– Et accepté de même. Je serai ici demain à onze heures. Nous parlerons encore ensemble de nos affaires, puis, après le déjeuner, j’emmènerai ma cousine où elle voudra. – Pas trop loin, n’est-ce pas ? Un tour d’un petit quart d’heure, simplement pour la contenter. Je ne puis permettre davantage... On y trouverait à redire. Roselyne demanda, en ouvrant de grands yeux surpris : – À redire ? Pourquoi ? – Tu ne comprends pas cela, petite fille... Et d’ailleurs, il ne faudrait pas abuser de la complaisance de M. de Montluzac, qui a autre chose à faire que de te promener. – Mais je n’abuserai pas, grand-père ! Il suffira que nous allions jusqu’au village... – Jusqu’au village ? Nous y serons en cinq minutes, petite cousine. – Cela ne fait rien. J’aurai vu comment on se trouve dans une aut

