OUVRE LESYEUX

1285 Words
Mon nom est Marielle Ronald mes parents sont Angel et Marie Ronald, avant de venir s’installe à Estville, nous vivions à Nordville, avec ma sœur Alia, comme le temps passe vite, je me rappelle comme ci c’était hier, l’odeur du bon café que maman faisait chaque matin pour papa avant qu’il ne parte au travail, et des croissants chauds qui se propageait dans toute la maison maman avait cette belle peau marron et de beau et long cheveu noir sans oublie ses yeux marron et son joli sourire, papa était grand blond avec des yeux bleu, il s'était rencontré à Neverville, maman était étudiante en Droit de vie et papa était étudiant en science surnaturelle à Power university, on y parlait toutes les langues à Neverville, et tout le monde arrivaient à comprendre l’autre. Quelques années après qu’il est terminé l’université, ils se sont marié et un an après, je suis venue au monde. Ma sœur et moi étions Presque identique, tout le monde pensait que nous étions sœur jumelle, Alia et plus jeune de moi d’une année. Quand nous étions enfant Alia était plutôt du genre à ne pas trop parler, mais chaque soir, elle se réveillait en pleurant. Les parents se précipitaient toujours à son chevet pour se rassurer que tout allait pour le mieux, maman se retournait toujours pour se rassurer que j’allai aussi bien, le temps passait et Alia commençait à dire à nos parents qu’elle voyait des êtres étranges dans notre chambre, papa lui répondait toujours qu’elle avait beaucoup d’imagination. C’était l’anniversaire d'Alia, et les parents avaient invité tous nos amis de l’école. Pendant que tout le monde était au salon, maman me demandât d’aller appeler Alia, en passant devant la cuisine j’appercut Alia, debout dehors, en train de regarder la petite allée d’arbres qu’il t’avait derrière la maison, alors je sortis et m’approchât d’elle, que regardes-tu Alia  ?, elle ne me répondit pas, Alia que regardes-tu labas?, elle ne répondit toujours pas, Alia, j'avais assez crié pourque, elle puisse m’entendre, elle, me répondit, finalement comme si elle se réveillait d’un rêve, Marielle dit elle, regarde labas, il y’ un quelques choses qui bougent labas, je me retournais, et aperçut une ombre au milieu de l’allee.Maman nous avait retrouvé et nous demanda ce que nous étions en train de regarder depuis une trentaine de minutes, nous l’avons dit qu’il avait cet homme au milieu de l’allée des arbres, elle répondit qu’il n’avait personne dans l’allée. Nous nous retournions et n’apercurent personne, alors sans rien dire, on rentra dans la maison et la fête continua, deux jours après son anniversaire, sur le chemin du retour de l’école. Sur le chemin il y avait un parc, qui nous intriguaient, on avait toujours la chair de poule à chaque fois que nous passions devant ce parc, alors que nous nous dirigeons vers la maison, nous apercurent une petite fille sur l’une des balançoires du parc, on apercevait que le dos de cette dernière, elle avait deux chignions et portait une robe rouge, nous restions intrigués par cette fille, alors que tous les autres enfants continuèrent leur chemin comme ci de rien n’était, je demandais à Alia si elle aussi arrivait à là, voire, elle me répondit qu’elle la voyait aussi, nous restions là, et la seule chose qu’on se rappelait, c'était que maman était venu à notre rencontre parce qu'elle était inquiète après avoir vu qu'Arielle et sa sœur étaient rentrées, que faite vous la dit elle cela fait une demi-heure que je vous attends Arielle et Melissa sont déjà rentrées, nous disait-elle, ont se retourna et surprit de voir notre mère devant nous On se retourna pour regarder la fille du parc et il n’y avait personne. On rentra à la maison la tête baisse parce que, maman n’arrêtait pas de nous gronder tout le long du chemin. Le soir a table notre père était indigne de notre comportement, il n’arrêtait pas de me dire Marielle, je suis déçu de ton comportement, tu es censé veiller sur ta petite sœur, et lui faire comprendre quand il est l’heure de rentrer à la maison et non de joue sur le chemin, cela est dangereux cela, aurait pu mal se passer quelqu’un aurait pu vous faire mal. Anna et moi étions très silencieux Durant le repas, d’ailleurs, on n'avait pas eu le courage de dire à notre mère ce qu’on avait vu au parc. Une semaine après cet incident alors qu'Alia et moi nous rentions des cours, on appercut la même fille au parc, mais cette fois-ci Alia se mit à rentre dans le parc, je la suivis et essayait de lui faire comprendre que ce n'était pas une bonne idée, nous arrivions près de la balancois mais cette fois-ci alors que nous puissions voire son visage, elle nous faisait toujours dos, alors Alia et moi nous tournions et nous retrouvions devant elle, elle était assise sur la balancois, avec sa robe rouge et la tête baisse, Alia s’approcha legerement et dit bonjour que fais-tu la assise seule, je mis ma main sur l’épaule d'Alia et lui fais non de la tête, rentrons papa seras furieux, alors la fille sur la balancoir leva sa tête, ses yeux était creux noir, c’est comme si elle n’avait pas des yeux, elle ouvrit sa bouche grandement et se mit a crié, un vent se mit à soufflet et Alia et moi nous retrouvions dans une foret. Autour de nous il y’avait de grand arbre, ont pu à peine apercevoir le ciel, elle prit ma main et me demandât où nous étions, je pouvais voir de la peur dans les yeux de ma petite sœur. J’étais aussi effrayé qu’elle, je me rappelais ce que papa me disait souvent lorsqu’il partait en voyage et nous laissait tous les trois à la maison, il me disait toujours, je veux que tu gardes toujours ton sang froid en cas de dangé, il t’aidera à mieux reflechire. Alors, je serais très forte Alia, et répétas à haut voir, n’est pas, n’aie pas peur, tu peux le faire. Je pris sa main et nous commencions à marcher dans la foret, il n’y avait pas de bruit d’animaux, et le temps menaçait, on avait l’impression qu’un orage se préparait, les feuilles des arbres était toute rouge, cela faisait un bon bout de temps que nous avions pris la route et on avait l’impression de tourner en rond. Alors fatigue de marcher, je décidai qu’on devait se reposer, nous nous asseyons sur une longue pierre, le vent souffler et on avait froid, on se blottit l’une contre l’autre, j’ai peur qu’on va t’ont rentrée à la maison, me demandât elle, je répondis qu’on allait bientôt rentrer, que vous êtes lourde, je tournai ma tête pour voir s'il y’avait quelqu’un derrière nous, mais il n’y avait personne, je remarquai qu’Alia regardait vers le sol, regarde Marielle, nous sommes sur une pierre qui parle, je me levai et me mis en face de la pierre, bonjour mademoiselle, dit la pierre, que faite vous perdu dans cet endroit dit elle, Alia se levât à son tour et se mit juste à côté de moi, nous sommes perdus, et nous cherche le chemin pour retourner à la maison, je répondis, oulala, je crois que vous êtes loin de chez vous répondit la pierre, que devrions-nous faire pour sortir de la foret parce que j’ai l’impression que nous tournons ont rond, alors il nous dit si vous voulez sortir d’ici, arrête de suivre le chemin, et passer par les arbres, mais faites attention à la fille à la robe rouge dit il et a son ami, le petit homme. alors, elle se retourna et me demandât quel chemin, nous allions.
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