Nous nous dépêchions de partir puisque nous avions passé la majeure partie de la nuit sur le terrain d'entraînement et le reste à ne pas dormir au lit. Daemon faisait ses bagages tranquillement et se moquait de moi pendant que je courais frénétiquement dans la pièce.
“Ils nous attendront ; ça va vraiment,” lui ai-je lancé un regard.
“Je n'aime pas être en retard, et je n'aime pas que les autres m'attendent. Ils veulent que nous revenions rapidement ; nous aurions dû faire nos bagages la nuit dernière,” ai-je dit en fourrant mes affaires dans les sacs. Il s’est approché et a enroulé ses bras autour de ma taille, enfouissant son visage dans mon cou.
Je me suis penchée vers lui et je l'ai laissé me tenir un instant jusqu'à ce que sa porte s'ouvre.
Debout là, Minas était furieux. “Comment
