haut les mains tout le monde et comme ils s'y attendirent la mafia riposta en se mettant derrière le canapé. Tandis que Mr BELAMI se retrancha en haut de l'escalier. Les hommes du DGSI se retirèrent dans la cuisine et dirent tout haut : - Maintenant il est temps de poser vos revolver avant qu'il n'y ai un bain de sang. - Pas question risqua un des hommes de la mafia, puis il se rua vers la porte fenêtre de la salle à manger et sortit par derrière, or la DGSI était derrière ils le cueillirent donc et lui dirent de se mettre à terre les mains derrière le dos puis ils le menottèrent. Les 2 autres hommes de la mafia continuaient de tirer en direction du DGSI dans la cuisine puis au bout de 10 mn ils arrêtèrent quand ils comprirent que s'ils n'arrêtaient pas ils mourraient, ils dirent : - Attendez ! Attendez ! on se rend ! Puis ils se levèrent, la DGSI se rua vers eux et les menotta. Ca y est tout le monde était sous les verrous. Ils les amenèrent au siège du DGSI en France et les mirent tous dans des salles d'interrogation. L'agent COLSON commença à les cuisiner en leur disant qu'il voulait connaître le nom du patron de la mafia ici en France, celui qui donnait les ordres pour le trafic d'œuvres d'art & joyaux. Un des hommes du DGSI rentra dans la salle d'interrogation d'un homme de la mafia et dit : - Votre copain dans la salle d'interrogation d'à côté à mangé le morceau il nous a donné vos petits copains et vous. (Ils avaient décidés de marcher au bluff) - J'y crois pas dit l'homme c'est faux il n'a pas pu vous donner les noms ! - Si dis la DGSI ! il nous a donné 2 ou 3 noms y compris le votre, aussi maintenant dites nous la vérité en nous confirmant tous les noms, vous n'avez pas le choix, sinon vous risquez 20 ans de prison, alors que lui il a passé un marché avec nous il aura 10 ans de prison ! - Ok ok dit il vous je vous note tout ça, si je passe cet accord avec vous vous réduirai ma peine ! - Oui on vous accorde 10 ans de prison au lieu de 20 si vous nous filez le nom du patron et de tout ses acolytes et leur adresse. - Vous me donnez un stylo je vous note tout ça répondit l'homme de la mafia. Et il s'exécuta bêtement. La DGSI sortit de la pièce et demanda à un agent de les mettre tous les 3 en prison, puis donna l'ordre à un autre agent de prendre une vingtaine d'hommes et d'aller au siège de la mafia tous les mettre au trou. Ils partirent tous en voiture arrivèrent sans le gyrophare et l'opération se passa comme ils l'espéraient, ils mirent la totalité des hommes de la mafia responsables du trafic d'œuvres d'art & joyaux au trou. Les joyaux sont finalement récupérés par la DGSI et mis dans un musée à Paris là ou ils auraient du être depuis le début. L'agent COLSON téléphona à Joanna pour lui dire qu'ils avaient mis tous les hommes de la mafia qui l'avaient persécutée en prison. Joanna fit un ouf de soulagement. - Enfin dit elle on va pouvoir vivre tranquillement ! Elle dit la bonne nouvelle à Erik. - Ah, enfin ! On va pouvoir respirer et faire des pas sans avoir peur à chaque instant ! - Et Stéphanie demanda t'elle à l'agent COLSON ? - Et bien pour homicide volontaire elle risque 20 ans de prison ferme, puis il raccrocha. - Joanna était ravie elle n'avait plus rien à craindre. - On va surtout pouvoir se mettre au vert rétorqua Joanna, il faudrait que tu téléphones au notaire pour lui demander ou cela en est de la signature pour notre maison. - On déjeunes puis je l'appelle dit il. Ils mangèrent un menu composé d'une salade composée et d'un peu de fromage, puis Erik téléphona au notaire. Le notaire lui dit : - Les grands esprits se rencontrent j'allais vous appeler pour vous le dire, la signature est samedi 2 juillet car les propriétaires actuels travaillent tous les deux la semaine. Cela vous convient à 10h30 ? - Chouette cela nous satisfait tout à fait ! dit Erik tout de suite en regardant Joanna pour lui demander son approbation, ce qu'elle fit