Chapitre 7 - LA CHAPELLE DU COUVENT DES FRANCISCAINS C’était le septième jour après l’événement – Canniedo, Zafra, Veladar et Girenna étaient encore en plein délire – c’était donc un matin, le septième jour après la mort de Christa d’Ulloa. Dans une cour du palais, deux solides écuyers, fortement armés, montés sur de vigoureux chevaux, attendaient, entourés d’officiers dont chacun donnait une dernière instruction, apportait une suprême recommandation. – Bon, bon, disaient les deux braves, nous en répondons sur notre vie, et nous avons fait l’Artois et l’Italie ! – Gare à qui s’approche ! Bonsoir, camarade : la pointe de nos rapières à la disposicion de usted ! Un valet d’écurie tenait en bride un de ces fins et nerveux jinietesandalous que si fort, en France, on appréciait sous le nom

