chapitre 3

1031 Words
Apres notre petit discutions nous sommes partis nous coucher chacun dans sa chambre. Je me suis changé et je suis parti me coucher.  le lendemain Je me réveille dans un grand vacarme. Une servante : jeune maître!! Arrêter vous s'il vous plaît. Jeune maître : ne je vais la faire partir c'est la place de ma maman à coter de mon papa, ce n'est pas la place d'un imposteur. Je me lève et me mets à coter de lui sans qu'il me voie. Moi : je comprends mieux ton point de vue. Mais moi je n’ai pas le choix si je veux vivre ailleurs que chez mais parent je dois me marier avec ton père. Tu comprends un peu mieux ou alors tu préfères faire la sourde oreilles. Jeune maître : je ne t'aime pas. Moi : je ne te demande pas de m'aimer, mais de me supporter jusqu’à ce que tu sois adulte ou que je meurs. Jeune maître : alors je vais te tuer. Moi : bonne chance alors. Puis je repars dans ma chambre. La une servante et devant moi. La servante : bonjour madame, je suis Anne et je vais m'occuper de vous est parti d'aujourd'hui. moi : enchanté. J'espère que nous nous entendrons bien. Anne : bien vu que les présentations sa fête je vous propose soit d'aller vous laver ou alors je vais vous chercher votre petit déjeuner. Moi : je ne déjeune pas avec mon futur marie ? Anne : messieurs ne déjeune presque jamais. Moi : je n'étais pas au courant. Bon bien je vais me laver. Quand je rentrais dans la salle de bain, je suis impressionnée tout est si beau et propre comparé à ce que j'avais chez-moi. Je rentre dans la baignoire. L'eau est parfaite. Quand je sors de là, on m'habille puis elle commence à me coiffer. Anne : vous avais de si beaux cheveux je pense que tout le monde de chez vous devais être jaloux de vous et de votre beauté. Moi : c'est tout le contraire, elle me jugeait mal parce que j'ai une sœur que tout le monde aime donc moi c'etait tout l'inverse. Anne : mais c'est horrible. Moi : c'est la vie. On n'y peut rien. Puis nous terminons et je pars me promener dans le manoir pour que je voie un peu. Une servante était en train de discuter avec un serviteur. la servante : je te jure. Elle a osé dire au jeune maître quel le mais au défié de la tuer sinon elle ne partira jamais. le serviteur : non. Moi : et si et je ne vais pas me cacher donc au lieu de parler je pense que vous aviez du travail et en plus la rumeur c'est petit parce que ça peut faire du mal et en plus pour ça je vais en ville et je la lance une rumeur moi-même. Les deux : oui madame. Puis ils repartent. Je suis un peu déçu de leur mentalité, mais bon l’être humain et méchant avec les autres ou quand il est jaloux. Quand je vois le maître des lieux, je le salue. Le maître : j'ai entendu de drôle de rumeur et je voudrais savoir si c'est vrai ou non donc je propose que nous allons boire une tasse de thé. Moi : je vous suis. quand nous assaillons je le vois dans son coin. Le maître : il parait que vous aviez menacé mon fils. Moi : non je ne l'ai pas menacé je lui ai dit que s'il voulait que je pars alors il devait me tuer comme je ne désire pas repartir de chez moi et revoir ma famille. Le maître : c'est donc votre version. moi : oui. Après à vous de croire ou non sur se passer une bonne journée monsieur. Je termine ma tasse puis m'incline et part continuer mon tour. Quand enfin je trouve le chemin vers le jardin, je commence à sortir. Je sens que l'on m'observe je vais faire comme si rien n'etait. J'entends quelle que chose bouger au ecu de ma tete. un personne : attention. On me pousse et on voit de fleurs tomber. Moi : tout va bien messieurs. L'homme : oui, mais c'etait moins une. Qui peut bien vous en vouloir à ce point-là. Moi : j'ai bien ma petite idée. On se relève puis il commence à me suivre. Quand nous arrivons devant la porte de la chambre du jeune maître. L'homme : vous êtes sûr de ce que vous êtes en train de faire. Moi : si vous sa viez. quand nous entrons dans la piece. Je vois le jeune maître essoufflé. Moi : et bien je pense que tu as raté ton coup la prochaine fois fais de ton mieux pour te cacher sans que je pense, tu devrais aussi regarder autour de la personne que tu vas tuer que personne ne la sauve et enfin prépare-toi mieux pour ton futurs alibis. Le jeune maître : je fais ce que je veux ne t'ai pas ma mère. moi : non je suis ta futur belle mere. L'homme : alors c'est le jeune maître qui veut vous tuer, mais pourquoi. Moi : c'est moi qui la mie au défi de me tuer pour qu'il puisse donner la place à sa mère, mais je ne veux pas lacer ma place t'en que je ne serai pas morte. L'homme : je commence à comprendre. Mais je vais devoir faire un rapport à votre père. Le jeune maître : fais comme tu veux de tout façon, je vais continuez à tenter de la tuer. Moi : fais comme tu veux. Puis nous repartons. l'homme : a m***e. J'ai oublié de me présenter avec toussa. Moi : a oui moi aussi, mais bon se n'ai pas si grave comme je pense que vous me connaissez déjà. L'homme : oui je vous connais assez bien je pense madame. Enfin trêve de bavardage, je me nomme Harry et je suis l'un des chevaliers de cette grande maison. moi : enchanté. Bon vu que les présentations so, fête je vais vous laisser passer une bonne journée. Harry : vous aussi madame.
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