en hochant la tête. - Au revoir à Samedi dit le notaire. - Au revoir dit Erik. - Génial enfin cela arrive ! C'est bien on va pouvoir commencer à songer à déménager ! exposa Joanna. - Cela arrive un peu tard, mais il vaut mieux tard que jamais ! annonça Erik. Cet après midi là ils décidèrent de se la couler douce et se mirent une série : Arrow saison 4 en streaming épisodes 15 a 21, ils étaient fans de série mais n'avait pas l'occasion d'en regarder tout le temps, les histoires de justicier qui essayait de faire en sorte que la ville soit sauvée de ses malfrats, c'est quelque chose qui leur plait beaucoup. Après la fin de l'épisode 19 une héroïne de la série meure et Joanna est tellement sensible avec sa grossesse qu'elle pleura beaucoup, une fois quand elle est morte, et une fois quand on l'a enterrée ; du coup tous les héros veulent buter le grand méchant qui l'a tuée, c'est distrayant. Une fois qu'ils eurent terminés, ils préparèrent le dîner, des croques monsieur maison avec de la salade, et dînèrent tranquilles en discutant un petit peu des images qu'ils venaient de voir et un petit peu de leur vit actuellement, ils étaient fort content d'avoir la signature samedi qui arrivait. Comme cela ils pourront emménager samedi après midi et dimanche quand ils auront définitivement les clefs. Ils parlèrent aussi du mariage et eurent décidé de voir ou d'appeler la wedding-planner pour qu'elle leur dise ou elle en est. Après ils allèrent se coucher car il était tard.    Jeudi 30 juin Ils prirent le petit déjeuner café noir, céréales et jus d'orange. Ensuite ils se lavèrent les dents et s'habillèrent, Erik d'un pantalon en coton beige et d'un tee-shirt noir et Joanna d'un pantalon noir en viscose et d'un haut beige, ils n'avaient pas fait exprès mais ils s'étaient habillés l'un à l'inverse de l'autre. Erik dit à Joanna : - Ce matin je vais t'accompagner car maintenant que tu est enceinte je n'ai pas envie qu'il t'arrive quelque chose ! - Ok dit elle si cela te rassures ! Puis ils passèrent prendre Céline. Joanna se déplaçait toujours avec sa canne car elle avait encore du mal à marcher sans, aussi se déplacèrent ils lentement. Ils montèrent dans la SEAT d'Erik et firent le trajet de quelques kilomètres tranquillement. Arrivés à la boutique, ils sortirent de la voiture, et là tout a coup ils entendirent un coup de feu, Erik plongea devant Joanna pour la protéger, mais c'était trop tard, tandis que Céline se baissa instinctivement. Erik regarda d'où venaient les coups de feu qui avait été tirés depuis une voiture devant le parc d'en face, malheureusement pour l'homme de la mafia, il eu le temps de voir la voiture et de se rappeler du numéro de la plaque et du modèle du véhicule, et de la tête de l'homme. Après il se tourna vers Joanna qui était toujours à terre, il lui demanda : - Ca va Joanna, ça va ? Elle ne lui répondit pas il vit tout de suite qu'elle avait été blessée d'une balle en pleine poitrine et dit à Stéphanie : - Appelle les pompiers vite ! Joanna est blessée ! - Ma chérie, ma chérie, reste avec nous ! Joanna avaient du mal à garder les yeux ouverts. Erik lui parlait, lui parlait encore pour qu'elle reste consciente, jusqu'à ce que les pompiers arrivent dans les 10 mn qui ont suivi. Ils la prirent en charge et firent les premiers soins dans le Movano mais ils décidèrent assez vite qu'elle devait être opérée rapidement, Erik ferma sa voiture et les accompagna à l'hôpital. Le camion des pompiers traversa les rues toutes sirènes hurlantes, se faufila dans la circulation tant bien que mal, tandis qu'a l'arrière Joanna perdait conscience malgré les paroles d'Erik pour la soutenir. Le conducteur écrasa la pédale d'accélérateur pour aller plus vite, car ses jours étaient en danger ainsi que ceux du bébé. Erik tint la main de Joanna tout le long du trajet, qui dura 15 bonnes minutes, avant d'arriver les pompiers avertirent de leur arrivée avec un blessé