Chapitre 160 : Un souffle court secoua Addison tandis qu’elle reculait d’un pas, incapable de détacher ses yeux des deux hommes qui la fixaient. — J… je dois partir. Quelque chose m’attend ailleurs, bredouilla-t-elle d’une voix étranglée. Maxwell leva la main pour la retenir, mais elle esquiva instinctivement son geste. Malgré l’ardeur qui consumait son corps, elle n’était pas prête à se jeter dans la gueule du destin. Pas encore. Sans attendre que son père s’immisce dans son esprit par le lien, elle fit volte-face et s’élança dans le couloir. Au même instant, dans l’aile médicale, Zion geignait de manière presque insoutenable. Étendu sur la table d’examen, il se tordait comme si on lui arrachait la chair. — Argh ! Par la lune ! s’écria-t-il, le corps secoué de spasmes. Le Bê

