Épisode 7

1036 Words
Point de vue de meyddle Après la réunion, je lui demande de me suivre afin de lui montrer son bureau. Nous marchons silencieusement jusqu’au bureau en face du mien . Meyddle : voici donc votre bureau , il a été aménager non loin du mien car nous aurons beaucoup à faire et il vaudrait mieux que vous soyez proche . À la fin de la phrase il me regarde comme si j’avais dis la grosse des âneries. Michel : vous n’êtes pas sérieuse ? Meyddle : écoutez on ne vas pas y passer la journée . Michel : vous vous foutez de moi ? Il est hors de question que m’installe dans ce …. Il fait une pause durant laquelle il inspecte le bureau et semble chercher ces mots . Il est hors de question que je travaille dans ce placard à balais, vous pourriez au moins m’offrir quelques chose de plus grand . Meyddle : vous vous payez ma tête ? C’est le bureau le plus grand qu’il y’ait après le mien et celui de mon frère . Michel : c’est ça que vous appelez grand !? C’est minuscule et étroit. En ce moment précis il y’a tout un tas de scènes macabres qui défilent dans ma tête et le scénario est le même dans chacune ; moi qui le poignarde à plusieurs reprises. Ne pouvant malheureusement pas laisser libre cours à mes pensées criminelles, je me masse la tempe et essaye de préserver au mieux mon self contrôle. Meyddle : monsieur Donzel , je suis navrée mais c’est tout ce que nous pouvons vous offrir. Il me fait un sourire qui ressemble plus à une grimace . Michel : je comprends que tout le monde ne puisse guère se permettre le luxe des mes locaux donc je vais me montrer compréhensif. Lui est sa condescendance , j’aimerais bien les voir envoyer paître mais je me retiens . Il se retourne pour partir. Meyddle : mais où allez vous ? Il ne prend même pas la peine de se retourner alors qu’il me répond . Michel : vous n’imaginiez tout de même pas que j’aurais passé ma journée ici ? Je vous enverrai un e-mail dès que j’aurai un potentiel investisseur pour vous . Et il s’en vas comme ça !? Mais je le hais , je le hais . J’entre en trombe dans le bureau d’elior et me mets à faire les cents pas comme un lion en cage . Meyddle : il m’énerve, il m’énerve . Elior : a cette allure tu vas finir par faire un trou dans le plancher . Et puis qui est ce qui t’énerve à ce point ? Meyddle : c’est l’autre c*n qui fais sienne. Elior : monsieur Donzel ? Mais enfin qu’est-ce que cet homme t’as fait ? Meyddle : il est orgueilleux, imbu de sa personne et malpoli mais là encore je suis gentille . Elior : moi je le trouve plutôt sympathique. Je lui lance le regard le plus noir que j’ai en stock, et il lève les main en signe de reddition . Elior : ça va ! Et puis tu finira par t’y faire . Meyddle : je ne crois pas que j’y arriverais un jours . Ce n’est qu’à ce moment que je remarque que depuis le début il rangeais ces effets. Meyddle : euh elior !? Tu peux me dire où tu t’en vas comme ça . Il me fait un sourire en coin . Elior : et ce n’est que maintenant que tu le remarque, faut croire que Donzel te prend vachement la tête . Meyddle : n’essaie pas de changer de sujet et répond . Elior : j’ai un rendez-vous. Meyddle : un rendez-vous professionnel ou un rencard. Elior : je ne sais pas si on peut appeler ça un rencard, mais ce n’est pas un rendez-vous professionnel . Meyddle : ouh ! Elior a un rencard, et puis-je savoir qui est l’heureuse élue ? Elior : elle s’appelle jeorgina skyler , je l’ai rencontré au défilé auquel mick m’avais forcer d’aller . Meyddle ; je vois, et quand comptais, tu me demander mon approbation ? Elior :À aucun moment, car je n’en ai pas besoin . Meyddle : dois-je te rappeler que je suis ta patronne ? donc je t’ordonne de ne pas y aller . Elior : et dois-je te rappeler que je suis ton aîné ? Meyddle : ne la ramène pas trop non plus , tu n’es mon aîné que de cinq minutes. Elior : ouais bah ça compte quand même . Oui, Elior et moi sommes jumeaux , de faux jumeaux. Je précise , car on ne se ressemble pas du tout. il est grand aux cheveux bruns avec des yeux brun, limite noir, alors que moi je suis svelte, j’ai les cheveux châtains et mes yeux sont plus brun clair . Elior ressemble plus physiquement à mon père alors que moi je ressemble à ma mère . Mais ce n’est que physiquement, car question tempérament elior a hérité de la placidité de ma mère , je ne me souviens même pas à quand remonte la dernière fois où je l’ai vu s’énerver , il à toujours un p****n de sourire collera au visage , alors que moi je m’emporte pour tout et pour rien . Il est parfois difficile pour ceux qui ne nous connaissent pas de croire que nous sommes jumeaux. Alors, bien évidemment, on ne l’évoque pas souvent. Elior a toujours eu cette aspect protecteur, que tout les grand frère ont , et moi j’ai toujours été enquiquineuse avec lui . Meyddle : ouais c’est ça, vas-y avant que je change d’avis . Il m’ébouriffe les cheveux et s’en vas non sans se marrer. Un vrai gamin celui là, mais en attendant pendant que l’autre se la pete avec son rencard c’est moi qui vais devoir me taper son travail. Je devrais peut-être également songer à me mettre en couple , n’empêche que je suis contente pour lui et j’espère que cette fille est quelqu’un de bien car mon frère mérite d’être avec une bonne personne. C’est sur cette pensée que je regagne mon bureau pour me remettre au travail.
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