par balle pour que les médecins la prenne en charge rapidement. Arrivés à l'hôpital Pellegrin ils allèrent tout droit aux urgences, un brancard l'attendait dans l'entrée ils la transportèrent du brancard des pompiers au brancard des urgences et filèrent tout droit en "salle d'op". Pendant ce temps Erik téléphona à l'agent COLSON pour lui demander s'il pensait que tout les hommes du trafic d'œuvres d'art & joyaux avaient été arrêtés, car il lui expliqua ce qui venait de se produire. L'agent COLSON acquiesça, sauf qu'Erik n'en croyait pas un traitre mot. Mais il ne lui fut pas d'un grand secours et raccrocha sans perdre de temps. C'était l'heure du déjeuner mais Erik ne mangea rien car il était trop perturbé par ce qui venait de se passer. Il téléphona au commissariat, leur donna la plaque d'immatriculation du véhicule, le modèle : un coupé Mercedes, et le signalement de l'homme qui avait tiré, un homme trapu, brun. Erik proposa même de venir au commissariat faire un portrait robot du tireur ce que l'inspecteur Morin apprécia et accepta. Il demanda aux infirmières combien de temps durerait l'opération de Joanna et si le bébé allait s'en tirer, mais elles lui dirent qu'elles ne pouvait faire de pronostic et que l'opération pouvait durer de 3 à 6 h qu'il fallait attendre. Pendant que Joanna se faisait opérer Erik alla au commissariat faire le portrait robot du tireur fou. Une fois terminé la police diffusa le portrait robot partout, ils regardèrent également à qui pouvait appartenir le coupé Mercedes avec la plaque d'immatriculation AB 890 QR et ils trouvèrent le nom de John COHNER a priori d'après leur recherches c'était un des adjoints du patron de la mafia, il leur avait sensiblement échappé lors de la rafle chez le collectionneur en Angleterre d'hier, et malheureusement c'est Joanna qui en avait fait les frais. Ils lancèrent un mandat d'arrêt contre lui. Erik retourna ensuite à l'hôpital et attendit que l'opération soit terminée. Au bout de 3 heures le chirurgien arriva et dit : - Nous avons fait tout ce que nous avons pu pour elle, ses jours sont encore en danger, si elle passe la nuit, alors nous ne pourrons qu'être plus optimiste. - Et le bébé docteur demanda Erik ? - Le bébé est sain et sauf Mr HAWKINS mais il ne le sera plus si sa mère meurt. Puis Erik pleura comme un bébé il était dévasté tellement il aimait Joanna. La seule chose à faire c'était d'attendre, alors il attendit à son chevet, tantôt en lui prenant la main et en lui parlant, tantôt debout en faisant les cents pas dans la chambre d'hôpital. La nuit passa nous étions le lendemain matin du Jeudi 1er juillet, Joanna avait tenu le coup, c'était une bonne chose mais elle était toujours dans le coma. Erik téléphona à l'inspecteur Morin pour savoir s'ils avaient des nouvelles du tireur John COHNER pour savoir s'ils l'avaient coffré, malheureusement ils ne l'avaient pas encore retrouvé. Il leur demanda de faire venir 2 policiers pour garder la chambre au cas où il aurait la fâcheuse idée de finir son exécution. L'inspecteur accéda à sa requête et y envoya 2 de ses hommes qui arrivèrent à l'hôpital 30 mn plus tard. Erik était toujours au chevet de Joanna mais quand les policiers arrivèrent il leur dit qu'il allait prendre une douche et revenait aussitôt, de bien garder Joanna au péril de leur vie. Erik partit pas tranquille du tout et il avait raison. L'homme John COHNER se fit passer pour un médecin et rentra dans la chambre de Joanna puis prit un coussin et commença à l'étouffer, sur ce Erik rentra dans la chambre se rua sur l'homme a qui il envoya un coup de pied et qui se plia en deux et se fit la malle. - Attrapez le dit Erik aux 2 policiers c'est lui ! Les policiers le poursuivirent jusqu'à l'extérieur du bâtiment puis tourna au coin de la rue et puis pouf ! plus rien, plus personne il s'était envolé comme par magie ! Ils revinrent à l'hôpital bredouilles. Joanna avait manqué d'oxygène