CHAPITRE 2?

3397 Words
PDV SASQUIA J'avais l'impression de tomber dans le vide quand une voix me fis sursauter. Elisa- Reveille-toi Sassi nous allons être en retard. Murmura t-elle. Encore dans les vapes, je venais d'agripper violemment son bras... un réflexe. Moi- Elisa? Dis-je puis la relâcha. Elisa- Allez debout on n'attend plus que toi. Je toussote légèrement avant de lui répondre. Moi- Hein? On va où? Ma tête me faisait un mal de chien, ce qui me value une grimace en tentant de me redresser. Elisa- Tu te moque de moi? Elle se Redressa à son tour et croisa ses bras en Parfaite petite dictatrice. D'un coup, notre conversation de la veille me revînt en tête. Moi- Oh... Oui, Le procès. Fis-je en bâillant puis me frotta les yeux. Elisa- Oui le procès. Allez! Le taxi ne va pas tarder cria t-Elle en m'arrachant mes draps et v*****t coup de froid m’assaillit. Moi- Quelle heure il est? Elisa- Six heures quart précisément alors Grouille! Moi- C'est bon y'a pas le feu. Détends-Toi Eli! Lançais-Je en tentant non sans mal à me lever du lit Elisa- Tu as exactement vingt minutes, Après si t'es pas prête au pire tu t'habilleras dans la voiture. Gronda celle-ci dans le couloir. J'avais une folle envie de reposer ma tête sur cet oreiller, mais les cris d'Elisa qui s'impatientait m'en dissuadèrent. Il ne fallait pas l'irriter davantage. L'anxiété avait eu raison d'elle et Je savais très bien qu'une Elisa Anxieuse égale Moulin à paroles. Je me lève, prends la direction de la salle de bain pour qu'une bonne douche puisse me booster un peu. Je m'habille des vêtements soigneusement posés sur mon lit par la jeune avocate. Comme quoi je ne pouvais pas me ramener en jean au tribunal. Donc j'enfile le chemisier sans manches et un pantalon crayon avec quelques ficelles de part et d'autres puis les talons. Tout ce qu'il y a de moche quoi! J'attache mes cheveux dans un habituel chignon qui cette fois-ci, aussi étonnant soit-il, était plutôt réussi, puis alla retrouver les filles dans l'autre pièce qui déjeunaient. Alessia dans son habituel style texan avec sa robe et ses Bottes. Toute sa vie elle était en botte celle-là, le tout surmontée d'une petite veste en cuir ses beaux cheveux en queue de cheval. Et Elisa...Comme d'habitude. Je me sers un jus de fruit et croqua ma pomme. Je ne mangeais presque jamais le matin, Une vieille et mauvaise habitude... On descend suite aux Klaxons du chauffeur. Une fois à l'intérieur, je déglutis péniblement puis respire un bon coup. Ce n’était qu'un tribunal après tout, Rien à craindre pas vrai ? Ce n'est pas toi qu'on va juger Sasquia pas de quoi s'en faire. Et de toute manière il est trop tard pour faire demi tour. Oui? Non? Oh, qu’elle commence mal cette journée ! _______________ PDV DUC KHAÏL Je referme brutalement mon Ordinateur et le balance sans ménagement à l'autre bout du siège. Le dossier d'Oliveira me donnait envie de L'écorcher vif! Comment a t-il bien pu être mêlé à une affaire aussi sensible ! d****e? Meurtre? Blanchissement d'argent ? J'espère pour lui qu'on le sorte intacte de là, sinon il mourra de mes mains avant même d'avoir franchis le seuil de la prison pour avoir essayé de me duper ! La voix de Peter me rappela à l'ordre : Peter- Monsieur, nous sommes arrivés. Déclara t-il. Pénible journée, Rude nuit, tout ça pour atterrir dans un tribunal. Un tribunal Bon sang! Je lève les yeux vers l'immense bâtiment. Moi- Allons-y qu'on en finisse ! Fulminais-Je. Une fois La portière ouverte, je bondis dehors avec un goût amer dans la bouche. À peine sorti j'étais assailli par des questions pleuvant de tous les côtés. De loin, Pas trop près. Je sais que les journalistes ont feu vert quand il s'agit de leur travail mais moi, J'ai imposé une volonté en Russie et je tiens à ce qu'il soit respecté partout où je vais. Aucun paparazzi ne m'approche de trop près. À leurs risques et périls. Le bruit ? Je déteste. Et eux, avaient le don d'en faire et beaucoup. Leur acharnement sur ma vie devenait une véritable obsession. Ridicule ! Toute cette affaire était ridicule ! Mais je me devais d'être là et gérer mon humeur. Je m'avance à grand pas accompagné de mes hommes tentant d'ignorer le brouhaha. Je regrettais presque de les avoir ordonné de ne pas intervenir car j'étais moi-même sur le point de balancer l'un des interlocuteurs de l'autre côté des marches. J'avais envie de tous les propulser hors de mon champs de vision. Mais me ravisa en restant implacable. Journaliste 1- Monsieur le Duc que pensez-vous de toutes ces accusations... Journaliste 2- Monsieur Romanov êtes-vous toujours avec Mademoiselle Vera?... Franchement, ils étaient sérieux ? Mais où était le rapport ! Journaliste 3- Votre Grâce comptez-vous toujours faire affaire avec Monsieur Oliveira après ces terribles révélations ?... Journaliste 3- Compte tenu du prochain verdict Monsieur, Que pensez-vous de... Ces foutus marches! Il y’en avait beaucoup trop à mon goût ! Ça n'en finissait pas. Les flashs se faisaient plus insistants et on continuait de m'assaillir de questions jusqu'à ce qu'une en participation me percute. Journaliste x- Monsieur le Duc, Un mot à propos de ce meurtre fâcheux ? L'auriez-vous cautionné d'une certaine façon ? Le règne de sang de la dynastie Romanov serait-elle d'actualité ? Je m'arrête net en même temps que Peter et mes hommes. Oh, non il était trop tôt pour que Je tu quelqu'un. Il aurait dû se taire cet inconscient! Je me retourne les yeux noirs et le foudroie du regard. Il se décomposa. Mais pas assez, comme si il était à l'abris d'une mort certaine. Moi- Répétez ! Rugis-Je. Soudain, plus une mouche volait. L'audacieux journaliste resta cloué sur place, Tétanisé. Le bruit des flashs semblaient loin. Mon sang bouillonnait. J'étais dans une rage noire! Peter allait réagir quand ma puissante poigne l'arrêta sur sa furieuse lancée. D'une simple pression, Je broya son enregistreur encore dans sa main lui brisant sûrement les phalanges au passage. Il n'était plus que l'ombre de lui-même. Mais ce n'était pas assez ! Non pas assez. Je saisi son col et sa cravate d'une seule main. Il était en phase d'être asphyxié mais personne ne réagissait, à mon plus grand bonheur. Il changea de couleur en virant au bleu. Moi- La prochaine fois que vous porterez des fausses accusations à mon égard, Un langage déplacé visant ma lignée, Je veillerai personnellement à faire de vous la victime de vos paroles en ajoutant votre sang à cette supposée collection. M'avez-vous saisi? Sifflais-Je entre mes dent en appuyant bien sur chaque mot prononcé, la bouche déformée dans un rictus de rage. Il secoua énergiquement la tête incapable de piper mot, Les yeux rougeâtres. Peter posa une main sur mon épaule pour m'inciter à le lâcher, ce que je fis la seconde d'après puis fini de grimper ces interminables marches. Le scandale était déjà à mes trousses et je le savais. Cette fois-ci, je n'y échapperai pas. Elle commençait bien cette journée ! ______________ PDV SASQUIA L'horreur se lisait dans mes yeux, en observant cette scène de loin. Le gaillard et le journaliste. Mais qu'avait-Il bien pu dire pour s'attirer les foudres de cet homme incroyablement grand avec des larges épaules? Qui aurait envie de s’en prendre à lui? Moi- Qui est cet homme ? Elisa- Cet homme c'est L'aristocrate le plus célèbre et le plus terrifiant. Me répondît Elisa presque aussi tétanisée que l'était le pauvre Journaliste. Alessia- Le Duc Mikhaïl Romanov. Finit-Elle dans le même état qu'Eli. Elisa- Mais qu'est-ce qu'il fait là ? Murmura t’elle comme si elle se parlait à elle-même. Alessia- Je préfère ne pas le savoir. Répondit-Elle en se retournant. Ce dernier pénétra dans le hall Le visage grisé par sa rage. Une lueur dangereuse dansait sauvagement dans ses yeux. Avait-il conscience de l'image bestiale qu'il renvoyait sur cette posture, droit comme une statue de cire? Il émanait de lui une telle puissance, une telle dangerosité que j'en frissonna. Il possédait une carrure imposante et on ne pouvait que deviner l'amas de muscles soutenus difficilement dans ce costume noir. Aussi noir que l'étaient ses cheveux