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les vendeurs : ok le chef viens arrivé .
le chef de vendeur : hé vous là ! sa n'est vous la pas. pourquoi vous démobilisé me vendeur ?
Aïcha : qui êtes vous?
le chez de vendeur : tu es sour où quoi ? ce sont me vendeurs . si vous arrêté de amerede me vendeurs vous aurez Feur à moi hé.
David : vous ne vous avez pas leur et si vous assisterez ont préviens la police .
le chef de vendeur : mes chers enfants soyez raisonnable ont peut s'arranger non vous dites votre prix.
Seydou : non non non sa ne marche pas.. ou de arrêté de foisonne les jeunes ou ont continué à les sensibiliser .
le chef de vendeur : ah bon se comme ça. d'accord continuer comme ça vous verrez se que vous arrivez.
David : Wai Wai Wai bravo mon ami dit lui, dégager ici.
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la patronne : oui sa tombe bien monsieur le directeur. vous n'êtes pas de capable dans ce lycée. comment vous pouvez vous laissé sortir ma fille chérie soit disant sensibilisé.
directeur : non madame s'il vous plaît j'ai te pas au courant.
la patronne : vous ne parlé pas du vigile. c'est encore plus graves me vous me dites que vous ne metrise rien dans cette établissement.
directeur : non se pars que le vigile est hospitalisée se pour celà.
la patronne : ho ho ho ne me parle plus du vigile. vous m'attendez je m'en fous avec le vigile se ma fille chérie qui m'intéresse.
directeur : je suis désolée madame. mais ça n'est se reproduira plus.
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le chef de vendeur : il faut qu'on donne une bonne raclé à ce enfants il mon humiliée.
un client : vous avez raison où quoi ? c'est dangereux se qui font. sinon ont aura plus de clients.
le chef de vendeur : vous voyez vous allez de tendre un piège le plus tôt possible. ross le concrètement possible. nous comprendrons comme qu'ont s'amuse pas ainsi avec qu'on suivi le bourguignon.
un client : les enfants là nous à nerve.
le chef de vendeur : pour vous encourager je double le primé de ventée.
les clients : wai wai wai wai wai le chef d'équipe.
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la patronne : tout ça se de à faute mon amour chéri. hum! tu l'a gâte plus sa tête voilà maintenant elle quitte le lycée pour le médicament de la rue.
le patron : c'est quoi ça ?
la patronne : qu'est-ce que toi tu poutre de médicaments de la rue. hé c'est la dernière fois compris.
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l'ordinateur : bonjour c'est mademoiselle Aïcha.
aïcha : oui c'est moi.
l'ordinateur : faut faire attention ont va vous aggress.
aïcha : quoi ? aggress.
l'ordinateur : je voulus de vous prévenir.
aïcha : merci d'avoir de prévenu au-revoir.
la patronne : qu'est-ce se que cette histoire ma fille chérie ? qui vais vous aggress ?
aïcha : ce sont les vendeurs de médicaments de la rue, leur patron les a ordonné de nous planqué une bonne raclé.
la patronne : voilà ! c'est se que j'ai dise mon amour à partir de maintenant aller à l'école et retour dans la voiture se compris mon amour.
le patron : sa n'est passeras pas comme ça. je vais prends des dispositions pour les finir.
la patronne : pars que tu as la police maintenant je vais pas que tu t'es mail de sa mon mari.
le patron : ma femme chérie ont né laisse pas n'importe qui entraîne dictée s'avoir dans le rué.
la patronne : ont s'occuper de notre fille un point se toute t'en puis pour les autres.
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docteur : c'est bon là tout te rentrer dans l'ordre.
vigile : merci beaucoup monsieur le docteur.
docteur : ont va te libérer.
vigile : vraiment sa été une leçon pour moi, à partir aujourd'hui les médicaments de la rue se finit pour moi. je vais les éviter.
docteur : ok meilleure santé.
vigile : merci beaucoup monsieur le docteur.
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les vendeurs : eh voici un.
David : laisse moi ! laisse moi ! laisse moi ! laisse moi !
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vigile : bon arrivé mon ami.
gardien : vilaine hameau. là Dieu n'a pas encore t'appelle parmi les seins.
vigile : tu va crever avant moi le médecin vient de me libérer.
gardien : oh dommage je Cointe voir beaucoup de douleur.
vigile : désolé tu auras cette chance là. qu'est-ce que tu tiens en main?
gardien : c'est le fruit que j'avais acheté pour toi. mais comme ça vas je part avec.
vigile : non mon ami faut pas me faire ça cas même faut déposer ça sur la table.
gardien : non ça jamais déjà j'avais acheté ça à crédit.
vigile : eh mon ami faut pas me faire.
gardien : mais je sais que tu es bien entretenu ici là tu n'as pas besoin de me fruit.
vigile : mais pourquoi tu es méchant comme ça ?
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le vendeur : téléphonie son patron.
le chef de vendeur : allô !
le chef de vendeur : c'est moi boube. ya in problème chef?
le chef de vendeur : quelle problème ?
le vendeur : ont à corriger un petit mais il ne bouge plus je crois qu'on a tapé trop fort.
le chef de vendeur : imbéciles je le demande de corriger maintenant vous êtes où là ? ok j'arrive.
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le chef de vendeur : boube! boube! boube! où êtes vous ?