Épisode 5

1028 Words
Ça faisais une bonne trentaine de minutes qu’elle m’observais attendent patiemment mon verdict. Ma mère a toujours été une personne très calme , trop calme contrairement à moi qui ai hérité du tempérament de feu de mon père . C’était quelqu’un qui avais peu de patience, et s’emportait facilement. C’est donc résigné que je concède parce après tout elle avais raison , je devais mettre mon ego de côté et travailler avec ce type car plus que tout je devais relever l’entreprise pour papa . Même si cela signifie travailler avec des personnes indésirable. J’étais prête à tout pour atteindre mon objectif et ça ma mère le savait , c’est d’ailleurs pour cela qu’elle a tenu à me parler à l’écart, parce qu’elle savait que je céderais . Meyddle : tu as sûrement raison , dis-je à contre cœur , je devrais passer au dessus de tout ça pour le bien de l’entreprise. Elle me fit un sourire. Tamira : allez viens , retournons y . Nous nous réinstallons donc à nos place initiale où le calme était revenu, je m’éclaircis la gorge et dit , Meyddle : bon , je veux bien que vous puissiez m’aidez finalement. Il esquissa alors un sourire moqueur. Michel : et qu’est ce qui vous fait croire que j’ai toujours envie de vous aider ? Mon cœur loupa un battement, il allait vraiment refuser ? J’aurais fais tout ça pour rien ? Mais quel enflure. Alors que mes pensées tournaient de manière frénétique et désordonné, sa tante lui mit une tape sec sur le crâne . Michel : eh mais pourquoi !? Mylène : tu pense vraiment que je vais te laisser refuser ? Michel : mais … Mylène : pas de mais tu avais promis alors maintenant tiens ta promesse. Il leva les yeux aux ciel visiblement agacé par l’attitude de sa tante , et moi je ne pouvais que la remercier intérieurement. C’est ainsi que débute la discussion sur plusieurs sujet variés , allant de l’activité de l’entreprise, de nos derniers relevés de compte au nombre d’employés, je lui avais apporté un dossier que j’avais personnellement établi avec les informations nécessaires. Après quelques instants de silence auquel il passait le dossier au peigne fin , il le posa enfin et j’attendais le verdict. Je dois avouer qu’il est assez intimidant quand il se comporte de la sorte . Michel : c’est catastrophique. Lâcha t’il de but en blanc . Peut-être que si vous arrêtiez de vous en prendre au gens dans les rues et que vous vous concentriez plus sur votre société rien de tout cela ne serais arrivé. Je ravale de peu la réplique que j’aurais aimé lui balancer. Mylène : Michel arrête. Michel : bon je vais être claire , à en juger par ce rapport votre situation semble , il se frotte le menton à l’aide on indexe et poursuit non sans un regard pour sa tante qui lui fais comprendre d’être poli même si je crois que cette notion lui soit inconnue . Michel : je disais donc que votre société entreprise semble vraiment être mal en point, mais rien d’impossible à relever , il suffirait que vous fassiez quelques partenariats avec le bonnes personnes afin d’attirer plus de clientèle et de relever vos chiffres. Je peux user de mes relations pour vous dégoûter quelques entretiens mais va falloir être convaincant , je peux les pousser à vous recevoir mais pas les forcer à accepté la coopération vous devrais donc être préparez. Même si je ne l’aime pas particulièrement, je dois avouer que ces mots me font l’effet d’un baume au cœur . Meyddle : oui ça me vas . Je le dis avec un air détaché alors que mon cœur danse la lambada . Après cela nous pris le temps de nous accorder sur certains point importants puis nous sommes séparés non sans fixer une date pour une réunion. Point de vu de Michel Résidence Donzel Mylène : je suis vraiment heureuse que aie accepté d’aider mey . Michel : ouais j’y étais bien obligé Mon téléphone sonne et m’interrompt, je décroche avec avoir vu le nom qui s’y affiche. Michel : tiens donc miss davila Chukran : bonsoir Michel , comment vas-tu ? Michel : ça peut aller, je me demandais justement quand est ce que tu compte revenir. Chukran : oh ! Est ce que je te manque ? Michel : tu ne peux pas savoir à quel point. Je laisse ma tante et entreprend de monter les escaliers tout en continuant ma conversation téléphonique. Chukran : j’suis désolé mon amour le cas a pris plus de temps que prévu . Michel : et donc tu pense revenir quand ? Je demande , ignorant volontairement ces précédentes excuses. Chukran : Dans 3 semaines Michel : mais c’est carrément un mois . Je hausse légèrement la voix suite à cette information que je ne reçois pas de la meilleure des manières. Chukran davila est ma fiancée, cela fait maintenant 3 ans qu’on est ensemble , elle est avocate et cela fait 5 mois qu’elle est à otawa , elle travaille sur une affaire pour laquelle je l’ai recommandée suite à ces incessantes demandes . Comme quoi elle n’étais pas assez sollicitée et en temps que son fiancé je devais user de mes relations pour l’aider , certes au début je n’étais pas d’accord car je pensais qu’elle devais se faire un nom par elle même et non grâce à mes . Mais elle a insisté encore et encore et j’ai fini par céder , non sans lui signifier que la prochaine fois elle devais faire plus d’effort pour se dégoter des affaires comme une grande. Chukran : oui je sais mais le tribunal n’as pas encore rendu son verdict et je ne peux quand même pas laissé mon client . Michel : ouais , je commence à regarder de t’avoir trouvé cette affaire. Chukran : désolé mon cœur Michel : bon c’est pas grave , j’ai patienté durant 5 mois je peux encore attendre un mois de plus . Chukran : merci mon cœur , je t’aime tu sais Michel : ouais c’est ça
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