qui lui arrivaient presque au niveau des épaules. Aussi noir que l'était son regard onyx. Son impressionnante carrure athlétique dominait le hall. Je ne pouvais plus détacher mes yeux. Il se passa une main dans ses cheveux et releva ses yeux. Et là! Oh non. Je n'aurais jamais dû le fixer. Son regard me transcende littéralement. Et je reste clouée sur place les yeux soudés aux siens comme sous une hypnotisante domination. Elisa- Allons Sassi tu nous aide ou pas? Lança t-Elle. Je me retourne, encore légèrement secouée pour découvrir Eli et Aless parterre tentant de rattraper les papiers éparpillés sur le sol. Je m'accroupis et les aide d'un mouvement machinal. Elisa- Merci les filles. Oh, je stresse tellement! Avoua t-elle. Alessia- Ne t'en fais pas tout vas bien se passer. Tu as travaillé dur sur ce dossier. Tu n'as pas le droit de stresser maintenant, On est là pour te voir épater tout le monde. La rassura notre Madame bonne humeur Alessia. Elle nous sourit puis déclara : Elisa- Oui, Évidemment. C'est moi la meilleure. Elle se secoua pour se donner de l’assurance ; C'est moi la meilleure! Madame Narcissique refait son entrée! On s'avançait vers un Immense escalier en pierre très chic. Elisa- Ça va toi? Me demande Eli. Moi- Oui... oui, Pourquoi ? Elisa- Je voulais juste m'en assurer. Je lui souris et me passe une main sur mon front. Cet échange de regards venait de me donner des sueurs froides. Je grimpe la première marche et me risque un regard en arrière mais remarqua que Le terrifiant personnage avait disparu. 5 heures plus tard... On sortait définitivement de cette salle. Je me précipita vers l'extérieur pour respirer de l'air frais. Toutes ces phrases m’étouffaient. Toutes ces personnes m’étouffaient. Ce tribunal m'étouffais. Et par dessus tout, les regards sombres et perçants de ce Duc m'étouffais ! J'en tremblais et j'en tremble encore. Je m'assoie sur un banc, tentant de reprendre une respiration au rythme normal. Les poings serrés, les ongles enfoncés dans ma chair, Je revoyait ce recoin du tribunal, moi assise dans ce coin pleurant à chaude larmes les vêtements tachés et.. Alessia- Ça va Sasquia? S'enquit-elle. Je relève ma tête et la vois s'asseoir à côté. Moi- Oui ... oui je... Alessia- Je sais que ça ne va pas. Me coupa t-elle fixant le sol; Tu n'es pas obligée de m'en parler, J'ai juste envie de savoir comment tu vas. Reprît-Elle de sa douce voix. Je ferma mes yeux pour échapper aux larmes puis les rouvrit. Moi- Cet endroit a fait ressurgir des souvenirs vraiment douloureux Aless ... Que je n'oublierai sûrement jamais, Mais ça va Je sais que ça ira. Dis-je en me redressant pour m'insuffler du courage. Alessia- Je sais, On est là ne l'oublie pas. Je la vois me sourire tristement. Je déteste lire ça dans ses yeux car Je déteste qu’on me prenne en pitié ! Moi- Elle est où notre Championne? Je croyais que c'était fini. Alessia- Ça l'est. Elle règle juste les dernières formalités après on s'en va, parce que moi j'ai super faim. Moi- J'ai faim aussi. Me plaignis-Je mais en même temps une pomme et un jus de fruit, ça n'a rien de consistant; Viens on va se prendre des trucs dans le distributeur. L'idée de retourner à l'intérieur ne m'enchantait pas mais Je dû m'armer de courage pour ne pas craquer. Je pousse brutalement la porte en verre pour pénétrer dans le hall mais me cogne la tête la première dans du Titane. J'entendis quelqu'un grogner. Je trouve la force nécessaire pour me détacher de cette main sur mon bras, Puis rouvris les yeux une main sur mon front et croisa un torse en béton et le léger froissement que je venais de provoquer. Je fis quelques pas en arrière et croisa ces yeux hostiles et ténébreux. J'écarquille aussitôt les miens. Seigneur ! Je venais de Percuter le terrifiant démon. ______________ PDV DUC KHAÏL Ces yeux électriques sur cette tête rouges. Les mêmes qui me fixaient plus tôt dans le hall. Les mêmes que je n'ai pas pu m'empêcher d'admirer pour être sûr de ne pas être victime d'hallucinations. Ces mêmes yeux étaient écarquillés devant moi. Était-ce le fruit de mon imagination ? Non elle venait de me percuter, je l'ai tenue... elle était bien réelle. Je lance une imprécation en russe l'observant reculer de quelques pas. ...