pendant 1 mn et la machine qui était reliée à elle avait sonné ce qui alerta les infirmières qui vinrent s'enquérir de savoir si elle allait toujours bien, et si elle n'avait pas pâti de l'étouffement qu'elle avait subit quand tout à coup Joanna sursauta et se réveilla. Du coup a priori d'après les infirmières elle n'avait pas souffert comme par miracle et Erik remercia le ciel que tout aille bien. Joanna parla. - Ou suis je ? Qu'est ce que je fais la ? Que s'est il passé ? Erik lui répondit qu'un homme de la mafia l'avait blessé par balle et qu'elle l'avait échappé belle qu'elle avait été dans le coma pendant plusieurs heures ! - Et le bébé dit elle ? - Il va bien dit Erik, pas d'inquiétude ! Elle resta à l'hôpital 1 bonne semaine pour reprendre des forces et se reposer. Puis elle rentra à l'appartement sous bonne escorte car une voiture de police les suivait de très près.   5 mois passèrent sans qu'il se passe quoi que ce soit de particulier. Malgré tout les policiers surveillaient tout le temps Joanna et Erik car John COHNER n'avait pas été retrouvé. Erik et Joanna filaient le parfait amour, Joanna était maintenant enceinte de 8 mois et bien grosse. A priori elle avait passé une échographie à 4 mois 1/2 de grossesse et ils attendaient un garçon. La boutique marchait bien et faisait un bon chiffre d'affaire tous les mois. Ce matin là ils prenaient leur petit déjeuner traditionnel du dimanche matin, du café, des croissants, du pain, du beurre et de la confiture maison. Et oui Joanna s'ennuyait tellement qu'elle avait fait de la confiture, car à 7 mois de grossesse elle avait du arrêter d'aller au magasin car elle était de plus en plus fatiguée. Erik demanda à Joanna comment elle se sentait. - Pas trop mal se confia t'elle je n'en peux plus c'est tout ! - T'inquiètes pas ma chérie, il faut être patiente ça va finir par arriver. Erik avait bien raison car il se trouve que Joanna commença à avoir des contractions. - Déjà dit elle, mais je ne suis pas arrivée à terme ! - On va calculer les contractions pour savoir combien il y en a entre chaque crise. Au bout de 2 h, il y avait 4 mn entre chaque contraction, là Erik dit à Joanna : - Il faut y aller maintenant les contractions se rapprochent ! - Bien dit elle passe moi le sac avec toutes mes affaires pour l'hôpital, on y va. Les policiers suivaient toujours le couple, qui l'escortaient dans une voiture banalisée maintenant pour ne pas éveiller le moindre soupçon. Ils arrivèrent à l'hôpital aux urgences. Les infirmières prirent en charge Joanna et la mirent dans une salle d'accouchement, Erik toujours à ses côtés car il voulait suivre la naissance et soutenir Joanna. Les agents de la DGSI en tenue civile se mirent dans une salle en face de la salle d'accouchement. Joanna avait souhaité avoir une péridurale car elle n'aimait pas souffrir. Erik à ses côtés la voyait tellement souffrir à chaque contraction, qu'au bout d'un moment il appuya sur la pompe avec le liquide anesthésique pour soulager Joanna. Erik se rendit compte qu'il avait zappé le déjeuner, tant pis se dit il, je mangerai mieux ce soir. La sage femme venait d'arriver appelée par les infirmières car maintenant on voyait la tête du bébé, l'accouchement était donc imminent. - On va devoir y aller maintenant Melle JANSEN ! - Poussez, poussez Joanna, soufflez Erik tenez la main de Joanna et lui disait : - Vas y pousse ma chérie, pousse. - Soufflez dit la sage femme on voit la tête entièrement sortie maintenant il va falloir bien pousser encore une fois pour faire sortir le corps en entier. - Poussez Joanna, poussez, on voit le haut du corps, soufflez. - Poussez encore Joanna, poussez les bras sont sortis, il faut pousser une dernière fois. Poussez dit elle ! - Ca y est il est sorti ! Le bébé pleurait. La sage femme lui mit le bébé sur le ventre et demanda à Erik de couper le cordon, puis elle pris le bébé pour l'envelopper dans une couverture et le