Episode 2: Ma douleur

868 Words
Je sors de mon lit, le sommeil a été mauvais cette nuit, je ne sais si c'est à cause de la tempête de vent qui n'as cesser de claquer les volets contre la vitre  de ma chambre où bien de ce regard bleue et  ténébreux qui m'as regarder avec tellement dégoût que j'ai finis par en rêver toute la nuit, ou encore cette aveux que m'avait faite ma mère avant d'allez m'endormir.  La nuit avait été dure et j'ai donc passer mon temps libre dans le noir à me fixer un certain nombre d'objectifs, il fallait que je me fortifie et que je passe outre des méchancetés des gens, que je leur paraisse assez solide pour ne plus qu'ils ce croient supérieur à moi, car j'avais d'autre soucis beaucoup plus grave a régler, mais aujourd'hui c’était mon premier jours au lycée, et le stresse m'avait envahi, et je devais me dépêcher pour éviter d'être en retard et de faire mauvaise impression auprès de mes enseignants, malgré toute les difficulté que je pouvais avoir eu dans ma vie, j'ai toujours été brillante dans mes études, et j’aimais ça, l’école contrairement aux autres jeunes de mon âge.  Je me lève et me dirige vers la salle de bain sans faire de bruit et éviter de réveiller ma maman qui elle commençais son travail demain, elle avait trouver un emploi dans l'une des maisons de retraites de la ville, son salaire lui permettrais tout juste de payer le crédit que nous avions fait pour ce procurer la maison, et elle me rassurais comme elle le pouvais, mais je savais que ce serais difficile pour elle de subvenir a nos besoin si on ne prend pas en compte les factures qu'elles auras a payer chaque moi, j'ai donc décider d'aller chercher du travail après les cours après tout j'avais 17 ans et j'approchais de la majorité alors pourquoi pas l'aider.  Je vais prendre ma douche et l'eau chaude qui coulais sur ma peau m'aidait a canaliser mon stresse et a me repérer dans mon esprit, tellement de chose me perturbais et il me fallait que aussi j'apprenne à faire le vide. Je sors de la douche enrouler dans une serviette, j'essuie le miroir qui avait été recouvert par la vapeur de l'eau chaude, et je vis un visage triste, je voulais mettre un peu de couleur, un peu de chaleur a ma peau qui était neutre, alors je pris le blush de ma maman et j'en applique un peu au niveau de mes joue, je ne m’était jamais maquiller auparavant mais aujourd'hui je voulais avoir un petit peu de superficiel, et peu être que cela m'aiderais a me faire des ami(e)s au lycée puisque ces cela qui leur plaisait, le superficiel, puis pour ajouter une petite touche je mis un peu de mascara qui étirais mes cils, et donnas un air mystérieux à mes yeux vert fatigué. Je me regarde une dernière fois, mais des larmes jaillisse de mes yeux et font couler le mascara le long de mes joues,  j'avais peur, et je savais que je n'arriverais pas à être la personne forte que je souhaiterais être, que je ne suis pas comme les autres, que je ne suis pas courageuse, que je ne suis pas comme ma mère, mais pourquoi, pourquoi étais je aussi différente, pourquoi ma vie était aussi difficile, tellement de question qui mijotais en moi sans que je ne puisse leur donner de réponse, et j'avais peur, peur de comment allais ce passer mon premier jour de lycée. Alors je pris une lingette démaquillante et je nettoie toute trace de maquillage sur mon visage, a quoi me servais de cacher la douleur sur mon visage si mon intérieur lui en souffre sans arrêt et ne peut être maquiller.  J'avais tellement de mal a oublier ces coups, ces cris, ces hurlement qui hurlais en mon propre intérieur et toute cette souffrance que je vivais sans arrêt à cause de lui, et surtout cette phrase que m'avais dite ma mère la veille, une phrase qui m'as provoquer les frissons les plus glaçant, elle m'as demander de faire attention, car certains gens nous en voudrait à cause des erreurs de cette homme qui me servais de père mais que lui aussi était et serais près à tout pour nous faire regretter notre départ, et je le savait, mais je voulais croire de toute mes forces a cette nouvelle vie que je pouvais avoir, une vie en paix, sans douleur, et sans cris, mais c'était déjà perdu d'avance. C'est hier en rentrant à la maison que j'ai retrouver ma mère assise sur la table de la cuisine le téléphone en main, elle regardais l’écran et lorsque je lui ais demander si tout allais bien elle m'as seulement tendu son téléphone, un message était ouvert je le lu, et je compris que je n'allais jamais être tranquille tant qu'il était encore en vie.  Message:  +065891146: Si tu crois que toi et ta vielle fille toute fragile alliez vous en sortir aussi facilement et ce moquer du monde, je vous retrouverais ou mes hommes le feront et je vous promet que jamais j'ai bien dit jamais vous ne serez tranquille.  Suite Prochainement...........      
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