— Ah ! enfin vous voilà ! disait-elle. Elle n’avait toujours pas bougé, tandis qu’il se tirait vers en haut de nouveau ; elle n’avait pas bougé, s’étant penchée au contraire davantage pour mieux le suivre des yeux, mais il se trouve que le devant de la ravine est en surplomb ; il y a un avancement de terre meuble portant à faux qui brusquement cède sous elle ; la pente presque verticale la reçoit aussitôt et la maintient droite par ses deux épaules ; elle glisse de haut en bas, elle glisse droit au Savoyard dans la mousse et la terre noire où ses talons ont fait deux raies ; elle le voit droit au-dessous d’elle montant à elle rapidement (ou il semble monter à elle), sans plus avoir besoin de faire aucun mouvement ; elle voit ses dents qui se montrent sous la moustache, il n’a eu qu’à ouvr