débarrasser un peu du liquide amniotique. Puis elle tendit le bébé à Joanna. - Bonjour Quentin dit Joanna à son fils puis elle le caressa. Erik avait mis un bras autour du cou à Joanna et caressait aussi le bébé, ils étaient aux anges. - Notre fils est magnifique dit il. - Certainement il ne pouvait qu'être beau avec deux parents comme cela. - Tu as raison dit il. Puis une infirmière vint chercher le bébé pour lui faire passer les examens post natals et les résultats étaient fort encourageants, il avait un score d'Abgar à 8 ce qui était très satisfaisant. Du coup, la conduite des médecins fut peu agressive et consista en une simple désobstruction des voies respiratoires et un apport d'oxygène facultatif. Puis il fut mit en couveuse et mis dans la nurserie. Un agent du DGSI aussi en civil suivait également le bébé et se mit en poste près de la nurserie auprès du bébé. Tout à coup un homme déguisé en médecin avec un masque s'introduit dans la nurserie, le policier avait commencé à avoir les sens en alerte, quand l'homme prit le bébé, le policier le vit, se mit juste derrière la porte et quand il sortit il lui mit le révolver sur la tempe et lui dit : - Plus un geste ! si vous ne voulez pas mourir tout de suite là, rendez moi le bébé ! Puis l'homme qui était John COHNER déguisé en médecin rendit le bébé à l'agent du DGSI, qui appela tout de suite une infirmière pour qu'elle puisse prendre le bébé. Et il lui passa les menottes. Le bébé fut remis dans son petit berceau. La DGSI savait que John COHNER attendrait la naissance du bébé pour le kidnapper pour que ses parents souffrent. Erik fut mis au courant de la situation et alla vite dans la nurserie voir si son petit Quentin allait bien. Le bébé fut mis ensuite dans la chambre de la maman et Joanna décida de l'allaiter. Elle nettoya son sein et le prit pour porter le sein à sa bouche, le bébé téta vigoureusement. Le père, la mère et le fils étaient ensemble, ressemblant à une belle famille qui en avait vu de toutes les couleurs, mais qui restait unie et soudée. Erik en profita pour appeler son wedding-planner pour lui demander ou il en était des préparatifs du mariage, car du coup il l'avaient repoussés à chaque fois un évènement extérieur les en empêchant, elle lui dit que maintenant il restait à choisir les fleurs, le gâteau et le menu du mariage. elle lui donna rendez vous dans 2 jours quand bébé et maman seront rentrés de l'hôpital. - Dis moi Erik lui dit Joanna il faudra que tu m'accompagne en ville demain pour que je puisse essayer de nouveau ma robe de mariée puisque maintenant je ne suis plus enceinte, pour qu'ils puissent faire toutes les retouches nécessaires. Erik lui répondit bien sûr chère future Mme HAWKINS vos désirs sont des ordres ! Le lendemain matin, les infirmières avaient préparés les papiers de sortie et Joanna, Erik, et Quentin rentrèrent tous les trois à l'appartement. En arrivant à l'appartement Joanna en profita pour appeler le collectionneur Mr BELAMI, a priori il était toujours intéressé par les joyaux qu'ils possédaient malgré le fait qu'on lui avait demandé de mentir, et était tout à fait d'accord pour venir les chercher mais dans un terrain neutre, en France. Ils avaient rendez vous à l'hôtel Ibis à Deauville chambre 807 dans 2 jours. C'était le jour des courses, il fallait qu'ils aillent chercher, couches, lait maternel & biberons pour après l'allaitement. C'est Erik qui s'y colla, Joanna restant avec le bébé. De retour des courses le bébé pleura car il était tout mouillé, Erik décida de lui changer la couche lui-même. Puis il le recoucha car c'était l'heure du dodo. Après la journée se passa bien, rythmée par les soins du bébé, le nourrir, le changer, puis l'admirer un peu le reste du temps. Ils en profitèrent pour aller se coucher, même s'il était un peu tôt mais ils étaient crevés et ce n'était qu'un doux euphémisme.    
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