- Oh ... Quelle maladroite. Souffla nerveusement la fille à côté d'elle. Celle-ci porta une main sur son front, puis se dégagea en soufflant sur une mèche échappée de son faux chignon. Un instant déstabilisé par cette vision irréelle, Je repris mes esprits dardant sur elle un regard dénué de chaleur et la vit froncer des sourcils. Comme elle ne réagissait pas : Moi- Vous ne savez pas vous excuser? Croassais-je. Elle hoqueta sourdement en fronçant davantage ses Sourcils. ...- Ça ne s'exige pas Monsieur! Denia t-Elle répondre. Vous m'avez percuté autant que je vous ai percuté, Vous devez vous excuser autant que moi. Finit-Elle avec bravade d'une voix naturellement mélodieuse, Ce qui m'irrita. Moi- Alors qu'est-ce que vous attendez! Crachais-Je sans Fléchir. ...- Non! Son amie entrouvrît la bouche , sûrement consciente des risques accourus, tandis qu'elle restait imperturbable. Moi- Non? Repetais-Je en me retenant d'exploser. ...- Vous ne méritez pas que je m'excuse ! Je fis un signe à mes hommes pour qu'ils ne réagissent pas. Moi- Répétez ! Ordonnais-Je d'une voix cinglante à peine maîtrisée. ...- Sinon quoi? Brava t-elle. Je passe mon regard sans vergogne sur ce petit bout de femme que je pourrai briser. Elle soutenait tant bien que mal mon regard, dissimulant sa peur. Mais les légères rougeurs sur ses joues la trahissaient Merveilleusement. Son audace me laissa coi une fraction de seconde avant de reprendre les plis durs de mon visage. Moi- Croyez-moi Malen’Kaya Tigritsa ~Petite Tigresse~ vous n'avez aucune idée de quoi je suis capable ! Grognais-Je d'une sombre promesse la jaugeant du regard. ...- J'ai ma petite idée. Rétorqua t-elle puis, passa devant moi pour disparaître dans un couloir en trainant son amie avec elle dans sa folle course. Je marmonne dans ma barbe puis vit apparaître mon bras droit. Moi- Qui est-ce ? Exigeais-Je. Peter - Nous n'en savons Rien votre grâce. Voulez-vous qu'on... Moi- Oui, C'est ce que je veux ! Le coupais-Je. Cette étrangère venait de défier mon autorité, elle m’intriguait ; Mais pour l'heure, Débrouillez-vous pour qu'elle assiste à la soirée ! Il acquiesça d'un mouvement de tête. Personne ne me défie impunément ! Elle va en faire le fâcheux constat. Ça pourrait être Amusant. ________________ PDV SASQUIA Alessia- Mais Sassi qu'est-ce qui t'as pris tu peux me le dire? Je haussa négligemment les épaules masquant la panique. Alessia- On va être jetées en prison ! Tu te rends pas compte on dirait. Ils vont sûrement nous emmener en Russie. Oh mon Dieu on va être jugées à ses soins. Imagine une seconde que... Elle continuait de m'exposer l'hypothèse de ses peurs en faisant les cent pas. Je reconnais avoir paniqué mais Alessia elle, elle en faisait des tonnes ! Je m'avance vers le distributeur et sort deux cannette et des chips. Moi- Tiens ça et arrête de crier. Tu m'énerve. Alessia- Tu es sérieuse ? S'écria t-elle sans se départir de son hystérie; Comment tu peux songer à manger après ça ? C'est un Duc Sassi, UN DUC Et pas n'importe lequel. Le plus dangereux qui soit. Tu ne connais pas sa réputation ! Oh mon Dieu on va être écorchées . J'aurais presque pu rire s'il en était autrement. Mais moi-même je n'étais pas tranquille. Elle venait d’où cette poussée de courage en moi? Moi- Oh, un Duc, sérieux ? Je n'avais remarqué. Raillais-Je. Elle s'avança vers moi. Alessia- Imagine qu'il veuille se venger Sasquia! Elisa - Qui voudrait se venger? S'éleva la voix de d'Elisa. Je fusille Aless du regard puis me retourne vers cette voix exigeante. Moi- Enfin tu es là. Bien, on s'en va. lançais-Je pour tromper la panique. Alessia- Attends tu es sérieuse ? Tu n'as pas songé que peut-être une armée d'hommes armés jusqu'aux dents nous attends à la sortie ? Moi- Hum, Non pas vraiment. Alessia- Et bah t'aurais dû Avant de défier Ce Duc! Elisa- Quoi? Tu as fais quoi ? S'impatienta