NOTES DU TOME PREMIER I. « Moi seul j’irai, » etc. Ce commencement est dans la tradition. II. « C’est moi qui…, » etc. Traduction littérale d’un fragment de poésie gallique. III. — La malédiction du Barde « Quoique Jean l’Anglais, » etc. Début d’un de nos anciens chants populaires bretons. Dans un sujet qui tient si intimement aux traditions de la France, il était impossible de ne pas donner un écho à l’ancienne haine populaire de la France et de l’Angleterre. Mais on verra dans le volume suivant que la malédiction n’est pas le dernier mot de Merlin. La colère du barde ne lui a pas ôté l’esprit de justice envers une grande nation et il n’a mis en jeu ces violentes aversions de race que pour rendre plus éclatante la réconciliation finale. Au reste, ce qui est dit du m******e des

