Son b****r n’était pas doux, au contraire, il était brut ardent presque féroce comme s’il cherchait à graver son empreinte sur mes lèvres ou à effacer celle de l’autre, comme s’il cherchait à me voler un souffle et me faire oublier jusqu'à mon nom. Ses caresses quant à elle étaient tout aussi sauvages empreintes d’une fièvre indomptable comme s’il voulait me posséder tout entière et s’ancrer en moi de manière irréversible. Pourtant, c'était inutile, je l’avais déjà dans la peau et pour rien au monde, je n’aurais voulu changer ça. Ses gestes étaient possessifs et j’aimais ça, j’aurais peut-être dû avoir peur de tant de possessivité, de toute cette rage sous-jacente qui émanait de lui, mais non au contraire, j'aimais ça. Il me compressait dans ses bras au point ou je sais de sources sûres qu