t-elle. Je souffla. Elisa- Mais est-ce que seulement tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? Je serré mes poings suite au ton qu’elle employait. Elisa- POURQUOI IL FAUT TOUJOURS QUE TU N'EN FASSES QU'À TA TÊTE. TU SAIS TRÈS BIEN QUE C'EST LUI QUI FINANCE LE BUREAU MAINTENANT ! S'emporta t-elle. Oui j'en avais eu vent durant le procès. Cet assommant et interminable procès, mais cela ne justifiait pas ce ton qui ne rendait malade en titillant mes démons. Moi- Elisa arrête de crier. Dis-je en essayant de ne pas exploser à mon tour. Elisa- Tu ne pouvais pas t’en empêcher hein? Cracha t-elle. Alessia- Elisa! Ç'en était trop. Moi- MAINTENANT TAIS-TOI ELISA! tonnais-Je à mon tour. S'il y avait une infime chance pour que je m'excuse devant quelqu'un aujourd'hui, elle vient de partir en fumée. Moi- juste tais-toi ! Je venais de perdre le peu de calme que j’avais et à présent Je bouillonnais. Alessia- Mais Elisa mais qu'est-ce qui te prends ? Elisa- Moi? Demande à Sasquia à quoi elle joue Parce qu'aucune personne saine d'esprit n'aurait commis une telle bêtise! J'aurais préféré que cette phrase ne franchisse pas le seuil de sa bouche, parce que l'instant d'après je sentais que je perdais totalement le contrôle et commença à m'avancer dangereusement vers elle. Elisa- Tu vas faire quoi là ? Me frapper ? Moi- Non c'est trop facile. Je vais t'amocher violemment jusqu'à ce que tu sois Méconnaissable ! Lançais-Je Sourire Sadique aux lèvres . Elle savait très bien que j'en étais capable et recula d'un pas. Je ne la toucherai jamais mais le fait est qu’elle venait volontairement de toucher à un point sensible. Alessia- Les filles, on devrait toutes se calmer. Un homme grand apparu soudain derrière nous le visage sévère et impénétrable. Inconnu- Mes Demoiselles ! Salua t'il d'une voix dure. Mais je ne me retourna pas pour autant, Mes yeux sur Elisa. Au même moment mon téléphone sonna. Il affichait le nom d’Alejandro et immédiatement je me retourna sur le côté pour décrocher et échapper à cette mauvaise énergie. Appel téléphonique : "Moi- On peut dire que tu tombe à pique toi. Dis-Je les dents serrées" "Alejandro-Bon timing pour une fois. Lança t’il fier; Docteur Aubrey te demande." "Moi- d’accord, je me dépêche mais pourquoi c'est à toi de me le dire?" "Alejandro- Et ben tu vois toi et moi enfaite... Euh tu sais ici tout le monde sait qu'on est disons... Amis." "Moi- Amis? Toi et moi on est... Bon bref, J'arrive dans une demi-heure." Dis-je en me grattant la lobe de l'oreille avec mon pouce. Puis raccrocha avant qu'il ne rajoute autre chose. Fin de l’appel téléphonique. Je me retourne et vois l'homme s'incliner respectueusement Puis s'en alla. Alessia se retourna vers moi toute pétillante. Alessia- Tu ne devineras jamais Sassi , Monsieur Oliveira nous invite à sa soirée privée ! Je plisse les yeux. Moi- Ah vraiment ? Alors... Amusez-vous bien. Répondis-Je sans une once d'enthousiasme dans la voix. Alessia- Tu es conviée aussi. Cria telle comme si j'étais sensée sauter de joie. Alessia et moi on ne partageait clairement pas les mêmes joies... Elisa- Comme ça tu pourras t'excuser devant l'hôte. Inutile de te dire qu'il y sera. Me lança t’elle. Moi- À supposer que je m'y rende. Alessia - Allez Sasquia, On va s'amuser. Moi- Non je ne crois pas. Répondis-Je avec indifférence. Ce milieu là était très loin d’être mon monde. Alessia- Oh, n’écoute pas Eli, tu n’es pas obliger de t’excuser et de toute façon aucune d’entre nous n’approchera ce Duc! Je souris face la bienveillance de ma merveilleuse coloc. Moi- Peut-être, mais je dois passer au centre. Le docteur Aubrey a besoin de moi. Alessia souriait malicieusement Sûrement s’imaginant comment elle allait m’habiller. Un plan diabolique prenait forme dans cette tête aux allures Angéliques. Je me retour vers Elisa et : Moi- Elisa? Elle souda ses yeux aux miens; La prochaine fois gère ton Ton, parce qu’il ne faudrait pas que ça dérape. Lançais-Je puis m'éloigna. ____________ Ciao ??.
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