chapitre 4

1300 Words
ENTRE AMOUR ET VENGEANCE CHAP4 JADE Je me sens tellement fatiguée, j’ai l’impression qu’ on a pompée toute l’énergie que j’avais dans mon corps, lorsque je sors du cimetière je remarque la voiture de ce diable toujours garé à l’entrée, non mais franchement il est tellement d’une sans gêne, je fais semblant de pas voir la voiture et je prends la direction opposée priant pour qu’ il ne me voit pas, je marchais aussi vite que possible lorsque je sens quelque un me retenir par les bras, lorsque je me retourne il était là en face de moi Moi parlant très calmement : tu veux quoi ? Gianni : tu es censé m’amener voir mon petit frère Moi me résignant : ok suis-moi Gianni : vais pas aller chez toi en marchant, donc tu me suis jusqu’ a la voiture Moi : il est hors de question de je rentre dans cette voiture Gianni : tu veux me suivre de gré ou de force ? Je ne réponds pas à sa question et je lui tourne dos, j’ai pas l’énergie d’entrée dans son jeu, je longe la rue pour trouver un taxi, je sens la présence d’une personne derrière moi lorsque je me retourne il était-là, il me donne même pas l’occasion de comprendre ce qui se passe qu’ il me prend sur son épaule, les coup que je lui assène dans son dos ne le dissuade pas, il s’avance à grands pas vers la voiture et me jette à l’intérieur et s’assoit a côté de moi, J’ai rien compris de ce qui s’est passé Il me demande même pas que je lui indique là où on va, je ne veux pas lui parler non plus, donc je me taies et le regarde, à ma grande surprise, il m’amène jusqu’ à chez ma tante Moi étonné : comment sais-tu ou je vis ? Gianni : tu ne t’imaginais pas que j’allais te laisser sans surveillance pour que tu disparaisses avec mon petit frère Je ne lui réponds même pas, je me dirige vers la porte d’entrée, il me suit toujours, lorsque je sonne ma tante viens m ouvrir la porte, lorsqu’ elle le voit elle m’interroge du regard avec insistance Moi : il vient voir le bébé Gianni : salut ! Il n’attend même pas qu’on l’invite à rentrer qu’il entre dans la maison en me suivant ; je me dirige vers la chambre il me suit Moi me retournant : tu peux attendre ici, je te le ramène Gianni : non, je veux voir dans quel environnent il est Moi sur le défensive : qu’es ce que t essaie d’insinuer ? Que je ne prends pas soin de mon neveu ou qu’il vit dans un dépotoir ? Gianni : je veux juste savoir s’il a le nécessaire Je pars sans répondre, lorsqu’ on arrive dans la chambre, il se dirige direct vers le berceau le prend dans ses bras et lui murmure à l’oreille, des phrase dans une langue que ne comprends, je reste adosser à la porte et je le regarde faire Gianni : quel est son nom ? Moi : Angel Gianni : au moins vous lui avez donné un nom qui est digne de lui Moi lui retirant le bébé des bras : il est fatigué il doit dormir Gianni : non mais c’est quoi le problème avec toi ? Tu vas arrêter de jouer à la sauvage lorsque t’es à côté du bébé j’espère que tu m’as saisie Moi furieuse : mon problème est que je ne veux pas te voir ici ni que tu sois trop proche de lui, je ne vais pas te préciser que t’es pas le bienvenu ici Gianni s’approchant de moi le sourire aux lèvres : tu n’as pas à t inquiété, tu ne vas pas me supporté pendant longtemps, je vais bientôt le ramener chez lui Moi : tu vas devoir me passer sur le corps pour l’emmener d’ici Gianni : se sera pas trop compliqué Après ces phrases il part et me laisse planter la et sort de la chambre, je pose le bébé dans son berceau je le suis Moi criant : pauvre charlatan que t’es tu penses que je vais laisser mon neveu avec des monstres comme vous ? Gianni : tu oublies que ce bébé dont tu parles à le sang des monstres que nous sommes qui circule dans ses veines du coup il est comme nous Moi : ne te compare plus jamais à Angel, il sera jamais au grands jamais comme vous Gianni avec une froideur qui glace le sang : quoi qu’il en soit comme je l’ai dit il est l’un des nôtres, son père est toujours vivant, il a sa famille pour prendre soin de lui donc il est hors de question que je te le laisse, si tu te comportes bien tu pourras venir lui rendre visite Moi : c’est ce qu’on va voir Gianni : essaie un peu de m en empêcher et on verra…. HILANNE Ça va faire presque une semaine que je suis là, elle n’accepte que je la touche, elle prétexte être malade et ne passe quasiment pas de temps avec moi, je ne comprends rien de ce qui se passe, elle qui est d’habitude si attachante je n’arrive pas à comprendre son changement soudain de comportement Je la rejoins dans la chambre avec le plateau de repas qu’on vient de nous livrer, lorsqu’ elle sort de la douche et me rejoins elle prend juste un jus et s’assoit pour le prendre Moi : c’est tout ce que tu vas prendre ? Mila : oui, ça me va Moi étonné : tu ne manges pas beaucoup ces derniers jours qu’es ce qui va pas ? Mila souriant : c’est rien j’essaie juste de pas prendre trop de forme Moi m approchant d’elle et lui baisant le cou : tu sais bien que j’aime trop tes formes, je n’ai pas envie que tu les perdes, prends au moins des œufs brouiller Lorsque je rapproche le plat d’elle, elle se précipite aux toilettes, je la suis et je remarque qu’elle était entrain de vomir et c est pas la première fois que ça arrive depuis mon arriver Moi : ça va ? Mila se rinçant le visage : oui ça va Moi : tu prends t es pilules ? J’espère que t’es pas enceinte Mila fondant en larme : si je le suis Moi : je ne te comprends pas, qu’es ce que tu essaies de dire ? Mila hurlant : je te dis que je suis enceinte, qu’es ce que tu ne comprends pas la dedans ? Moi un peu étonné : mais comment ça s’est fait ? Tu ne prenais pas tes pilules n es-ce pas ? Mila : non mais t’es un gros malade toi, oui il m’est déjà arrivée d’oublier de prendre la pilule, mais lorsqu’ on b***e on tombe enceinte, alors que toi et moi on s’envoie en l’air tout le temps lorsque tu rentres Moi toujours sous le choc : mais tu sais très bien que je ne voulais pas avoir un enfant maintenant, tu sais tout ce que sa implique comme responsabilité ? Mila s’approchant de moi et me caressant La nuque : je sais que ça implique beaucoup de responsabilité mon cœur mais tant qu’on est ensemble on peut tout affronter Moi me dégageant de son emprise : je ne pense pas, je ne suis pas prêt pour ça, j’avais tellement de projet pour nous, t’as tout gâché…. Elle s’effondre par terre et éclate en sanglot mais pour l’instant je ne ressens pas l’envie de le prendre dans mes bras je préfère sortir faire un tour et réfléchir…. N oubliez pas d aimer de commenter et de partager, bisou bisou
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