Épisode 6

1049 Words
Je m’allonge sur mon lit le téléphone toujours à la main sachant pertinemment qu’elle n’allait pas lâcher l’affaire de i tôt . Chukran : je te dis que je t’aime, et c’est comme cela que tu me réponds ? Michel : commence déjà par revenir, et on en reparlera , si tu n’as rien d’autre à me dire, je vais raccrocher . Chukran : au revoir mon amour tu me manque Michel : petite menteuse vas Elle rigole à l’autre bout du téléphone. Chukran : t’es sérieux là ? Michel : bon au revoir Chukran : au revoir mon cœur . Je raccroche le téléphone et commence à retirer ma chemise , mais je me fais interrompre par des coup à la porte. Je vais ouvrir et tombe sur ma tante. Mylène : qui c’était qui au téléphone? Michel : tu t’es déplacé juste pour me demander ça ? Mylène : oui, ça, et aussi te dire que le repas sera bientôt prêt . Michel : c’était Chukran , et pour le repas je n’ai pas faim. Merci Mylène : mais pourquoi tu es monté si vite j’aurais voulu la saluer moi . Michel : ma tante, tu permet que je me change au moins j’ai eu une longue journée . Mylène : ouais ça va c’est bon . Elle se retourne pour s’en aller , mais s’arrête un instant, et me regarde par-dessus son épaule. Mylène : tu sais, Michel, tu as beaucoup de chance d’avoir une fille comme Chukran à tes côtés . Michel : rectification, c’est elle qui a beaucoup de chance de m’avoir à ses côtés, après tout qui ne rêverait pas d’être avec Michel Donzel ? Mylène : tu es un peu trop orgueilleux à mon goût . Je ris de bon cœur à sa remarque . Michel : allez, bonne nuit ma Tante . Mylène : dors bien, fiston Je me fais réveiller par la belle mélodie de mon réveil, ouais vous avait bien entendu , mon réveil me joue j’ai toujours aimé jouer cette mélodie sur mon piano alors quoi de plus normal que de me faire réveiller par cet air sublime. Je n’ai jamais été fan des réveil rustre et brutal . C’est donc avec le sourire au lèvre que je vaque à mes occupations matinales . Après m’être douché, brosser et habillé, je descends et me dirige vers la salle à manger d’où je sens provenir une délicieuse odeur de café . Dès que je fais mon entrée elle me tend mon café avec son magnifique sourire Coller au visage , et j’en prend une gorgée. Michel : juste parfais . Mylène : moi ou mon café ? Michel : toi bien sûr , si tu n’étais pas ma tante je t’épouserai tellement tu es parfaite. Mylène : mais bien sûr , elle le dis en roulant des yeux . Michel : après tout c’est de toi que je la tiens ma perfection à moi . Mylène : tu n’as pas mieux à faire ? Michel : si justement, j’y vais ciao tia Mylène : mais tu n’as pas touché à ton plat . Michel : je n’avais pas très faim . Mylène : Michel reviens tu ne peux pas aller travailler le ventre vide voyons . Je reviens sur mes pats , pique une gaufre dans l’assiette qui m’était destinée et m’en vais rapidement. Mylène : cet enfant je vous jure . Je passe quelques appels pendant le trajet et essaye d’établir une stratégie à la vas vite , je relis le tout rapidement. Avant d’aller vérifier les embarcations et les livraisons je dois effectuer un arrêt rapide à la société de l’autre folle pour une réunion avec son personnel ensuite je pourrais vaquer à mes occupations personnelles . J’arrive assez rapidement devant le bâtiment qui est sensé être son , je descends et pénètre dans l’enceinte des lieux. l’intérieur est plutôt pas mal et assez accueillant, rien d’extra mais c’est quand même potable . Je marche à l’aveugle lorsqu’un homme viens vers moi . L’homme : monsieur Donzel !? Bryan hope (se lit houpe) Michel : enchanté Bryan : mademoiselle Rwans vous attend, si vous voulez bien me suivre. Il prend les devants et je le suis non sans jeter quelque regard curieux sur les lieux , et comme je le disais c’est à la limite du potable , ce n’est ni immense ni trop petit , certes ce n’est rien comparé au luxe de mes locaux mais bon je ferais avec . Il me conduit donc dans une salle que je présume être la salle de réunion vu le comité réuni . Meyddle : monsieur Donzel , bienvenue Michel : merci Meyddle : nous pouvons donc commencer . Votre attention s’il vous plaît , je vous remercie d’avoir tous répondu présent à cette réunion faite à l’improviste , je suppose que vous êtes tous au courant de la situation non dissimulée de notre entreprise , suite à cela nous avons trouvé nécessaire de solliciter l’aide de monsieur Donzel ici présent , il sera mon associé et de ce fait votre supérieur provisoire, il nous aidera à améliorer notre rendement , je vous demande donc une franche collaboration. Monsieur Donzel avez vous quelques chose à ajouter ? Je me lève de mon siège afin de me positionner au centre de la pièce et prend la parole. Michel : je pense que tout vous a été clairement expliqué par votre patron , vous connaissez tous la situation actuelle, et pour la relever il vous sera demandé à tous de mettre la main à la pâte . Il vous sera également demandé de faire des heures supplémentaires quelques fois mis à part cela je pense que tout a été dis . Suite à mes mots l’assemblée applaudit, miss dégénéré me demanda de la suivre afin qu’elle puisse m’indiquer le que j’occuperais durant le temps de notre . Meyddle : voici donc votre bureau , il a été aménager non loin du mien car nous aurons beaucoup à faire et il vaudrait mieux que vous soyez proche . Durant tout le long de son monologue je n’ai fait qu’observer cet espace médiocre qu’elle osais appeler bureau, elle ne s’imagine tout de même pas que j’allais occuper ce placard à balais ???
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