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596 Words
Le soir à 18h... Habi : s'il te plaît Alima cesse de crier  Alima : même demain je vais crier. Tu en a pas marre de rester dans ce mariage Habi : Ousmane est mon mari donc pour rien au monde je ne quitterai mon mariage par ce que vous ses cousines veulent que je m'en aille  Iya : tu va t'en aller de gré ou de force. Sept ans de mariage et toujours pas d'enfants. On en a marre d'attendre tu comprend  C'est les cousines de mon mari qui on surgis chez moi aujourd'hui après que mon mari sois partie à son travail. Elle me font la morale avec ma belle-mère. J'en peu plus de tous ça , mes larmes coulent sans cessent comme toujours.  Tata : femme incapable que tu es. Jamais je ne te pardonnerai si jamais je meurs sans avoir un petit enfant  Non tous sauf ça , je peu supporter tous genre de phrase , d'insulte et de coup mais pas ce que vient de dire ma belle-mère. Je me jete tout d'un coup à ses pieds en guise de lui supplier de retirer ce qu'elle venait de dire.  Habi : non Tata s'il te plaît ne dit pas cela , s'il te plaît retire ta phrase  Tata : tu ne vois pas que j'ai une envie inexplicable d'avoir un petit fils ou une petite fille. Tu n'es pas capable d'en donner à mon fils donc laisse le épouser une autre femme  Habi : je te jure que j'ai tous fais pour qu'il prend une autre femme mais il ne veut pas m'écouter  Iya : et tu crois qu'on va te croire ? En tout cas tu va sortir de cette maison de coup de pied puisqu'on t'a chassé avec douceur mais tu n'a pas daigner t'en aller  Habi : s'il vous... Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase , Iya et Alima se jette sur moi à terre puis me roue de coup. J'ai mal partout mais je retiens mes crits , je me sens tirer par deux bras jusqu'à ce que je me rend compte que c'est mon mari quand son parfum effleure mes narines.  Il me prend dans ses bras tout en essayant de me calmer. Je le serre très fort contre moi par ce qu'il est bien le seul qui me faut dans cette vie. Le seul qui fait naître un sourire lumineux sur mes lèvres , le seul qui me donne de la joie de vivre et le seul qui me protège contre vents et marrés.  Mes larmes redoublent quand je repense à cet mensonge que j'ai tant semer et je ne veux même pas penser au récolte. Si jamais je le perd et bien je suis f****e. Il m'aide à m'asseoir sur le fauteuil puis se lève et se tourne vers ses cousines et là j'appréhende ce qui va se passer.  Ousmane : VOUS ÊTES MALADE VOUS DEUX ?  Tata : Ousmane tu ne cri pas  Ousmane : si je vais crier par ce que c'est ma maison. Toi maman tu te ligues avec mes cousines pour venir chez moi et tabasser ma femme  Tata : c'est par ce qu'on veut qu'elle s'en aille  Ousmane : toi maman je ne peu rien te dire ni faire mais à ses deux pimbêches je peux tout faire  Il donne une gifle à Iya puis une autre à Alima également. Je me lève tout d'un coup et pose mes bras sur ses torses pour qu'il s'arrête pendant que les deux se tordent de douleur en pleurant. 
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